Je contemple l’ineffable splendeur
Je contemple l’ineffable splendeur
Du soleil qui fleure le printemps
Sans laisser l’indifférence et la peur
M’imposer le silence inquiétant
Ou voir dans les yeux exorbités
Des criminels la force qui peut
Me condamner à l’immobilité
Cadavérique ou réussir à dissiper
La vérité dans l’ombre mouvante
Du mensonge ; Je vis le présent
En fortifiant ma volonté constante
De briser les glaives menaçants
Du racisme colonial par l’amour
Du prochain, qui amine les cœurs
Et étouffe le bruit des tambours
De guerre sans attiser la rancœur,
Ou empêcher le temps de calmer
La haine qui perturbe l’harmonie
Sociale et flétrit la rose parfumée
Sans permettre à la sagesse infinie
D’enseigner les principes d’équité
Sociale et de non-discrimination
Pour éviter à la pauvre humanité
La malencontreuse destruction.
Dad Allaoua