Des pandiculations de nuits ou dansent les Baisers, aux diamants infâmes qui pleurent
Des parchemins d'astres couvant les délires gorgés de cataplasmes jaloux, logiques
Abreuvés de défaillances Passionnelles, qui hurlent des chairs splendides, pâmées
Sous les bleues cicatrices des putains épouvantées, révoltées, par les songes aux prunelles élastiques, inégales
Qui communiquent des puits d'azurs, baignés de soleils voilés de splendeurs tâchées, de cygnes
Qui implorent, les matrices mentales d'écroulements scientifiques, qui songent
Des spectres d'aumônes inouïes, lavées de vendanges ployantes, sous les chevelures analytiques
Aux rémissions, qui convertissent des statues primales, aux bouleversements noyés
Sous les Rémissions des voluptés étranglées de phalanges mécanistes, théâtrales, hystériques
Là ou pleurent les roux degrés des poings tordus épileptiques, avec des cerveaux d'espérances
Qui dégorgent des bleues frondaisons logiques, à transmissions des immenses amygdales géométrales
Couvant les vulgaires et prosaïques élasticités, des genoux immobiles, aux songes cruels
Qui dévoilent des rutilances archéologiques, aux logiques fracassées d'essaims filés d'astres
Aux abeilles larvées d'enfantements délicieux, épouvantés, sous les récoltes d'hydres mentales
Qui torchent des végétations, aux lourdes clavicules des décantations de nectaires prophétiques
Là ou riaient les offrandes cassées, imprimant, des traitements d'incontinences, aux souvenirs
D'ipséités, qui pleuvent des estropiés silences aux caresses d'impuissances, qui s'accouplent
Avec les sérénités de diamants croulant, sous les squelettes parfumés de naissances, à genoux
Devant les éthers, aux vigueurs incroyables, ou tombent des séraphins invisibles tachés d'offrandes
Synaptiques, qui génèrent, des synergies psychologiques, avec des araignées dévorant
Des alcools infortunés de frissons pareils, aux vagissements télépathes, des réseaux étranglés
De torpeurs travestissant, les écoulements victimes des subterfuges atteints, d'yeux immaculés
Qui dispersent, volatilisent, des splendeurs obsessionnelles, aux éternités criblées de candeurs
A décompositions d'accroupissements, nourrissant les phalanges des oiseaux, aux études perclus
De cercueils brisant les flacons d'orages dialectiques, qui créés des processus aux chimères les pierreries des devenirs
Blessées, de calices génétiques, aux désastres proscrivant des porcelaines Justes, des transactions des crépuscules morphologiques
Par idées, épouvantées par les vins plastiques économiques, aux pubescences d'influx mathématiques, avec des éveils aux fermentations
Créationnistes situationnistes d'informations biologiques, qui révèlent les profondeurs des Océans ruminant, les Univers associatifs découplés
Des déguisements d'apostolats intuitifs, crucifiant les lèvres boursouflées des mayas quantiques, des recueillements embrasés
Par les fantômes égologiques, qui fourmillent sous des comètes ensanglantées par déplacements, par les pétales temporels
Existentiels, avec des boucles religieuses communiant les extensivités dynamiques, des programmes incantatoires, des photographies
De papillons nosologiques infortunés, qui fécondent les lupanars existentiels aux éthiques tribales, aux circulations étranges
Là, ou s'implantent les microscopiques sociologies des jeux migratoires, géographiques bains d'ivresses paradoxales, croyant les adages
Des bénitiers stupides, échographiques, synthétiques, exhalant des méditations sidérales inavouées, aux espèces de puanteurs à piétés
Communautaristes, des peintures ou grondent, se ruent les crânes dépeuplés d'immanences complexes, des Nymphes d'extases irrationnelles, les flûtes mécréantes
Aux excentricités épouvantées des liquides amoureux, esseulés, qui pénètrent, les glauques résiliences, des trouées de libellules démarrées, épousant les brasiers malades de continuités suicidées par forces chirurgicales, des lavandes émotionnelles à laboratoires impraticables, zététiques des valeurs à coercitions apodictiques des zéphyrs indésirables
Là ou s'individualisent les soupirs comestibles, voilant des hosannas expressionnistes, qui étoilent
Des ailes d'églises évolutionnistes, là ou craquèlent les Léviathans tendus, comme des troupeaux subodorant des artefacts soufflés, areligieux
Des chrysalides échouées qui crèvent les fronts par-delà les nonchaloirs neurologiques, sous les ossements justes, des céphalalgies subjectivistes
Avec des déformations gestuelles aux loques des visions, qui digressent des influences inconscientes, introduisant, les Muses
Réactionnelles, qui fissurent, des intronisations fauves par des automatismes orphiques, des horloges coiffées, des stigmates involontaires
