
Quand le ventre de la mer
L’écume s'enrhume
Dans l’océan goulu
Mouchoir du noir
Pour couvrir morve de l’amère
Des marins au matin 
fantômes de nos vues
Ils se couchent sur l'anxiété
De nos yeux transpirant l’’effroi
là bas ils veillent  le lai
De  la mer   d’amertume
Maîtresse de l'hardiesse
Trop  complice elle s’étonne
Voir   nos hommes là qui  fredonnent 
Dans la passion régente de  leur raison
Ô doux  amours ! Vous mes  mères et mers 
Regardez les sur la vague
Quand la beauté de l’écume drague
Le faste de Vos côtes et que divague
Votre esprit sur leurs madragues
D’où l’on entend les silences de l’oubli
Ils embrassent pulsions des violents sentiments
Pour élaguer folles idées ; ce n’est pas blague.
Femmes seules ne voudraient qu’on les arnaque
Leur amour ne veut s’empêtrer dans le vague
Quand le ventre de la mer; leur amour embarque
Les laissant orphelines d,’une vie qui divague
©ƒC




 
	 
					
 
				
				
				