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Folie Quantique Poétique / Danse Métaphorique Absolue OYEHA !

Poétique Quantique Déjantée

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#1 clemouchka

clemouchka

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  • Une phrase ::Tout est Amour, Dieu est pur Amour.

Posté 26 juin 2024 - 08:50

Des pandiculations de nuits ou dansent les Baisers, aux diamants infâmes qui pleurent

Des parchemins d'astres couvant les délires gorgés de cataplasmes jaloux, logiques

Abreuvés de défaillances Passionnelles, qui hurlent des chairs splendides, pâmées

Sous les bleues cicatrices des putains épouvantées, révoltées, par les songes aux prunelles élastiques, inégales

Qui communiquent des puits d'azurs, baignés de soleils voilés de splendeurs tâchées, de cygnes

Qui implorent, les matrices mentales d'écroulements scientifiques, qui songent

Des spectres d'aumônes inouïes, lavées de vendanges ployantes, sous les chevelures analytiques

Aux rémissions, qui convertissent des statues primales, aux bouleversements noyés

Sous les Rémissions des voluptés étranglées de phalanges mécanistes, théâtrales, hystériques

Là ou pleurent les roux degrés des poings tordus épileptiques, avec des cerveaux d'espérances

Qui dégorgent des bleues frondaisons logiques, à transmissions des immenses amygdales géométrales

Couvant les vulgaires et prosaïques élasticités, des genoux immobiles, aux songes cruels

Qui dévoilent des rutilances archéologiques, aux logiques fracassées d'essaims filés d'astres

Aux abeilles larvées d'enfantements délicieux, épouvantés, sous les récoltes d'hydres mentales

Qui torchent des végétations, aux lourdes clavicules des décantations de nectaires prophétiques

Là ou riaient les offrandes cassées, imprimant, des traitements d'incontinences, aux souvenirs

D'ipséités, qui pleuvent des estropiés silences aux caresses d'impuissances, qui s'accouplent

Avec les sérénités de diamants croulant, sous les squelettes parfumés de naissances, à genoux

Devant les éthers, aux vigueurs incroyables, ou tombent des séraphins invisibles tachés d'offrandes

Synaptiques, qui génèrent, des synergies psychologiques, avec des araignées dévorant

Des alcools infortunés de frissons pareils, aux vagissements télépathes, des réseaux étranglés

De torpeurs travestissant, les écoulements victimes des subterfuges atteints, d'yeux immaculés

Qui dispersent, volatilisent, des splendeurs obsessionnelles, aux éternités criblées de candeurs

A décompositions d'accroupissements, nourrissant les phalanges des oiseaux, aux études perclus

De cercueils brisant les flacons d'orages dialectiques, qui créés des processus aux chimères les pierreries des devenirs

Blessées, de calices génétiques, aux désastres proscrivant des porcelaines Justes, des transactions des crépuscules morphologiques

Par idées, épouvantées par les vins plastiques économiques, aux pubescences d'influx mathématiques, avec des éveils aux fermentations

Créationnistes situationnistes d'informations biologiques, qui révèlent les profondeurs des Océans ruminant, les Univers associatifs découplés

Des déguisements d'apostolats intuitifs, crucifiant les lèvres boursouflées des mayas quantiques, des recueillements embrasés

Par les fantômes égologiques, qui fourmillent sous des comètes ensanglantées par déplacements, par les pétales temporels

Existentiels, avec des boucles religieuses communiant les extensivités dynamiques, des programmes incantatoires, des photographies

De papillons nosologiques infortunés, qui fécondent les lupanars existentiels aux éthiques tribales, aux circulations étranges

Là, ou s'implantent les microscopiques sociologies des jeux migratoires, géographiques bains d'ivresses paradoxales, croyant les adages

Des bénitiers stupides, échographiques, synthétiques, exhalant des méditations sidérales inavouées, aux espèces de puanteurs à piétés

Communautaristes, des peintures ou grondent, se ruent les crânes dépeuplés d'immanences complexes, des Nymphes d'extases irrationnelles, les flûtes mécréantes

Aux excentricités épouvantées des liquides amoureux, esseulés, qui pénètrent, les glauques résiliences, des trouées de libellules démarrées, épousant les brasiers malades de continuités suicidées par forces chirurgicales, des lavandes émotionnelles à laboratoires impraticables, zététiques des valeurs à coercitions apodictiques des zéphyrs indésirables

Là ou s'individualisent les soupirs comestibles, voilant des hosannas expressionnistes, qui étoilent

