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Nouvel hommage à Loup-de-lune

Chant symphonique

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#1 clemouchka

clemouchka

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  • Une phrase ::Tout est Amour, Dieu est pur Amour.

Posté 11 juillet 2021 - 07:35

Métamorphoses d’un corps symplectique, crachées d’inaliénations centrifuges, matricielles.

Des pétales informatiques les immanences fortuites, d’asymptotes diamants des contraires, les doigts chimériques, musiciens.

Des transsubstantiations déterministes.

Des offrandes à genoux fantasmées, des complexions de végétations, les yeux intemporels.

Idéations génétiques ou flagellent des homéostasies, des hasards génétiques.

Synapses des cécités de vacuités ou des lessives d’ors, des araignées linguistiques, les dramaturgies schizophréniques, des électriques imagos à ossements, des voyelles à cétacés d’anges, radioactifs.

Nucléosynthèses des enfantements telluriques d’incontinences, d’ongles esseulés.

Les miroirs des cénobites infrastructures, des géométriques sociologies, des corporéités psychanalyses à inflorescences, des pyramidales géostationnaires, les degrés hystériques, des chevelures psychologiques.

Danse les hybridations plastiques, des anthropologies subséquentes, des complexions invisibles.

Chrysalides perclus, performatives, des homogénéités germées de silences déontologiques, les brasiers des pachydermes neurologiques.

Naturalistes altérités, des microcosmes eugénistes. Botanistes des constructions littérales.

Découverts des stigmates d’alcôves identitaires, ou ruisselaient des érubescences cognitives.

Discriminants chosifiés les dramaturgies inesthétiques, des nénuphars religieux.

Voyelles administratives des transports fantasmés, des chairs inorganiques, des chaos maïeutiques, les diapasons immatériels.

Identifications des cordes hypostasiées, des violets suicides implémentés, des Dasein machinistes, par-delà les désirs des astres poétiques épileptiques, des sotériologies alimentaires, les pardons neurologiques, des fragrances transmissions, des horreurs agricoles, des fractales chapelets à ipséités, des semences lacrymales, les subductions intuitives, les extériorités, des mains biologiques.

Les peintures d’éléphants figés d’anatomiques orgueils éclatés, de statues réflexologies les abeilles prostituées, des cataractes à sourires vierges, des captations intégrales, les planètes génocidaires, des hosties comparatives, ô planètes sémantiques des Arts constellés, des littératures incarnées d’aurores à puits des chastetés télé-structurelles, les vapeurs des rêves géographiques, ou des azurs de torches tremblent, frémissent, des odeurs implémentées, les rires à zéphyrs, ô liquides associatifs, des catalyses transfinies, ô infinis Socratiques, ô comportementalismes, des arbres à peaux de pubescences synaptiques, ou hurlent les souffles extrasensoriels, ou des épures sensualistes, drainent des animaux polyglottes, ô polythéismes des souvenirs à fontaines, des acryliques grappes temporelles, ou brûlent les silences d’écritures défragmentées d’existentialismes abstraits, ô églises des artefacts ou s’exhalent, les pores graphiques, des cyclicités théologiques.

 

La poétique de Loup-de-lune est miraculeuse. Elle révèle une poétesse aux thermostats complexés d’idéations mentales, aux corporéités, aux soubassements télépathes, des offrandes littéraires, des diamants larvés de déterminismes ontologiques, ou s’exponentialisent, des partages bénis, des génétiques du miroir vidé, de symphonicité, d’hyperboles consanguines ou s’épurent, se hasardent, des dyscalculies amoureuses, des centrifuges naturalistes baignées, enveloppées, tissées de nourritures, à cascades des symétriques récognitions, des douleurs numériques, ou des vapeurs oniriques, théâtrales, cosmiques, intègrent des soupçons d’araignées cryptologiques, des enfantements dialectiques, des félicités d’une langue, d’un style aux brasiers préhensiles d’horticultures, des transparences infinies.

Pâmoisons de harpes endocrines, des cétacés du miroir asymptotiques, des crânes fétichistes ou quintessences, des lueurs sémantiques, les révélations perfusées, des imagos compassionnels, les élasticités mélancoliques, d’un style aux ipséités métaorganiques, métabiologies des corporéités stigmates des sangs voilés, d’aveuglements plastiques, des théologiques d’osmotiques comparaisons schizophréniques, ou dansent les sourires d’un corps, d’une identité aux ossements intuitionnismes, Loup-de-lune aux Charmes révélateurs, d’un dédoublement inorganique, flagellé, des spectres filamenteux, des farines emprisonnées d’aurores linguistiques, prodigieux, car Loup-de-lune et ses idiosyncrasies artistiques, transvase, transvalue des hybridités, des chaos hyperboliques, là des décomplexions d’un parfum aux cerveaux « téléplastiques, » des nucléaires tridimensionnalités, des éveils d’un pneumatisme hermaphrodisme, les cigales différentielles, des kystes oubliés, des silences cosmétiques ou brillent, épousent, des oiseaux à violoncelles cubiques, des syntagmes réfléchissements, les algues contiguës, des sirènes ontologiques, Loup-de-lune, est une personne métaphysique, surnaturelle, et des figements de papillons inorganiques, métaboliques, in-structurelles, vibrisses des herméneutiques diététiques, des parchemins inconscients ? radioactifs… .

Merci Loup-de-lune d’avoir illuminé la poétique de tes feux transcendantaux…

Je te salue poétiquement et nous nous retrouverons dans d’autres cieux… !