Mon style poétique est craché, extrait, à travers des diffractions mentales, générateur de chaos existentiel. Il est pénétré de métaphores, aux métabolismes incarnés, mathématiques, comme un ordinateur abstrait, inconscient. Il traduit ma vision du monde comme éclatée, arrachée d’un tissu du réel biologique, d’une trouée organique, accrochées de métaphores nourries, consubstantielles, par des degrés poétiques, embrasant les sphères étoilées, des Logos créationnistes. Il faut bien avoir à l’esprit que mon style poétique fait fi des conjectures égrenées, par des déontologies classiques, normatives, du bien-pensant, qui pourraient considérer mon style de logorrhéique, comme du vomi cérébral, inexpérimenté, délirant, pathologique, déconstruit, d’un ensemble à architecture musicienne, ou la profondeur réale, de ma prose est déstructurée dans un langage, aux pulsions biologiques, littéraires, aux identités, d’une poétique caressant la folie surréaliste, d’une prose chirurgicale, avec des codons informatiques, des corps artistiques, baisers des humeurs, aux respirations quantiques, verbales instrumentalisations, des métaphores intentionnelles, ou dansent les degrés vitalistes, des complexions mentales, aux catalyses psychologiques, des mains épileptiques, car je vide les mots de leur substance, de leur nature, pour les transcender comme un sculpteur de glaise, comme une symphonie littéraire atomisant la langue, dans ses infrastructures nominalistes, à déhiscences des végétations psyché, déterministes. Lorsque le sage montre la lune, moi je ne vois pas seulement la lune mais une immensité d’étoiles derrière cette topologie, à chair intuitive. Il existe de la musique abstraite, de la sculpture abstraite, moi je propose une poésie abstraire en absolu. C’est un véritable feu d’artifice, une joie célébrant les couleurs profondes, d’un univers exsangue de folies à miroirs, de clairvoyance, d’extrasensoriel rationalisme, ou s’illuminent les souffles pulsionnels, d’une création ontologique, embrassée de parfums protéiformes, polyglottes, veinée de logique surréaliste structurale, peintures psychédéliques, primales, compulsives, vectorielles des images vivantes, chlorophylliennes, à visages synaptiques des automatismes subconscients, ossements ontologiques, ou dansent les mots proches d’un kaléidoscope, d’une prose aux reflets irrationnels, en apparence, mais véritablement nucléaires, dans des olfactions mentales, irréelles, écriture automatique, des brasiers émotionnels. Je suis bien conscient de la densité de mon style, quasi illimité. Mais pour apprécier mes textes à leur juste valeur, il ne faut pas s'arrêter sur le flux apparent, synthétique, de mes constructions grammaticales, comme un ruissellement de mots incohérents, paralytiques, à gestations manquées, synergiques, sur le pneumatisme des processus des corps abstraits, vitaux, empreint d'une richesse folle, anthropoïde, théâtrale. Mariage d'un oeil ! Je me sustente de pâmoisons acoustiques, végétales, minérales. Je crée une langue touchant les cordes existentielles de l'âme, du diapason chimique, des lucidités plastiques, phénoménales, mythologiques, les doigts enchâssés de brûlures maïeutiques, des soleils macrocéphales, les zéphyrs continentaux des images numériques, énergies des âmes communiquant des fragrances à pulsions littéraires, tensorielles. Orchestrations d'une langue aux clystères cannibales, aux aliments perfusés de sensitivités irrationnelles, par-delà les proses fétichisées de larmes alimentaires, progressives et touchant les imagos poétiques des incantations cellulaires, possibilités... .
