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La chambre dont le reliquat de noir s'est mué en congés archanes : 100 tableaux _ première partie


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#1 Loup-de-lune

Loup-de-lune

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  • Une phrase ::« Je suis la jeune leucémique des lisières, dont l'allure odysséenne et frêle tantôt se coule dans le rêve tantôt repasse le linéament du réel... la jeune érythrophore des confins, la féale étymologie des crépuscules, qu'intégralement la mort est impuissante à com-prendre et que la vie échoue à con-cerner entièrement... »

Posté 18 mars 2022 - 03:19

La chambre dont le reliquat de noir s'est mué en congés archanes : 100 tableaux _ première partie





« que neige la retrouvaille_
  je me suis arrêtée là
         où le sentier s'arrête sur un mur
      haut
de plusieurs tours de secondes et de jours morts
                où le secours est infirme
  alors que si vaste est la terre

             seul le squelette des mots
                     _et pas d'eau


Une lectrice





... entre vos yeux et ce qui est vu, se déploient les ailes de votre imagination togée de votre savante sensibilité . . . . . . . .


Un lecteur





... de ce que vous ressentez (...) à la gratitude que je vous exprime... quel essentiel voyage pour le poème, et sans avoir quitté la racine signifiant accueil et faveur...

... je me souviens de la pensée d'un philosophe de la Chine (très) ancienne... il parlait des prodigieux voyages que faisait son esprit sans que son corps n'ait besoin de sortir de sa chambre... prodigieux voyages... et vivifiantes rencontres, vous en êtes ici l'heureux témoignage !

... l'alphabet ressemble à un pré tout à la fois humble et immense... les bouquets de poèmes que nous y prenons changent nos poings en corolles ouvertes... nous devenons porte-parfums sans jamais diminuer la source . . . . . . . .


parce qu'à la lueur hématique
on répute le regard magicien
les carreaux partagent
s'intervertissent
recomposent

et parmi les croix qu'ils continuent à dresser
arlequin bouffonnant leurs angles droits
un instant de ballons de couleurs
diverge de la radiale leucémique . . . . . . . .


L'auteure





01/100


le lé des éléphants de moire
s'émeut à de soudains cortèges
clairant ses plis paysagés

la lucarne déguerpie
un losange voyage la lumière
au long du mur balafré

la serrure appesantit sa réflexion
l'angle feint de briser
le nuagiste d'éteindre

mais bouquetière sans cueillaison
elle muse déjà sur le papier peint
rappelé à la corollescence

et son fidèle éclat épousant l'oreiller
un indistinct de feuilles et d'ailes
emporte la jeune sommeilleuse





02/100


elle glissait lentement
à travers la pause des souffles
après que longuement
les faîtes eurent effeuillé

elle n'éprouvait plus
la faim enfantine
des ronces

abandonnant ses émaciements
au parsemis de la chute polychrome
qui allumait les arantèles verrières

un essor comme bris fit ce papillon
des ignescences niellées de poudrin





03/100


Épanchements diaphanes
orangé jaune et blanc du rideau
dans son silencieux incendie
les matins sceptiques
midi qui désaime
et les soirs moroses





04/100


Malice des fétus un minutaure ossuaire s'est esquissé

au bord des ares de consomption

en féale retourneresse se pose sa linoïde feuille

sur grève et voile qu'empoudre le nielleur du réel

mais l'isoangle axiome va glissant

dans les ravines de ses réfléchissements





05/100


J'ai cueilli le théâtre
que le mouvement de mon corps
faisait glisser sur un disque de safran pâle

J'ai confondu ses sommets d'encre

Et parmi les élèvements j'ai historié mon ombre longue

que le ciel écime en étoile du soir





06/100


à même le temps anuméral
le tamaya suspend
sa carpomélancolieuse angélophanie

mais sur tant d'ailes de scellement 
l'après-sombre calque ses paupières 
afin que paraissent des yeux de péridot

le tout à coup de safran
promeut les angles qui fenêtrent
au nonchaloir du sfumato 

et par-delà l'évidence verdie 
ingénument l'ombre route les aoûtements
dans un guillochis polymorphe





07/100


tout orchestique

jaillissante de la sardane
une sylphide
fragrante de cinname

à l'entour de mes ambres motile
et sa labiale qui perdure
de ma détresse long délié blandi





08/100


le beige transitoire
de l'hémi-lune
par-dessus la guipure des faîtes

le spadassin n'en finit plus
de distancer le coup
dans l'imminence des étoiles

les métaphores attrites fluent

mélancolieuses
et orantes
les prosodies gouttèlent

l'effus va
se profilant
en clair d'évadé

phanie
jusqu'à l'affinité d'une nova





09/100


Or sur l'angle enchérit déclos un incunable

virescent tout le onzain de ce qui mire Et princière

démurant en regard la traduction pour l'impalpable

au-dessus du minéral trois fois simulacre l'abat-jour

le devancement de ses défailles en une intonation réunit

Aussi par l'onde lue le temps amnésie son minuit





10/100


de cette embellie
l'inespéré

par surcroît
du chat fauve l'inopiné bondir
dans l'arbre de pluie
qui emperle et gorge les carreaux

