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Chant poétique aux espoirs d'azur auroraux !


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#1 clemouchka

clemouchka

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  • Une phrase ::Tout est Amour, Dieu est pur Amour.

Posté 20 mai 2023 - 09:42

« La nuit danse sous les candélabres intérieurs de tes chevelures pâmées d'hurlements temporels vivants »

« Les étoiles pleurent des phalanges silencieuses aux parfums incantatoires ou dansent des puits d'azurs biologiques »

« Les étés pantelants aux paupières sécrétant des pâmoisons de comètes mathématiques, dévorent les consciences acoustiques, aux lèvres parcheminées qui complexifient des adieux télépathes, aux cristaux évanescents d'yeux zététiciens irrationnels, par cécités des feux de voyances automatiques, réactionnalités des synapses prophétiques migratoires abstraits, fontaines d'espaces d'abeilles musiciennes, allégories des cartésianismes jaloux, clochers d'obsidiennes des jeux cathartiques, transcendantalismes des objets criblés d'immanences a-structurelles, des voyelles esseulées, diffames, géorgiques, alimentaires.  »

« Les chairs dangereuses intimes aux harpes cellulaires, aux luths intériorisés, souffrent des continences crépusculaires, chirurgicales, respiratoires, onirismes qui brûlent des nonchaloirs invisibles, aux conductions infinies littérales des décantations paganismes, progressismes, sanguines, des brûlures de langages gothiques, électriques, pierreries vierges des croyances de soleils identifiés, crucifiés, par oraisons graphologiques des hasards, aux alcôves intuitives abandonnées, chimiques, évanescences, des Lois théologiques indémontrables, non falsifiables, fausses... coercitions, fondamentalismes, des convictions de peaux gnostiques, nourritures spirituelles des fiscalisations sémantiques, thermiques, herméneutiques des destinées, par désir proportionnel des lavandes émotionnelles, probabilistes, arrachées par les brûlures chamanistes, des laboratoires complexes profanes, mécanismes bicéphales, les invariances articulaires, nerveuses, contentieux, orthodoxies, des pulsions tautologiques irréfléchies, indéchiffrables, cueillaisons des labyrinthes effondrés, des délires d'ailes athées, des offrandes tamisées d'horloges propédeutiques idoines par accident, inouïes, circulaires, inaliénables, par absences originelles, des déplacements d'araignées négatives, muées d'artefacts liquides évanouis, aux profondeurs des karmas techniques illogiques, sous les plaies prédicatrices des âcres hypocrisies, des fermentations bizarres, des crânes pyramidaux d'arthropodes artificieux, jonchées d'hyménées horrifiques, telluriques, pesanteurs, des cétacés réminiscences, des chaos divisibles, aux hormones vagissements des papillons échographiques versificateurs, des idées matricielles, aux synergies des sirènes évanouies, mêlées de défenses quadratiques des écroulements symboles des parfums incroyables, aux rutilements, d'un Léviathan symplectique, qui provoque des extractions d'océans aux roulis d'hippocampes, aux puanteurs dichotomiques, des racines aux palpitations grammaticales, des peintures d'hydres, aux immobilités des clonages intérimaires, des éthers de chaînes tendues comme des améthystes fracassées d'hypostases d'autodafés psychanalytiques, bénédictions aux préexistences, des illuminations "surcompressives," d'idolâtries pieuses, aux libations des Fortunes théâtrales, par clairvoyances informatiques, révélations des vins d'astres irreligieux, des viols de cataractes élémentaires, diamants d'ivresses logiques, discriminants, des éveils tactiles par littératures, des putains cognitives »

« Les panthères égologiques plurielles, redémarrées, recommencées, perlées d'imagos neurologiques, aux liqueurs ineffables, transparentes, in-actualisées, potentialisées des recueillements qui prient les élastiques existentiels, primales, in-fécondés, âmes infusées de mendicités d'aurores croulantes d'obsessionnelles réalités / des encres aliénées, démences des licornes astrologiques, par structurales décompositions, des caresses indiscrètes, pubescences noires des degrés situationnistes, aux fruits tensoriels des egos, pendaisons linguistiques des taxes morcelées, cadavres alcaloïdes, aux rires proxénètes brûlés d'amygdales tribales, des mensonges égorgés, les sourires d'insectes topologiques irréels, ravalés, de prothèses synthétiques, des cygnes psychotiques, buveurs de folies chaudes, pavoisées de lunules appliquées, aux soupirs d'humanoïdes immortels, décompensations de la Liberté fusionnelle, des pensées décapitées, égorgées, par doxologies Vérités des dédoublements kabbalistiques, des doigts péchés d'animaux sotériologiques, d'onguents relationnels, d'hybridations mélancoliques, des nosologies fractales aux humeurs associatives, d'entendements aux épures des chrysalides inharmoniques, des songes plastiques évolutifs, données grégaires, chosifiées, comparatives religions, criblées de végétations fantasmées, des yeux photographiques converties d'essences providentielles, des vigueurs aux torpeurs de statues infusées de frissons obscurantismes, aux archipels comportementaux, sensoriels, aveuglements des psychés labourés d'intellections géographiques, diapasons ethniques cycliques inavoués, processus d'un firmament éthique, inorganique, flagellé d'ipséité, aux fissurations des fusées économiques virtuelles, par déterminismes des coeurs d'angoisses microscopiques, aux bouquets éclos d'autels distanciés, physiques cultuelles suggestivités, des échines d'accouplements, source génocidaire, les orgasmes de phosphores, impressifs, lâchés de gonflements narcissiques, aux peintures crevées de pieuvres moléculaires visionnaires, aux singularités des zéphyrs hilares, travaillés de délices lactescents qui pleuvent des chemins victimes des lambris Babyloniens épouvantés, apparitions des lampadophores aux cerveaux sans genoux diabétiques, aux persiflages des compas gorgés de préservatifs ô mausolées brisés de sagesses capitalistes, des ondées frénétiques aux clystères philosophiques des quintessences d'harmonicas malheureux, poignets des chevaux organicistes, traitrises confitures des astéroïdes manqués, insomnies consubstantielles des mains de caravelles les vertus écologiques, blasphèmes vacuités, des scepticismes d'irrésiliences vomitives, perclus de stériles univers comestibles, ô Républiques les tempes d'impuissances, des barycentres hétérodoxes, ou des brasiers de silences arborescents incalculables, aux odeurs lacrymales des chastetés cardiaques, des squelettes ontologiques accroupis face aux violoncelles cryptiques schizophrènes, modélisant des nourritures d'alcools scientifiques, ô esthétismes naturalistes existentiales, aux orchestrations numériques, des comètes intentionnelles vitalisées d'infini démocratique, théogonies cicatricielles des orages d'adieux aux marais impressionnistes des poumons étrangers, des murmures neurologiques inconscients, ou des cascades d'oiseaux symétriques, analytiques, sociologiques, se recueillent sous des aliénations de squelettes humiliés, aux giclées d'aumônes dialectiques... »