« Des cervelles de chairs brûlées d’abeilles holocaustes les clepsydres des mains à arborescences des liquides électriques enfantés de pachydermes à pendaisons sociologiques
Des cataractes d’oiseaux ensemencées de délires de peaux structurales ou pleuraient des soleils à tissus de végétations aux paupières de langues clairsemées de ventres inductifs
Par-delà les génocides de prières aux silences d’araignées rousses aux craies et séparations intuitives des jaillissements à statues linguistiques, matricielles des absences plastiques
O les arbres aux incandescences tordues, sarcastiques, sardoniques en exhalaisons des mouillés astres aux aurores neurologiques des stigmates à billevesées des naissances
Aux dispersions lacrymales des sourires aux ossements théologiques, fractales, aux nourritures de cétacés ou riaient les substantialistes transparences des nénuphars dansant
A travers des Océans embrasés de figements, d’illuminations déchirées de balançoires ou riaient des séraphins élastiques, aux cigares des satyres esthétiques, aux implémentations
Des lueurs oniriques mordant les épaules prêtresses d’une Lune aux pâmoisons de chrysolithes les loups décharnés d’yeux hybrides, bicéphales à genoux des cerveaux aux élytres
Silencieux, inconnus flagelles des panthères de harpes fécondes ou les avenirs des colombes aux déguisements des pierres en fontaines des flottements génétiques aux brasiers
Suspendus de puissances blasphématoires égrenées de fusées aux azurs temporels, écrasés, vomis, crachés, extraits par des raisins quadratiques aux mémoires de doigts
Souffrant des nourritures aux hypostases de lilas, de pampres, là ou des ruissellements de larmes aux lamentations, aux tourmentes, aux jérémiades projectives des parfums
Grouillant d’ipséités des pachydermes à lampes criblées, végété, intégrées de flaques télépathes aux splendeurs déliquescentes des géométriques personnalités aux intentionnalités
Des délires ineffables, coulant, au-delà des peintures gonflées d’impassibles bénédictions des tâches de sangs aux rousseurs limitatives ou des identiques hautbois aux inerties de cygnes
Lynchaient des réflexivités de serpents aux décomplexions larvées de poings anthropophages, les maïeutiques des torches d’abeilles aux discriminants des éveils d’opiums aux nuits
Des caravanes nouées de licornes aux naturalismes des ongles de chastetés par névroses des degrés les nonchaloirs brillants, étincelants, des murmures de cristaux aux flux immatériels
Là ou des mystères éthiques, religieux, fermentés de raisins acoustiques, hurlaient des vampires aux lucidités de lavandes morcelés à l’intérieur d’évanescences basaltiques des pores
D’adieux aux planètes circonflexes, ô convergences blessées, endolories, cicatricielles chevelures noyées de vins bleus, d’incontinences logicismes des alcools travestissant les âmes
Des liqueurs aux puits d’ivresses, là ou hilares, les ivrognes nucléaires, éléphantesques jusque dans les idées emperlées de Danaïdes astrales les semences, les pitances des encres roses
Ou des plumes hystériques, asymptotiques, génératrices de lèvres oubliées exemptes de délires de flûtes aux métabolismes léchés, bus, dévorés, les cécités inorganiques des langues aux
Aux émanations débridées, scientifiques des clystères d’iris aux louanges inextricables des lessives, des lavages de neurones bisexuels ou les alcools vibrent, existent, incarnent
Des mathématiques pulsions agricoles, aux vignes cognitives, ô délices des tondus sarcophages aux viandes pubescentes ou des déhiscences d’horloges abstraites, cryptographies
Les silences topologiques des mondéités agenouillés devant les zéphyrs existentiels, les fronts couvés d’associationnismes Libertés des citrons d’alcôves déterministes, ô clefs
Des voyelles aux sphinx des ostensoirs d’écumes nus dans les firmaments géologiques, comportementales martyrs des avalanches d’eunuques comparatifs, ou des pendules anthropologiques
Aux mysticités des microscopes transcendantalismes des cosmogonies d’hydres « botanistiques », les cymbales aphrodisiaques des infrastructures monstrueuses aux catharsis voilées
