Des archipels d'astres dévorés par les yeux fols, élastiques, ô parfums d'azur
Ou dansent les flacons biologiques des étoiles rousses, rêvées de chairs acoustiques
O diapasons chimériques ou des pluies d'abeilles pleurent les prières inconnues, là ou hurlent les citrons temporels
O lèvres cruelles qui se recueillent sous les splendeurs éternelles des violons d'azurs cérébraux
O pâmoisons des rêves extatiques qui frémissent sous les citadelles des perles religieuses qui tremblent, s'écroulent sous les mélancolies suicidées, ô feux d'intellections logarithmiques
O élastiques des crépuscules ou naissent les latences bénies des baisers d'horloges pendus, sous les âmes criblées d'incontinences nerveuses, lointaines, ô torches de peaux vierges, immaculées, qui brûlent les bacchantes des richesses les nuits d'étés qui boivent les cicatrices des templiers les métempsychoses des chevelures d'araignées hypocrites, tordues, ô, tristesses des trainées de nonchaloirs respirant les comètes des angoisses photographiques
Les végétations d'alcôves bénies, ô alcools des songes ou les architectures des linceuls irradient les écritures extrêmes des tombeaux supputatifs, des électriques abstinences ou châtient les mendiants neurologiques, des incendies gemmeuses des pubescences cosmiques recommencées, ô littératures invisible qui oublient les blessures jetées de symphonies tribales, ô paupières télépathes, ô fourmillements égoïstes intégrateurs des aliénations d'épithalames linguistiques, ô mariages d'infortunes ou les lys s'accouplent avec les brasiers morcelés de pendules intuitifs, ô langues suprêmes, ô communications des adages ou meurent les lampadophores originels, ô chimies ennemies ô colombes aux beautés mémorielles des chastetés, ô liquides transcendantaux, ô pierreries parfaites, les vents, les souffles ésotériques, ô puits d'âmes vendanges d'échographies orgueilleuses, ô digressions plastiques, ô chapelets écologiques, les mains académiques, sociologiques, religieuses... .