Si je pouvais connaître l’amour
Autant que je me connais moi-même
Par coeur peut-être oserais-je un jour
Lui dire les secrets d’un je m’aime
Quand j’ai la tête dans les nuages
Souvent frontal y fais-je un orage
Et d’idées m’en vient-il une pluie
En attendant l’éclair de génie
L’âme trempée d’après la faute existentielle
Sur le coeur s’il serait temps d’avoir le repos
Parade temporaire au jugement du ciel
Tête la première je porte le chapeau
Où toujours accrochée est la clé du bonheur
Ton amour je l’ai mis à la porte du coeur
Je ne me fais aucune illusion avec l’âge
C’est un rêve d’enfant à jamais qui s’en charge