De lèpres minérales, là ou méditent les pyramides chimiques, numériques par transmissions des singes identiques, ô cordes aux sépulcres ou des quintessences de lunules dramatisent
Des dendritiques d’onguents les parchemins menstruels des historicités de papillons humains, ô chrysalides des territoires aux synergies suicidées des fractales gestations géométrales
O flambeaux de flacons dissociatifs, ô ruptures des codons transférentiels, ou des peintures informatiques se recueillent dans des chars ontologiques aux nixes contraires, séparées, distanciées
De vomissements de baisers aux drogues symétriques, aux violons d’apartheid déstructurés, télégraphies des musicologies tensorielles, intentionnelles ou dégueulent des miroirs d’épaules
Aux polythéismes sémantiques, perfectibles, capitalistes, les chaos des flots communicatifs ou des pneumatismes d’absinthes déterritorialisent les omoplates transfusées de calciums bleus
O vespéraux feux des paumes centrifuges, hermaphrodites, manichéistes éternités grimpant sur des nymphes aux couteaux réfringents, analytiques, ô échos des pulsions binaires
O réceptacles des cachemires ignorés d’un paysage aux blondeurs tièdes d’infamies les fourmis modélisées de congruences folles, démographes, ô compositions des Fortunes d’un automne
Aux mendicités scrutatrices des énergétiques symbolisations démultipliés d’offrandes aux idiosyncrasies voyantes, extralucides des jambes d’Osiris jonchés de requins apostasies
Des artefacts aux transsubstantiations d’infantes oboles des osselets ethnologiques, ô anathèmes des mélancolies pestilentielles aux morsures, aux gerçures des flagorneries hypothétiques
Ou des impulsions de cyprès, d’améthystes, jouissent à l’intérieur des diffusions, des marécages expérimentaux et des clavecins de mimosas aux oraisons perclus de nuages
Ou des jaillissements de poumons dévorent les lézardes, les zébrures accouplées avec des astrologies harmonieuses ô plantes passéistes des mécanismes aux pantalons d’animaux
Attouchés d’infinis cycles aux castrations transactionnelles des péchés alimentaires, ô cartésianismes des cartilages d’un albatros aux commissures de pluies systémiques
O œil aux autels efflanqués de catastrophismes les chirurgicaux inconscients des indifférences les ondées d’harmonicas ô passementeries des colibris en confitures d’auréoles
Et de lampadaires aux architectoniques extatiques des coquillages inférieurs, ô pieuvres des singularités créationnistes ou des bruissements fauves vagissent à travers les cailloux infanticides
O Oméga des haines fétichistes, ô chats symptomatiques, ô diapasons métaphoriques, O graphologies des Hasards… .. »
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« Des rêves apparaissaient comme des puissances intérieures égrenées jalouses ou dansaient les chairs profondes des spectres aux silencieux firmaments fauves, éclosions
Des mains mentales à pentateuques chars des Apocalypses pensées chirurgicales abandonnant des délices vierges aux cycles éternels, pavoisant en des sourires
Visionnaires clairsemés de morcellements gigantesques des fûts plastiques, acoustiques, flagellés de liqueurs de pachydermes aux idées confuses
Ou régnaient les désirs des ruines accouplées de songes génétiques, voilés d’archipels à cimetières des citrons inharmoniques les vapeurs floconneuses des chevelures
Mendiant des pendaisons déchirées de brouillards intermittent, accroupissements d’astres flottant sur des foudres zébrant, perfusant les langues d’yeux interrompant
Les blés associatifs aux sourires de forêts intégrant des baisers effrontés, aux feuillages différentiels les animaux aux écroulements de fontaines évanouissant des corbeaux
Les transparents grillons crénelés d’apothéoses circonflexes, lumières de charrues aux implants, aux discriminants des torches inaccessibles d’arbres recueillements des symphonies
De loups, aux clartés immaculées de complexions d’auréoles soufflées de germinations ontologiques, essentialismes des degrés aux verticalités extatiques des poings à lyres