Des ailes d'églises évolutionnistes, là ou craquèlent les Léviathans tendus, comme des troupeaux subodorant des artefacts soufflés, areligieux

Des chrysalides échouées qui crèvent les fronts par-delà les nonchaloirs neurologiques, sous les ossements justes, des céphalalgies subjectivistes

Avec des déformations gestuelles aux loques des visions, qui digressent des influences inconscientes, introduisant, les Muses

Réactionnelles, qui fissurent, des intronisations fauves par des automatismes orphiques, des horloges coiffées, des stigmates involontaires

Aux disjonctions abstraites dédoublées, des sarcophages inconnus, qui s'implantent, sous les cycles intentionnels des sculptures inhabitées

Traditionnelles et sceptiques, impossibles, là ou se dérèglent les alchimies aux cathédrales condamnatrices d'imperfectibilités théodicées, des cadavres logiciens, aux carcasses des stridences étiologiques

Qui critiquent les fruits jaloux, décomposables, aux Présences des mâles entrailles, qui foisonnent d'hybridations hilares, les homéostats sacrifiés, empathies des cognitions à handicaps invertis des nourritures d'adieux mimétiques qui transfigurent des confitures d'esprits aux môles des Je euthanasiés par images écologiques qui transmigrent sous les évanescences de clystères à mouvements abandonnés 

Découvrant, les rayons grêlés d'incendies, giflés, des continences ou se modélisent les scarifications originelles

Les mendicités espiègles des promesses à terminaisons astrologiques, qui décompensent les cascades bleues, des architectures démiurgiques, par idéaux manichéistes, les esthétismes chargés, saignés, défigurés, cartésiens, des Génies d'appartenances athées, les aubes immatérielles qui s'unifient avec les courants des diasporas d'horizons ensanglantés de peaux et délavés de lumières les auberges, des lucioles factuelles d'intellections à patiences panachées, des diapasons qui évaluent, jaugent les reflets euthanasiés des tiédeurs bureaucratiques des propriétés de syntagmes, ou descendent les grimoires travaillés de lampadophores aux colonnes des mains linguistiques qui prêchent les pieds vivants des licornes hégémoniques par lésions névrotiques muées d'absinthes informatiques par mantras à volitions, dans des futures aux mythologiques obédiences des possibles capitalistes qui somatisent 

Des frondaisons d'arcs-en-ciels martyrs, qui implorent, conjurent, soudoient, des graphologies d'identités artistiques, les jeûnes

Classifiant les roulements, les morcèlements théologiques, qui fomentent, des cantiques décapités, par les cétacés

Linguistiques des essences d'épaules criminelles, aux déhiscences les explorations critiques qui divergent d'oublis mécanistes, qui complexifient des hôpitaux bercés, par les importations lépreuses, des sycomores à canicules des débordements filigranes, des disques d'oppositions aux énormes émeraudes d'hypostases proses cellulaires, des comètes d'affections neuves, aux sombres indulgences qui édifient des mélodies impossibles d'alchimiques normativités d'organismes fraiches des voyances à copules d'hyménées d'orgues religieuses, des fiançailles semés de jeunesses à locomotions ségrégatives des "ouvertudes" d'hymnes à ivrogneries d'émotivités à changements des jaunes boissons d'affects absolus, tragédies des voyelles aux catalyses dernières des liaisons d'animaux aux conséquences opéradiques des effondrements sauvages qui emprisonnent les pendules aux évanouissements polyglottes des Sagesses grammaticales

Pathologiques, des engrammes antiques, qui industrialisent, conscientisent, les pyramides des couleurs à connaissances, ou s'opèrent

Les relations des colombes limites, proses gynécologiques des pulsions épouvantées, des instincts d'orgies  peignés d'assimilations noétiques, accompagnant les atteintes mortifères, des cécités symbolisées comportementales, par les Libertés naturelles, organisatrices, et qui respirent

Sous les revolvers cryptiques d'immaculées divisions des genres aux discriminants miraculeux, aux hallucinations premières, Vérités des violons psychiatriques, qui s'enflamment d'étreintes aux locomotives romantiques des minerves ontologiques qui justifient les singes aux fixités des commerces de pachydermes en feux des tourbillons à cosmogonies doxas des orthopédies d'étincelles acoustiques

Sous des équilibres d'aliénations triomphales, appuyées d'ensembles oscillatoires, qui gourmandent sous les égrenages des missels, aux éthiques plurielles, des charités véhiculées de gargouilles étouffant les microscopiques colonisations des foetus célestes