à ce point étincelé
le remuement
une cristallerie cascade
en manière de bénévolence

et de tous les carats de l'instant éclabousseur
aumône les prunelles mendiantes





11/100


Et d'un soir
s'augmente
l'arcane

aussi du jardin
se prononce
la saillie lumineuse
du rose

dard vrai
dont frissonnent les flancs
de l'ogresque temps





12/100


Goniokinésie de l'automne fluvial

l'angle
infatigable
que refait l'oblique sud
des foisons de feuilles décidues
avec l'horizontale du courant où elles nordissent





13/100


Dans la salle d'eau
la cire ruiniforme
aura enseveli le chandelier

en flamme négative
un papillon point

s'en détache

et volète

jusqu'au safran inégal
qui lingote la lampe

longuement prodigue
de sinuosités
de rebonds
et de serpentements

enfin au clair d'orangé
il se pose en patience de plaie





14/100


Espéreuses d'apoastres après la sinécure du collier

deux perles germinent le cristallomauve de leur désengrènement

circumvaillantes de la mincie qui verre la soucoupe écaillée

sous la flagrance biaise du blanc la cursive déguerpit ses rubriques

alors de la lampe les arcescentes jaillies longues

peuvent brecher tout ce qui plafonnait encore





15/100


L'éclaircie
vole les moroses

et tout à coup
dans l'hymne ruisselé de la ville
sur les barbes lucides
d'une plume perdue
ce pas
gracieux
et complice
à en recomposer l'oiseau
qui préludait au premier ciel





16/100


Le sang scintillé

avec le fusil d'or
on a fait feu

la plaie est une étoile

désormais la constellation du cygne
accuse un grain d'effusion





17/100


Et s'allument les reliures
ce mot de florilège bouturé par l'aurore
les corolles qui depuis peu les effleurent
la nuit les a effeuillées
au pied des rayons sur les arabesques du tapis
empreintes roses d'un voleur de poèmes





18/100


Vin arbalétrier


Sur le lot de la table
abstrait
le minime arc de verre
s'échine à être tendu

par l'ombre


En inerme rubicelle
pâlit
dès le premier milliare
qui l'enchâsse

le carreau radié





19/100


abondamment l'heure
pleut sur la lucarne perplexe

d'une exponentielle fable de mer
le poisson va
espaçant un fauve bois qui le feint

et par-dessous l'oscillation d'imminence
le socle passe l'évident de poussière

dans les entrailles de sa couleur
le verre féal
évince de la satiété
son coupon d'eau

or par l'alternance
qui chérit l'erre nébuleuse des tranquilles
l'embellie imbibe la chambre

et se cristallisent les tissures de nage

cependant que toute la coriacité des tramails
se fond dans le prestige d'un fanal rose





20/100


l'apparu

soudaineté duale

ces rubacelles lycofrages
d'un regard qui

trans

fixe l'orée

nattée de secret
et d'album

d'onirifié
et de réel





21/100


Verts céladon bleus du frêle
blancs enfance des ombres
pour la neige de l'orée virginale et l'arc léger d'un lac
pour la guipure d'un bois et l'éploiement d'un ciel
les paysages dont s'éprit Marianne
fenêtrent le silence





22/100


J'aurai laissé
sur la luxuriance des arabesques
parme et lilas du lit

dans un flammiforme ajour
de l'écharpe
qu'elle a nouée si souvent
autour de sa gorge de cannelle

une photographie de Meilihua
souriant un poème


Osseuse
mon hôtesse et
versatile
est retournée en mon absence du

secret

de son escapade

 
Ma chambre vespérale me révèle
la table qui folliflambe
d'une girandole en miniature
de disques et d'ovales
orangés et brun roux
fusant de la translucidité
d'un rose marmoréen

 
Célères

des rayons

sont

javelés

par la nuit

 
Au coeur d'un tétragone de la bibliothèque
le florilège dont j'époudre les tranches
avec la pulpe focale de mon index
va en dorant ses réfléchissements





23/100


De toute sa languide hoirie
l'azur s'en remet à la taillerie des faîtages

les angles dyspaonnent

déjà la goule plantureuse
désigne ses appétences

l'impact s'est emparé


Ce reniement
lucide départ

parmi le zéphyr céréalier
se sera vaste accomplie la réfection

or pierres et cailloux
à disséminer ainsi la présence opaque
aiguisent la mémoire du bris