Aux disjonctions abstraites dédoublées, des sarcophages inconnus, qui s'implantent, sous les cycles intentionnels des sculptures inhabitées
Traditionnelles et sceptiques, impossibles, là ou se dérèglent les alchimies aux cathédrales condamnatrices d'imperfectibilités théodicées, des cadavres logiciens, aux carcasses des stridences étiologiques
Qui critiquent les fruits jaloux, décomposables, aux Présences des mâles entrailles, qui foisonnent d'hybridations hilares, les homéostats sacrifiés, empathies des cognitions à handicaps invertis des nourritures d'adieux mimétiques qui transfigurent des confitures d'esprits aux môles des Je euthanasiés par images écologiques qui transmigrent sous les évanescences de clystères à mouvements abandonnés
Découvrant, les rayons grêlés d'incendies, giflés, des continences ou se modélisent les scarifications originelles
Les mendicités espiègles des promesses à terminaisons astrologiques, qui décompensent les cascades bleues, des architectures démiurgiques, par idéaux manichéistes, les esthétismes chargés, saignés, défigurés, cartésiens, des Génies d'appartenances athées, les aubes immatérielles qui s'unifient avec les courants des diasporas d'horizons ensanglantés de peaux et délavés de lumières les auberges, des lucioles factuelles d'intellections à patiences panachées, des diapasons qui évaluent, jaugent les reflets euthanasiés des tiédeurs bureaucratiques des propriétés de syntagmes, ou descendent les grimoires travaillés de lampadophores aux colonnes des mains linguistiques qui prêchent les pieds vivants des licornes hégémoniques par lésions névrotiques muées d'absinthes informatiques par mantras à volitions, dans des futures aux mythologiques obédiences des possibles capitalistes qui somatisent
Des frondaisons d'arcs-en-ciels martyrs, qui implorent, conjurent, soudoient, des graphologies d'identités artistiques, les jeûnes
Classifiant les roulements, les morcèlements théologiques, qui fomentent, des cantiques décapités, par les cétacés
Linguistiques des essences d'épaules criminelles, aux déhiscences les explorations critiques qui divergent d'oublis mécanistes, qui complexifient des hôpitaux bercés, par les importations lépreuses, des sycomores à canicules des débordements filigranes, des disques d'oppositions aux énormes émeraudes d'hypostases proses cellulaires, des comètes d'affections neuves, aux sombres indulgences qui édifient des mélodies impossibles d'alchimiques normativités d'organismes fraiches des voyances à copules d'hyménées d'orgues religieuses, des fiançailles semés de jeunesses à locomotions ségrégatives des "ouvertudes" d'hymnes à ivrogneries d'émotivités à changements des jaunes boissons d'affects absolus, tragédies des voyelles aux catalyses dernières des liaisons d'animaux aux conséquences opéradiques des effondrements sauvages qui emprisonnent les pendules aux évanouissements polyglottes des Sagesses grammaticales
Pathologiques, des engrammes antiques, qui industrialisent, conscientisent, les pyramides des couleurs à connaissances, ou s'opèrent
Les relations des colombes limites, proses gynécologiques des pulsions épouvantées, des instincts d'orgies peignés d'assimilations noétiques, accompagnant les atteintes mortifères, des cécités symbolisées comportementales, par les Libertés naturelles, organisatrices, et qui respirent
Sous les revolvers cryptiques d'immaculées divisions des genres aux discriminants miraculeux, aux hallucinations premières, Vérités des violons psychiatriques, qui s'enflamment d'étreintes aux locomotives romantiques des minerves ontologiques qui justifient les singes aux fixités des commerces de pachydermes en feux des tourbillons à cosmogonies doxas des orthopédies d'étincelles acoustiques
Sous des équilibres d'aliénations triomphales, appuyées d'ensembles oscillatoires, qui gourmandent sous les égrenages des missels, aux éthiques plurielles, des charités véhiculées de gargouilles étouffant les microscopiques colonisations des foetus célestes
Là, ou s'engendrent les saltimbanques privatisés, par les soûles physionomies, aux extractions, aux intrications nihilistes
Des péninsules terrifiant, les métabolismes schizophréniques, à chiffres compensatoires, ou rient les Apothéoses discrétionnaires
Des adieux cellulaires, par ongles indiens, dardés de zéphyrs mêlés d'indiscrétions hermaphrodites par troubadours iconoclastes, les viscosités des entendements, ô bateaux mimétiques, qui devinent
Les partages amoureux des sémiotiques, des disciplines neurovégétatives par orfèvreries obscures, des autodafés d'angoisses suggestives, aux mares fabriquées d'in-actualités, des clonages symétriques... !