Là, ou s'engendrent les saltimbanques privatisés, par les soûles physionomies, aux extractions, aux intrications nihilistes

Des péninsules terrifiant, les métabolismes schizophréniques, à chiffres compensatoires, ou rient les Apothéoses discrétionnaires

Des adieux cellulaires, par ongles indiens, dardés de zéphyrs mêlés d'indiscrétions hermaphrodites par troubadours iconoclastes, les viscosités des entendements, ô bateaux mimétiques, qui devinent

Les partages amoureux des sémiotiques, des disciplines neurovégétatives par orfèvreries obscures, des autodafés d'angoisses suggestives, aux mares fabriquées d'in-actualités, des clonages symétriques... !

 

                                                                     *******************

 

Je mange des chairs d'azurs ou dansent les abeilles aux cris hystériques

Prient des feux de désirs en peintures cryptiques, qui bavent des tissus d'aurores complexes

Je pleure des étoiles aux chevelures jalouses, se recueillant sous les cristaux aux mains chasseresses

Des décantations linguistique, qui hurlent les songes aux pétales, de séraphins biologiques

Je me nourris d'asymptotes théâtralités, parcheminées d'aumônes d'oiseaux aux lèvres rousses, qui pensent

Des phalanges d'espoirs, aux tombeaux infinis murmurant des souhaits de comètes nerveuses, qui tremblent

Des cerveaux brûlés de pachydermes acoustiques, qui pleurent des torches précieuses

Aux sarcophages des symboles progressistes, qui oublient les parfums éthologiques, aux onirismes pendus

Sous des décapitations passionnelles, qui nourrissent des alcools fétichistes, aux pendules d'éthers télépathes

Des compréhensions systémiques, qui crèvent les papillons d'entendements sépulcraux, qui croulent

Sous des alimentations polythéistes, aux croyances égrenées par les Souvenirs chimiques, des voyances de licornes

Des esprits réactionnels, primitivistes, larvés de continences structurales, aux déploiements de chrysalides noires

Qui essentialisent des végétations humaines peuplées, de pyramides esthétisations, des lavandes en chairs nourrissant

Des confusions de balançoires d'améthystes intérieures, qui essaiment des neurologiques réalités

Aux doigts tournoyant avec des regards tordus, troublants, inquiétant, aux arborescences fusionnelles

Qui opèrent des archéologies passionnelles, aux voluptés d'hydres constellées, de magnétismes intelligents

Avec les brasiers impossibles, interdits, pâmés sous les mausolées systémiques nébuleux, frôlant des parjures

D' équilibres sociologiques, ô érotisations des pouvoirs mélancoliques, fissurés de nymphes égologiques

Aux transparences différentielles, qui éclatent des soleils singuliers, en délires d'observations décomposées

De langues hybrides, des émanations étranglées d'étrangetés traductrices, des prolongements inessentiels

Qui oublient les licornes aux mendicités mystérieuses, des communications de suggestions athées

Des harmonieuses réciprocités, des recompositions de foi en les personnalités géométriques, des Libertés

Qui accomplissent des degrés recommencés, des contemplations extatiques, qui volent les brasiers

Des Muses de silences dissolvant, des combinaisons littérales, confondant les maïeutiques des adages

Aux stigmates, qui déchainent des incommunicables tentations, des rêves défigurant, les Univers vomitifs

Des difficiles élasticités de pierreries, qui enfantent les aurores des codes, des numériques Présences

Qui égrènent, les libations génétiques des effroyables, épouvantables statues, euthanasiant

Les cycles de cygnes mathématiques, aux terminaisons narcissiques, des vertus de dépossessions

Objectivistes d'impuretés obsessionnelles, lavées de pandiculations subtilisant

Les objectivistes intimidations logiques, des arcs-en-ciels tendus, comme des artefacts transparents

Avec les calices circonflexes théâtralisant, les vins jaloux brisés, de sacrifices aux mélanges

Aux autels ambigus, clairsemés, habillés, enveloppés, de genoux vitalisant, les liens perfectibles

Des citrons relationnels, qui travestissent les Vérités des spectres bohémiens, qui accouchent

En des timidités de jasmins recouvrant, des polyandries esthétisées, qui épurent des araignées d'adieux

Aux Providences travaillant les fondamentalismes trempés, des tempes sécrétrices, des Hasards

Qui apparaissent en matière de syncopes anatomiques, machinistes, des ensembles de bouquets écrasant

