Tlpsien +++
Posté 11 février 2024 - 05:05
Avant que l’on ne parle de moi à l’imparfait, avant que l’on raconte que j’étais un poète entré par effraction dans l’univers des rêves, laisse-moi savourer ta saveur sous mes lèvres, laisse moi respirer ta fragrance d’été, toucher cette douceur de la réalité et t’emmener courir les forêts et les champs, qui furent si souvent sujets de mes poèmes, avant que, sur le Styx, Charon soudain m’entraîne.
18/10/23
Tlpsien +++
Posté 12 février 2024 - 12:58
Sous l’apparence d’une simple prose, que d’alexandrins, de rimes et d’assonances!
Tlpsien +++
Posté 12 février 2024 - 05:28
Sous l’apparence d’une simple prose, que d’alexandrins, de rimes et d’assonances!
Cher ami,
Vous avez bien déchiffré le mécanisme qui a présidé à la naissance de ce poème. Ce poème en prose est en quelque sorte versifié , rimé sans en avoir l'air. Vous avez l'oreille attentive aux rythmes et aux rimes, comme tous ceux qui écrivent.
Bonne soirée !
Michel