24/100


Des coffres roulent leurs monceaux oubliés des mirances

des portulans s'exhalent de l'ingénuité des fouilles

pour se dérouter dans les limbes virides

résolument emportés sur les dos fugaces

les matelots se surprennent à s'insurger contre l'épave

et bondir déjà les rhabille de lune et de météore 





25/100


Neiges
cendre d'une candeur
après un feu
qui oisela le corps

ubiquité
de la métamorphose

renonciation
au chemin des fondrières

sous les vaporeuses intermittences
d'une étoile de platine
le deuil
partage ses empreintes
avec les grandes terres blanches

le noir déjà
dans un long jet d'oiseau
a ouaté son itinérance





26/100


Pour fins de vasques se sont perpétrés les angles
persiflé l'almanach jaillissent leurs floralies
et même si la sentence muette corrobore l'entrelacs
les pétales énumèrent la diaphanité des pardons





27/100


à même le miroir
cette patience alifère 

lilas lisérant l'ajour phonique 
les lèvres désapprennent la tribune 

filées par la liqueur des étoiles jumelles 
les prunelles décharnent l'appétence 

ensuite des mystifiées du rouge 
le teint vagabonde 
parmi le nébuleux 

aux confins des plèvres 
l'infime envol 
afin que le reflet fût ravi 

les planétoïdes de candeur
que le cou n'appellera plus au cercle inane 
sinuent à l'entour d'un baume rhodophane





28/100


Dans la fixe houle des voilages lactés

un coquillage pulvérise l'éclat

et le liseré d'un pas égal

y fait inépuisablement balancer son sabot

entre le principe et l'intervalle

entre le clair et la coda





29/100


Au pied des tempos suspendus
dans l'aurifique mélancolieuse d'un flou désir d'horloge
des coquillages se sont frayé
le chemin d'effleurer une coupelle d'agates
où toutes les couleurs des mers
reposent l'une contre l'autre





30/100


puissamment sur ma halte
le vent souffle et
sait les voeux de pertuis
où la traverser

en émotions
il mue les faîtes
et l'érinye se délite
avec la plus fugace

au scintillé de l'alumelle
le sang échéant
allume ses nouveaux vaisseaux
ses nouvelles issues

pour gagner les verts et
riche de ce sentiment de sinople
se coaliser avec les ralentis de leur myocarde adoptif





31/100


Tricot angeliciel
sur le carrellement brasillé du mur

parmi les nuances de rose
qui nuent le papier du fond
il ne sait à laquelle
confier son message

aussi il en fait ce murmure
pour les ailes de cette colombe
recouvrant des forces
au creux de sa main hospitalière





32/100


Venue mueuse au monotone rompeur du parquet fauve

la tissure enlosange des losanges

et clepsémie flagramment magnifique

elle a de tout le pourpre irrigué la théorie

qui troque le drame contre la fantasmenceinte des festons

comme en dais le quadrangle mince épanche sa transparence





33/100


les douze dernières marches
de l'escalier
s'évanouirent
dans le même temps que sonnèrent les douze coups
de midi

et je demeurai suspendue
appartenant par degrés
au poudroiement des horloges





34/100


entre l'huile sacrée et le volume cinéraire
enfin je les ai réunis
les livres que nous avons partagés toi et moi

ô ma vie de nomade légère
mon bagage est devenu idéal

et sur la terre hospitalière
de chambre en chambre toujours je vais
où ton filet de voix réitérée
d'entre les reliures de notre bibliothèque funéraire
me destine le poème de notre perpétualité





35/100


Fioles et flacons
eaux lilas et flavescentes
sur leur assiette de vermeil
une petite cité odore l'imaginaire
au-dessous du reflet des yeux migrateurs





36/100


Mon pas d'errance
enjambe des pierres
qui annellent un feu éteint

au long de l'autre berge
une villa parmi la nuit finissante
trisse le nacarat qui la fenêtre

une évanouissante silhouette lente
se coule d'un quadrangle dans l'autre

à l'instant de son éclipse
un appel au tréfonds de moi murmure
si elle reviendra en mage
se prosterner avec le présent de l'aurore
devant ma patience nouveau-née

