Merci beaucoup, Monsieur McElwain !
Monsieur de Saint Michel.
Voici mon analyse. Merci beaucoup de l'intérêt que vous portez à l'égard de mes poèmes !... .
A très bientôt !
Mon écriture est proche d’un miroir quantique, à peau symbolisée de chair Biologique, intuitive, comme une spatialisation des émotions ou dansent les mécanismes métaphoriques des corps, des chevelures d’ipséités fractales, en décompositions de fantasmes intérieurs, liquides, éclatés, en des langues incarnées, comparatives, ou je vide les mots de leurs structures internes, je les déracine, les décompose, à travers des fusionnements Musicaux, ou les mots pleurent, dansent, rient dans des substances ou se parcheminent les pensées comme un sculpteur de glaise, ou les mots redécouvrent des combinaisons plurielles, fractales, comme des codons aux transgenèses identiques… l’organique étant profondément encodé… . N’avez-vous jamais remarqué, que quand on se répète un mot à l’infini, celui-ci se vide de sens jusqu’à devenir simple bruit ? Démultiplications des silences verbaux ontologiques, acuités de clairvoyances / imbéciles !… comme des araignées Génétiquement observables…modifiables… Situationnismes des brûlures de mots botanistiques, en déplacement… .
Comme des écritures automatiques sublimées, intérieures, consubstantielles, comme des kaléidoscopes aux synergies des yeux, des langues, de Présences ou je tords la langue dans des infrastructures, des Miroirs réflexologiques, à visages boursouflés…créations d’un chaos à gestations transparentes. Lorsque le sage montre la lune, l’imbécile regarde le doigt, moi je ne montre pas, ne dévoile pas seulement la lune, mais au-delà, dans une immensité d’étoiles, à l’intérieur d’un cosmos aux arrières-mondes, aux peaux cérébrales, ou je pense comme un esprit nucléaire. L’écriture automatique ressemble chez moi comme une poésie abstraire en absolu…. La géométrie métaphore est structurée comme des corps cryptologiques, aux exhalaisons rêvées des odeurs de mots en contacts, en liaisons, en relations binaires, en fusions, ou je perfuse la langue, dans des idéalités chlorophylliennes, en des ipséités de boucles esthétiques, ou la langue expérimentant les cicatrices lavées, de chimiques nourritures verbales, aux pensées mécaniciennes, enfantées de cordes des âmes incarnées, les Musicalités essentialistes, des éveils résonnent comme un diapason accroché de lèvres Littéraires. La langue chez moi est baroque, crevée d’épileptiques incandescences, des coeurs intellectuels, comme cérébralisés à l’infini par des combinatoires innéistes, des parfums ou les mots sont empreints, tâchés, liquéfiés, en « des clonages » de peaux, veinées d’articulations, de congruences, de semences, d’architectures verbales, aux élastiques symétries, des substances grêlées d’automatismes quantiques, en soi des taches d’alcools ruisselant de magnétismes, de pulsions intuitives, décharnées de constructions Musiciennes, ou dansent les ensembles des maïeutiques pyramidales, comme des chapelets ontologiques aux doigts symphoniques, et articulés d’assomptions virtuelles, désincarnées, les cerveaux hystériques, aux Esprits éclatés, dans les Espaces infinis, des langues méta-biologiques. Extracellulaires visions, des clairvoyances, d’une langue balancée d’intuitions grammatologiques, déshabillées d’absinthes intérieures.. La langue est macroscopique, dans des contemplations incarnées, « d’acousticités » phénoménales, aux cristaux abstraits, les lèvres poétiques mirées de danses, de pénétrations ou l’univers, le cosmos est ressentie, dans mon esprit comme en une Unicité, ou tout est connecté, superconnecté, dans des métastases d’âme organique, dans des danses Littéraires, ou tout peut entrer, les mots, en contact, en résonance, en fusionnement larvé de distances, d’identités, de reproductibilités, irisées de complexions, des corps mimétiques, symétrisés de partage, de nourriture, d’accouplements temporels, Espace aux degrés des représentations chirurgicales, ou les mots « s’intégralisent, » dans des images, aux rouages plastiques identitaires, hypnotisés d’hypostases mentales, aux peintures hybridées, sensualismes corporels, des Géométriques visages, aux puits dissymétriques, aux brasiers étranglés, d’un style métabolisé, des magnétismes biologiques, corporels, comme des émotions physiques, réflexives, ou tout, chez moi, est démultiplié, dans des Littéralités, aux ossements télépathiques, aux transmissions d’impressionnismes intuitionnistes, là ou chantent les corps d’yeux aux profondeurs mystiques, ou je danse dans les Miroirs, de mes perceptions Méta-substantialistes.