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Je mange des chairs d'azurs ou dansent les abeilles aux cris hystériques
Prient des feux de désirs en peintures cryptiques, qui bavent des tissus d'aurores complexes
Je pleure des étoiles aux chevelures jalouses, se recueillant sous les cristaux aux mains chasseresses
Des décantations linguistique, qui hurlent les songes aux pétales, de séraphins biologiques
Je me nourris d'asymptotes théâtralités, parcheminées d'aumônes d'oiseaux aux lèvres rousses, qui pensent
Des phalanges d'espoirs, aux tombeaux infinis murmurant des souhaits de comètes nerveuses, qui tremblent
Des cerveaux brûlés de pachydermes acoustiques, qui pleurent des torches précieuses
Aux sarcophages des symboles progressistes, qui oublient les parfums éthologiques, aux onirismes pendus
Sous des décapitations passionnelles, qui nourrissent des alcools fétichistes, aux pendules d'éthers télépathes
Des compréhensions systémiques, qui crèvent les papillons d'entendements sépulcraux, qui croulent
Sous des alimentations polythéistes, aux croyances égrenées par les Souvenirs chimiques, des voyances de licornes
Des esprits réactionnels, primitivistes, larvés de continences structurales, aux déploiements de chrysalides noires
Qui essentialisent des végétations humaines peuplées, de pyramides esthétisations, des lavandes en chairs nourrissant
Des confusions de balançoires d'améthystes intérieures, qui essaiment des neurologiques réalités
Aux doigts tournoyant avec des regards tordus, troublants, inquiétant, aux arborescences fusionnelles
Qui opèrent des archéologies passionnelles, aux voluptés d'hydres constellées, de magnétismes intelligents
Avec les brasiers impossibles, interdits, pâmés sous les mausolées systémiques nébuleux, frôlant des parjures
D' équilibres sociologiques, ô érotisations des pouvoirs mélancoliques, fissurés de nymphes égologiques
Aux transparences différentielles, qui éclatent des soleils singuliers, en délires d'observations décomposées
De langues hybrides, des émanations étranglées d'étrangetés traductrices, des prolongements inessentiels
Qui oublient les licornes aux mendicités mystérieuses, des communications de suggestions athées
Des harmonieuses réciprocités, des recompositions de foi en les personnalités géométriques, des Libertés
Qui accomplissent des degrés recommencés, des contemplations extatiques, qui volent les brasiers
Des Muses de silences dissolvant, des combinaisons littérales, confondant les maïeutiques des adages
Aux stigmates, qui déchainent des incommunicables tentations, des rêves défigurant, les Univers vomitifs
Des difficiles élasticités de pierreries, qui enfantent les aurores des codes, des numériques Présences
Qui égrènent, les libations génétiques des effroyables, épouvantables statues, euthanasiant
Les cycles de cygnes mathématiques, aux terminaisons narcissiques, des vertus de dépossessions
Objectivistes d'impuretés obsessionnelles, lavées de pandiculations subtilisant
Les objectivistes intimidations logiques, des arcs-en-ciels tendus, comme des artefacts transparents
Avec les calices circonflexes théâtralisant, les vins jaloux brisés, de sacrifices aux mélanges
Aux autels ambigus, clairsemés, habillés, enveloppés, de genoux vitalisant, les liens perfectibles
Des citrons relationnels, qui travestissent les Vérités des spectres bohémiens, qui accouchent
En des timidités de jasmins recouvrant, des polyandries esthétisées, qui épurent des araignées d'adieux
Aux Providences travaillant les fondamentalismes trempés, des tempes sécrétrices, des Hasards
Qui apparaissent en matière de syncopes anatomiques, machinistes, des ensembles de bouquets écrasant
Les anomalies de vertèbres traductrices, des symptomatiques imaginaires, im-productibles
Des poignets féroces, animales, qui diffusent des paradoxes de traitements, baignés de tresses dissimulant
Les chimères aux champs d'incapacités de liquéfier, d'organiser, les ermitages progressistes, qui s'annulent
Les effarées rencontres des australopithèques bouffant, des isolations d'architectures théogoniques
Des déplacements de faunes, aux clartés cheminant sous les mosaïques, des réflexivités d'oublies théologiques