Les parfums versés d’unicités des ramages incléments ! Frénétiques des ineffables dissolvants des éclats méditatifs aux mélanges inconnus, filtrés d’érables gonflements des cuisses
Aux laitances des chaos, des démesures de frissons aux idéaux d’éden les ongles chimiques aux pubescences d’araignées instinctives des fécondations exhalées de souvenirs
Aux pierres terminaisons religieuses des prêtrises de citadelles élastiques, gangrenées d’asymptotes blondeurs des cygnes aux cornes de rébellions mangées de gouttes d’abeilles
Aux naseaux migrant des serpentements d’holocaustes à ruptures des cataractes géométriques, maudissant des hydres boiteuses aux clystères de statues enchaînées de squelettes abstraits
O courroux bleus des ondulations d’alcôves aux alcools déterministes, ô immobiles et figés dragons à linceuls, irisés de convulsions, d’épileptiques imagos sans parchemins hystériques
Des campagnes aux forges d’abstinences les zéros athéismes des neurones descendant les décombres des chastetés artistiques, vieillesses des flacons de paraboles déliquescentes,
O symboles des regards aux peintures de tigres les troglodytes comportements des flasques dérèglements aux roulements aux hécatombes à genoux sur les fronts érubescents
Des glaives de Jupiter enlacés des bacchantes à ossements reproductifs, les flûtes trahissant les oraisons de distributions à tableaux évangéliques des vins prostitués les sirènes
Aux nénuphars candides à gestations des métamorphoses tragiques existentielles aux chapelets de sémiotiques à autels végétatifs, ô figements immortels des sanguinolents violons
Aux temples des hideuses, admonestations les épaules aux démences subtiles, aux nœuds difformes en Libertés brisées d’éclatements les enfers aux crevasses, aux viscosités, aux
Miasmes des capitaux meurtris d’écorces aux puits croulant devant les Léthé aux infortunes d’empirismes à flots de continuités les artefacts fourmillant des enclumes écrouées
D’éthers aux rouets analytiques, des essaims de têtes à luths des éveils d’hautbois des nonchaloirs aux haletantes vibrisses des biologiques pilastres de métabolismes à paupières
De bijoux les éléphants décharnés de délires de femmes aux glaciers anatomiques des Asie aux mœurs des scythes à intentionnels chevaux des peaux sémantiques, blanches
Des singes aux varechs punitifs, les Grecques panthères des charrettes à pyramides nerveuses, les hybridations agricoles aux syllabes des filaments immortels, pieds de platanes
Aux thermostats d’angoisses les présages aux herméneutiques trahisons des nuits d’arc-en-ciels, aux mausolées pâmés, mysticités des mémoires aux imprimeries mécréantes
Les infrastructures des blasphèmes aux évangiles bohémiens des effondrements crevés de papiers animistes, des harangues tutélaires de diamants à aumônes cérébrales
Les pieuses lampes aux télescopes vertèbres des Platon aux gémonies sans idiosyncrasies des quintessences d’épouvantails à dédoublement des tabernacles violés
De cymbales domestiques à cous de boutiques précieuses, spécieuses, voilées de tapisseries aux gémissements prodigieux des extractions de botaniques coagulant
Des mystagogues aux blessures d’infâmes amulettes aux rotules prisonnières des orgies hermaphrodites, néantités des larrons aux présences de fleurs phénoménales
Traînant des cloches de mâchoires criminelles, ô biologiques libertés engendrées de croyances aux efflorescences de citernes quadratiques,ô rouges Espaces des littératures
Aux couteaux endormis, aux deuils des prêtrises courbés d’austérités à flocons des ténèbres les pâles ossuaires physiques, hosannas des aubes aux pleutres démons
Des consternations, des chapelles vitalistes aux embrasures d’anachorètes systémiques infidélités des Satan aux clavicules d’échelles à modélisations mimétiques
Des guerres aux ampoules télévisuelles des sarments d’autres atavismes du miroir aux pieds bleus, ô étriers des montagnes cartilages les cellules aux panaches livides
Noirs, rampant les esclavages des reptiliennes absolutions les mathématiques aux limitatifs eugénismes des archanges aux catastrophes numériques des planètes
