Je parle sans bourrer ma tête
Je parle sans bourrer ma tête
De contradictions choquantes
Ou me transformer en bête
Qui trouble la raison apparente
En se sentant résidents étrangers
Dans un monde intelligible
Où les extrémistes enragés
Sont pris pour des êtres nuisibles
Et le racisme devient le mystère
Qui enfante les monstres
D’égoïsme et dévore les cœurs
Humains en prêchant le meurtre
Pour déstabiliser les relations
Humaines et cacher la réalité
Sous le voile de la dissimulation
Sans découvrir l’imbécilité
Profonde qui les laisse ignorer
Les bienfaits du souffle parfumé
Du printemps et des fleurs dorés
Qui aident les peuples à rallumer
La douce flamme de l’espoir
Qui leur évite l’autodestruction
Sans déformer le miroir
De réalité de la situation.
Dad Allaoua