Les anomalies de vertèbres traductrices, des symptomatiques imaginaires, im-productibles

Des poignets féroces, animales, qui diffusent des paradoxes de traitements, baignés de tresses dissimulant

Les chimères aux champs d'incapacités de liquéfier, d'organiser, les ermitages progressistes, qui s'annulent

Les effarées rencontres des australopithèques bouffant, des isolations d'architectures théogoniques

Des déplacements de faunes, aux clartés cheminant sous les mosaïques, des réflexivités d'oublies théologiques

Des inflorescences mouillées de lys écartelant, des encensoirs allumés de chastetés élévatrices, des blondeurs

Des zéphyrs gondolés par les lourds Océans aux navires jouant, avec les flots aux vagissements, de diamants

Bleutés, qui diversifient, produisent, génèrent, des démences de Beautés irisant, les pores obstétriques

Des vagues muées, en des foudres liquides qui évoquent, ensemencent, des flacons d'ivresses

Face aux territoires, aux géographies symétriques, des matrices des langues de la Nature

Dans ses éternités pénétrant les dérèglements capiteux, des diapasons bleutés, aux radiances

Perfectibles des réalités, des créatures maritimes, aux formes d'orfèvres en contact d'avec les ADN d'ossements

Déconstruisant les transitivités d'un monde aquatiques, aux ipséités conductibles, qui « informatisent »

Les noires immortalités des folies cathartiques, qui intronisent les ravissements spéculaires, des fronts roux

Aux hypostases régulatrices des signatures cois, dans des automatismes dédoublant, les réseaux

Des paradis morphologiques, des désastres analytiques, qui illuminent les inclinations purifiées

Des royaumes lourds comme des exhalaisons de printemps, ou la vie écrit ses Destinées de crapauds !... .

                                                                               ********

 

Des torches de feux dansaient sous les cristaux vivants qui pleurent, des colombes d'azurs vierges

Des imperfections absurdes hurlaient des langues de cyprès, ou chantent les tombeaux recueillant, des tabernacles

Jalousant les chimères aux lyres ou hurlent, les citadelles délicieuses, qui profanent les degrés des lampadophores

Ou des pétales travaillés par les aurores de chairs, trouant les chevelures tournoyantes, des silences criblés

De prières d'infortunes, avec des flamboiements de séraphins acoustiques, peignés d'ivresses maculées de contritions

Qui métamorphosent des symphonies pyramidales complexées, des subversions télépathes, des littérature

D'oiseaux hiérarchisant les alcools des tabernacles, voilés d'évolutions ou Raisonnent, les Destinées lacrymales

Aux brasiers perlés de funérailles convertissant, les soleils aux parchemins d'impuissances nerveuses, qui tremblent

Des recueillements crevant les firmaments aux statues gravées de symboles analytiques, antiques, qui boivent

Des vins exaltés d'illuminations profondes, qui s'égrènent sous des accouplements d'intelligences esseulées

La ou les accroupissements des libellules, exhalent des spectres aux crépuscules fécondés, des connaissances

Tardives, là ou les araignées impalpables, hideuses, dévorent, des pachydermes silencieux, inconscients, lavés de comètes

Aux dialectiques des pierreries qui s'accrochent, avec des arborescences d'angoisses pantelantes, perlées, des fusées

Asymptomatiques, qui révèlent les degrés des autels polythéistes, avec des mémoires craquelées d'hypostases

Qui puisent, des écroulements de lys mentales, avec des forêts de présences primales, qui dévoilent des grimoires

Génétiques, désireux de cascades aveuglées, des fusions de citadelles qui fermentent, des Natures criblées

De dépeuplements actualisant les végétations irrationnelles, des comètes personnifiant, les décompositions

Des cueillaisons d'aumônes esthétiques, par-delà les empyrées couvés, des charmes ineffables, pensifs

Là ou s'écartèlent les matelots pâmés d'astrolabes, complexés, par les cheminements intuitifs, irréligieux

Des flots de rayons humains, biologiques, constellés de nonchaloirs identiques, avec des fleurs d'enfantements

Ou les fusées s'égrènent, sous des sociologiques impulsions nerveuses, pleines de sirènes, aux visages bénissant

Les incapacités morphologiques, des peintures à résistances noyées, des saltimbanques chirurgicaux, qui mentalisent, posent

Des équilibres déchirant les écritures des Libertés aux consciences, ou les croyances des yeux embrasés, des singularités cryptiques, qui jaugent, évaluent, des apparitions symptomatiques, des confessions d'architectures supprimées

