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Biologies Surréalistes Poétiques


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#1 clemouchka

clemouchka

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  • Une phrase ::Tout est Amour, Dieu est pur Amour.

Posté 05 mars 2022 - 07:54

Des doigts chargés de pluies ou des ravissements roux pâmés en des chevelures d’araignées hystériques.

Pleuraient les zéphyrs ramifiés en des chairs d’azurs parfumés d’alcools aux plaisirs fantasques. Sculptures des imagos intérieurs.

Là ou des cristaux d’entrailles violets, dansaient sous les alcôves profondes. Océans d'hosannas mathématiques, diapasons des fantasmes compensatoires, hydres systèmes des eugénismes totalitaires, symétries des catins musiciennes.

Des cétacés coupables de pénétrations ennemis, progressistes par-delà des brûlures électriques ou s’intégraient les prières infécondes, des puissances criblées de ruissellements parcheminés, de baisers obscènes.

Les puits ravissements, les lèvres des cristaux mystiques. Signatures des synergies à lavandes péchés.

O clystères associatifs des liqueurs d’offrandes épouvantées, à l’intérieur des statues empourprées, de prédilections des silences infinis.

D’astres enfantés d’églises aux recueillements des tombeaux, des flottements d’abeilles vitales.

Des nourritures liquides, épouvantées, hurlaient des violoncelles reproducteurs, de charognes aveuglées de capiteuses, pantelantes sibylles, des labyrinthes efflanqués, de tristesses à genoux.

Devant les génétiques ondoiements, des pilastres symbolisés par des singularités kabbalistiques d’encensoirs ensanglantés, des soupirs exhalant des murmures biologiques, abreuvés de fleurs génétiques, matricielles.

Des percements symphoniques mangeaient les délices d’ossements noirs.

Des imprimés sociologies des incontinences expiatrices, des fécondations Vierges.

O épileptiques nuits nauséeuses, balancées des géographies palpitantes, des lustres musicologies.

Où flamboient illuminent, les élastiques sourires créatifs en des toilettes captivées, d’offrandes éternelles.

Les vins ô orages complexés de gourdes écrasées, ethnologies des conatus invisibles,  vomitifs les absinthes pachydermiques, clairsemés d’entrailles neigeuses ou se prostituent les abeilles exponentielles, des catharsis mensonges.

Aux tissus crénelés, d’abstinences logicistes.

O degrés des tombeaux extatiques, chus, écroulés, lavés de cultuelles pensées, aux reliques cadencées d’horrifiques chapelets.

Des clavicules d’apparents vieillesses des cultuels couchés auroraux les poings en peintures empourprées d'alvéoles atmosphériques perclus des mains gorgées de semences alchimistes, ou des pendules métaphysiques, surréalistes, puisaient des souvenirs instrumentaux.

Irisés de reflets imparfaits, démultipliées d’angoisses chirurgicales.

Là ou des bateaux traversés de situationnismes saccagés, mortifiés d'écumes transfusées  d'alimentations des territorialités d’océans de lavandes lacrymales, peignés d’appartenances songes des pierreries, aux lanternes des miasmes déliquescents.

Grâces de satins d’anges hybridés déracinés, chercheurs de comètes existentielles.

Haineuses imaginations des papillons des cerveaux gluants, aux clartés mouillées, des cataplasmes géométriques.

Incarnées de matières d’infortunes vivantes.

Polythéismes rompus des algues littérales, des connaissances à breloques désirées, des brasiers infâmes.

Communicatifs les anatomiques religiosités les essences chargées, haletantes, des sacrifices éprouvés d’indolences mendiants, des cataractes protéiformes.

Des hygiénismes de visions aux verticalités, des bouteilles exorcisées, extraites par des fanges grêleuses.

Contractuelles impuissances des Logos pendus, des cicatrices exilées, orphelines.

Des nombres d’êtres ou des saltimbanques immatériels, gnostiques, des complications décharnées d’appétits diffamatoires, blasphèmes des fantômes en réminiscences domptées, des persiflages d'arbres intuitifs.

Communiquant les indifférences des cygnes lutteurs, des végétations théologiques.

Pubescences des stylisations guillotinées, des capitalismes dégoûts. Volubilis des signatures telluriques embrasées de fronts à licornes des clairvoyances physiques !

Anathèmes des microscopiques cueillaisons, des jardins clandestins insomniaques.

Des capitulations d’orfèvres, d’orfèvres déshérités. Haineuses graphologies des forces du néant à visage temporel.

Lactescences tordues bicéphales, des intentionnalités de torches prismatiques.

De belvédères éprouvés de prosaïsmes décrépis, charmants, des processuelles synaptiques.

Eprouvant les schizophrénies télépathes, des univers en peintures hypothétiques, des orchestrations perdues d’altérités extensives. Identitaires !

Par des distanciations alchimistes ou des cauchemars de clairvoyances infinies, évanescentes ontologies des murmures en raisins des corps abstraits.

Dégorgées d’inclémences d’agonies inouïes, ou les tortures pharmacologiques, édificatrices des pierres impressives, égoïstes. Egotismes des vendanges athées.

Méditations, des transparences analytiques éducatrices des ferments constellés de rousseurs d’animaux, aux intuitions, des contraceptifs identitaires! Hégélianismes en suppositoires des comparaisons méta-organiques, animalcules des hasards imaginaires. Accouplement des nourritures numériques, des substantialistes appétits crénelés d'affres à codons d'encres mécanicismes, ô horloges des pulsions prédicatrices d'ondées machinistes, ô infantes, ô plantes !.. . 

O singes sensualistes, ô vapeurs sémantiques des mensonges, ô poussières des Relations entropiques, ô idéations… . !