 
D'une bête
c'est la soudaine sombreur
qui s'approche

prodrome de l'épure du silence
avec son pas égal en houppelande





37/100


Ont cédé les platées de la quadrifaïence

pour fins de pasteller des vanesses

les asthénies confluant vers l'alme éploiement

le casier est lacuné par l'érythrogone

ravissent sur une tourelle les sachons

qui forjettent colorieurs la pulvérulence des vols





38/100


lentement
s'ouvre le bordeaux des volets

le rose diaphane des corolles
parsème les alentours
de sa béance feuilletée

la latence est défiée par une pulsion de coffrets

des aigrettes multiplient
l'oblique volante au-dessus de la route

mon voeu de délivrance aussi
s'enhardit à empenner ma péripétie





39/100


le rose et le blanc
ont suspendu leur ruissellement de linge

renversée jusqu'à la trouvaille
une ampoule dégorge dans l'angle

le lavis
enténèbre ses énigmes de cercles et d'arceaux

le verre
qui a étrangé le verre
d'une neige soudaine
abonde
et chaque carreau renonce son inchoation

mais déjà le gris-bleu
a restitué

l'arbrisseau fige ses oiselles
devant l'inexorable éteignement

ce qui safrane à peine les croisures
leur cède sa quiddité de source

une brume faramine
dévore le cyan des divisions

de part et d'autre
d'un corps qui repose
ces épanchements d'ombre
avec ces rus de mauve laine





40/100


En le florilège de ses ruisselis la lucarne
où des pluies miraient le jeûne des vaisseaux se résume
la dolence au nacarat de ses confins
l'épanouit en scrupuleuses corolles





41/100


une feuille
affranchie de la frondaison

danseuse qu'ont passementée
toutes les métaphores aurifères

elle pourrait gagnant le vert
s'évaporer

mais en cette neige inverse
d'un joyau antinomique
la témoigne un papillon jaillissier





42/100


Au bas de la porte qu'enfin
l'enfant des levants
a voulu entrebâiller

un quadrangle de safran pâle
est déployé par la lampe

pour le théâtre d'ombres
d'une plante pleureuse

trémulante conteuse
de la geste foliée du rose corolle





43/100


cette ressource
qui abasourdit

puis vont s'espaçant l'agglomération

et le corps

jusqu'à la part d'orle qu'élit le banc

goutte après goutte
le folio du carnet
et son expectative murescente
graffitent que source
l'appel de la transparence

et chaque heurt
pâlisseur de voyelle
mutique l'encre rose

l'évanescence du cercle ourdit l'étang

la réluctance
au dernier reflet dévolue
cette lyléenne gisance

presque une prière d'aorte
circonscrit l'incolore corso

à travers les prémices du poème
ces vols criards
qui désapprennent l'éloignement





44/100


partance

les corolles parme
entrebâillent l'air

mon corps atteignant à la taille
de l'imminent coulé
il me reste cette oeillade
pour les chrysocales de l'ossuaire
qui parsème le chemin parcouru





45/100


Avec les linéaments de la métamorphose parut leur cortège

et multipliant depuis le tracé du disparaisseur

leur capricance ils apprirent à jaillir à l'orange et au rose

les cherchures se divaguèrent pour ruisseler sur leurs arcelets

et dans l'ardeur à éprouver la nuit des conquérants sombrés

c'est concordamment qu'ils plongèrent avec l'incandescence congénère





46/100


Trois paniers surmontent une armoire
immobiles de la récolte des heures
et par degré leurs anses tressées
découvrent l'arceau des passages





47/100


à demeurer ce qui délibère
longtemps étourdit le faisceau

linéaments de paucité
au bas d'une inclinaison vague

lorsqu'un sang miraculé
élit les minutes poètes

voile à la lucarne
l'aube de neige
concède un bleuissant défaire

d'un verre le rose allumement
apothéose l'inemploi

dans sa flammerole cueillie
un fruit brûle la nourriture

et sur la courtepointe
où le florilège en chagrin
retourne au germe
des éléphants satinés
troubadourent ce relais
d'ors et de verts rassasiants





48/100


verre
à même la nébuleuse luisance
et l'horizon a diminué son arbre
dans le sortilège leucémique
qui approche les peaux des flanelles

fenêtre
toutes les croix de ton partage

leur sombre accru délivre l'acuité
pour graver sur des tablettes de ciel
sang et vent
oiselles de feuilles
foudre et aorte enfuie

débord des soirs sans rose
et fiole vide sous la lampe des sursis





49/100


la vastité silence des traces
de son retour était ravi le lacet
et sa pensée joignait le vaisseau alenti
quand une part du blanc fut délinéée
et l'approcha pour l'unir à son galop

un verger de lys dépulpait les rivailles
les fibrilles de l'impalpable géographiaient le muscle
la candeur ardente galactisait l'enfant
aux lisières de munificence
les pages lues passées par les présences

meurtrissures de la disparition
héliodores et sucres bariolent les terres divisées
la borne verdoie où ricoche l'appel
inexorablement à la sève feuillole la symbiose

comme la gadoue va la chaussant
elle a des larmes qui enchérissent sur les soles d'eau
réfléchisseurs morceaux des nues évocatrices





50/100


hors le mur
convenu
tête d'oiseau
si imprévue
tu te poses
sur la carène de ma solitude
à la manière
d'une figure de proue
multicolore
miroir
des îles neuves






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