Avec des démences expressives, qui modélisent, les âmes aux visions emperlées de miroirs doxiques hiérarchisés, des diapasons hypocrites

Abreuvés de liquides inconnus, sous des citadelles mortifiant les dialectiques de lumières, d'amulette conscrites, sincères, aux battements précieux, des encres égotistes primales

Des harmonisations traversées de nudités, aux ignorances des parfums cosmiques, qui dramatisent

Des fauves balancements logiques, drainés de vignes aux asiles psychiatriques, hasard reculés

Des circulations nouées de phalanges, aux soupirs existentiels, qui calculent les Naissances, des nuits

Abstraites, des assoupissements volant les genoux ensanglantés, par les étoiles filantes, qui modélisent

Des unicités de recherches génétiques, aux Ecritures sacrées communiquant, des créatures forces d'incapacités

A rapporter des zéphyrs cycliques, qui filent les avortements d'entendements, crispés d'anachorètes étoilés, fondus

Par les médicaments immortels, impénétrables, qui dynamisent, conscientisent, les dédoublements cosmiques, des papillons jaloux, élémentaires

Des diasporas ou grandissent les horloges exorcisées, là ou les sourires des cerveaux croulant, produisant des sanglots

Mathématiques, vers les volitions étranglées de comètes sacrificielles, tombant sous les Océans violoncelles publiques, des ossements rendus fertiles et authentiques, générationnels, automatiques, pourquoi

Avec des couvaisons perclus, de printemps mélodieux, qui grimpent dans les flambeaux théâtrales, providentiels, aux sources pendues, qui dissocient les mélanges orthodoxes des milieux lavés d'informatiques réalités des angles propédeutiques, qui aliènent les pores médiumniques des mondes inorganiques

Là ou les vespérales sculptures des porcelaines intentionnelles, avec des débordements méditatifs

Qui désespèrent des gorges de cordes linguistiques, aux rares Beautés hystériques, qui communient, avec les senteurs

Des résiliences frisant, élaborant, des aubes baignées de terminaisons immenses des vitalisations d'ego surréalistes, Révolutionnaires, là ou s'épurent les reflets des maïeutiques aux mosaïques institutionnelles, impraticables, gnostiques par distances généalogiques aux poumons cartésiens qui distordent les sagesses respiratoires

Sous les muettes bruyères des langages d'ailes insondables, vers les semences littérales, alimentaires

Pissent des asphodèles, aux couchants subjectivistes, qui s'inondent de décapitations domptant, les corps

Aux mains initiatrices iconoclastes, des glaives d'ipséités cognées de réciprocités communistes, sous des dérélictions

De guitares mendicisant, les commencements infâmes, des esclavages séducteurs brisant, morcelant,

Les incontinences zététiciennes, des religions s'évanouissant, devant les éveils aux roulements astrologiques

Des poings suicidés, par-delà les transfigurations héréditaires, des gueules jetées de prédicats, découpant

Les sombres et obscurs grimoires, avec des déguisements, des travestissements régulateurs, des chrysalides

Ou fourmillent, les formules quantiques, les informations d'assomptions littérales, des singes sémiotiques et mythologiques

Qui opèrent, des situationnistes sécrétions poétiques, engendrées, par les chlorophylles, aux échines perdues

Sous des léthargies muettes, dérangées, avec des Pouvoirs condamnateurs, des présages futurs

Qui s'enguirlandent des saltimbanques mutilés, blessés, sous des crânes aux ensembles caractéristiques

Des délocalisations métabolisant, les espèces précoces électriques qui stipulent, des pulsations

Aux combinatoires Passionnées, avec les squelettes protéiformes, analgésiques, tribales, élémentaires

Puant les contagions des fiançailles déterministes, des correspondances chimiques, qui, exsangues

Vomissent des observations matricielles, qui sondent, les orfèvreries incompatibles, avec les sensitivités athées

Des cabales d'appartenances associatrices, et privatisées, par les criminels compensatoires, purgatoires silences d'économies, qui composent

Les inhumanités à gestations hypothétiques, permissives, là ou s'organisent, se désorganisent, les préhensiles

Réalités d'objectités convoitées, des insondables pharaons accusés d'essences migratoires sceptiques, d'hybris rythmicités des soupçons anatomiques, des volitions gestalts abandonnées, qui codifient, échangent, les chances relationnelles des mensonges aux diététiques réalités, des grotesques fétichismes habités de caravanes indépendantes, des péchés symétriques, les lèvres rousses ... .