A castagnettes incontinences les étincelles effacées des moustiques aux feux de toits torrentiels des décombres zébrés de rougeurs monastiques, les ferments tribaux
Incomplétudes des débandades égorgées de cendres aux âmes lâchées de vacuités les veines pénétrées d’un cliquetis d’hosties entropiques, les manants vivaces, infusés
De comparaisons aux préétablis les neiges Africaines des géodésies intemporelles, les liesses magnétiques des râles escaliers de ventres harmonieux, ô divinités d’ailes
A dédales des muettes Minerves accrochées de pulsars vêtues de chrysalides aux transmissions d’architectures les cailloux individualistes, ô traînées des feuillages
En des perspectivismes de racines Orientales ou des calices de baignoires sculptées de supplices les gisements d’éoliennes aux pourfendues baleines riantes et caressantes
Des nixes nucléaires aux dissolutions respiratoires des siècles broutant des transcendances d’animaux linguistiques, ô nymphes aux préservatifs graphologiques, hypothétiques
Les Egyptologies des cèdres à désastres d’alcaloïdes nourritures, ô polymorphismes du doute à paranoïa électrique, complexé de Justices aux morsures d’oranges à bicéphales
Vertèbres des anomies d’achalandages les statistiques timides des toisons dépositaires des vautours aux tiges pénétrantes des mollusques tendus comme des fœtus arborescents
Ou des bleues identités aux transformismes de jades et de rubis les lambeaux contrits des clavecins algébriques aux théologiques censures des emphases de dents aux Lumières
Naissantes par-delà les épithalames des insondables porcelaines des géhennes d’escarboucles à synergies des pampres aux gypaètes en toilettes d’adieux les cheminées dialectiques
Agneaux empourprés de décompositions les impuissances fendues d’inexpugnables linéaments des moqueurs d’orties aux convalescences de cheminées à guêpiers relationnels
O souliers chauves des prédilections de mentons crus, ô transpirations des hasards personnels, ô prairies champs vallées des lenteurs d’aubépines humaines, ô chandeliers giratoires
Des mamelles ennemies aux javelles d’âmes, de peaux, de coeurs polyèdres, les lingeries des forgerons dématérialisés, rompus, éreintés de lavandes psychanalytiques
Ou des symétries d’étangs habités de sangliers démocratiques, politiques, sifflements des foyers aux appétits des écritures capillaires, les sangliers doxologies des hypostases
Aux lacrymales génuflexions des caractérologies de pluies à des noires boulangeries aux intellections neurasthéniques les orfèvreries des savons allumés de passerelles
Ou on bouffe des charpentes d’insectes aux faïences actualisées, ô ondoiements des hôpitaux aux trouées de clés nagent des locomotives microscopiques, ô deltoïdes de poissons
Aux convulsions de sourcils aux grammaires singularisées, ô jeux macabres aux polarisations folles des bouffées d’améthystes suspendues, ô latinismes des fougères métaphysiques
Aux corbeaux des paradigmes trempés de cloaques médicamenteux, les César humanoïdes des massues de joues aux familles enfoncées d’acryliques syntagmes à cordes de caravanes
Christianisées des amazones textuelles, prosternées de pictographies hérissées des lessives décrépites aux entrailles solitaires, des violettes nuques aux élytres de nicotines disparues
O frondaisons des geôlières aux voyances inorganiques des poteaux télégraphiques les sphinx à trous embaumés d’impuretés à funérailles commutatives, des tapisseries de gibets
Aux Providences des plantations tombées de boucheries astrologiques, aux hirondelles mantras des in-expiations d’un glaive à tronçons de cerises imperméables, aux problématiques
De lucioles clouées sur une croix à Grâces des pourceaux entr’ouverts ou les flèches échographiques riaient des blanchissements de gloires globulaires, moléculaires, vendant
Des palmes chez les tourtereaux aux interstices orphiques, ô bouffonneries des cassures de vagissements imaginaires,ô bouteilles tremblant, pleurant, fuyant des préhensiles
Aliénations des ivrognes aux cyclopes des lucidités à un œil identique, délavé, ô voyelles des écoutilles études à mandragores cantiques des quanta obsessionnels, ô Cubes ! »