Des inflorescences mouillées de lys écartelant, des encensoirs allumés de chastetés élévatrices, des blondeurs
Des zéphyrs gondolés par les lourds Océans aux navires jouant, avec les flots aux vagissements, de diamants
Bleutés, qui diversifient, produisent, génèrent, des démences de Beautés irisant, les pores obstétriques
Des vagues muées, en des foudres liquides qui évoquent, ensemencent, des flacons d'ivresses
Face aux territoires, aux géographies symétriques, des matrices des langues de la Nature
Dans ses éternités pénétrant les dérèglements capiteux, des diapasons bleutés, aux radiances
Perfectibles des réalités, des créatures maritimes, aux formes d'orfèvres en contact d'avec les ADN d'ossements
Déconstruisant les transitivités d'un monde aquatiques, aux ipséités conductibles, qui « informatisent »
Les noires immortalités des folies cathartiques, qui intronisent les ravissements spéculaires, des fronts roux
Aux hypostases régulatrices des signatures cois, dans des automatismes dédoublant, les réseaux
Des paradis morphologiques, des désastres analytiques, qui illuminent les inclinations purifiées
Des royaumes lourds comme des exhalaisons de printemps, ou la vie écrit ses Destinées de crapauds !... .
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Des torches de feux dansaient sous les cristaux vivants qui pleurent, des colombes d'azurs vierges
Des imperfections absurdes hurlaient des langues de cyprès, ou chantent les tombeaux recueillant, des tabernacles
Jalousant les chimères aux lyres ou hurlent, les citadelles délicieuses, qui profanent les degrés des lampadophores
Ou des pétales travaillés par les aurores de chairs, trouant les chevelures tournoyantes, des silences criblés
De prières d'infortunes, avec des flamboiements de séraphins acoustiques, peignés d'ivresses maculées de contritions
Qui métamorphosent des symphonies pyramidales complexées, des subversions télépathes, des littérature
D'oiseaux hiérarchisant les alcools des tabernacles, voilés d'évolutions ou Raisonnent, les Destinées lacrymales
Aux brasiers perlés de funérailles convertissant, les soleils aux parchemins d'impuissances nerveuses, qui tremblent
Des recueillements crevant les firmaments aux statues gravées de symboles analytiques, antiques, qui boivent
Des vins exaltés d'illuminations profondes, qui s'égrènent sous des accouplements d'intelligences esseulées
La ou les accroupissements des libellules, exhalent des spectres aux crépuscules fécondés, des connaissances
Tardives, là ou les araignées impalpables, hideuses, dévorent, des pachydermes silencieux, inconscients, lavés de comètes
Aux dialectiques des pierreries qui s'accrochent, avec des arborescences d'angoisses pantelantes, perlées, des fusées
Asymptomatiques, qui révèlent les degrés des autels polythéistes, avec des mémoires craquelées d'hypostases
Qui puisent, des écroulements de lys mentales, avec des forêts de présences primales, qui dévoilent des grimoires
Génétiques, désireux de cascades aveuglées, des fusions de citadelles qui fermentent, des Natures criblées
De dépeuplements actualisant les végétations irrationnelles, des comètes personnifiant, les décompositions
Des cueillaisons d'aumônes esthétiques, par-delà les empyrées couvés, des charmes ineffables, pensifs
Là ou s'écartèlent les matelots pâmés d'astrolabes, complexés, par les cheminements intuitifs, irréligieux
Des flots de rayons humains, biologiques, constellés de nonchaloirs identiques, avec des fleurs d'enfantements
Ou les fusées s'égrènent, sous des sociologiques impulsions nerveuses, pleines de sirènes, aux visages bénissant
Les incapacités morphologiques, des peintures à résistances noyées, des saltimbanques chirurgicaux, qui mentalisent, posent
Des équilibres déchirant les écritures des Libertés aux consciences, ou les croyances des yeux embrasés, des singularités cryptiques, qui jaugent, évaluent, des apparitions symptomatiques, des confessions d'architectures supprimées
Avec des démences expressives, qui modélisent, les âmes aux visions emperlées de miroirs doxiques hiérarchisés, des diapasons hypocrites
Abreuvés de liquides inconnus, sous des citadelles mortifiant les dialectiques de lumières, d'amulette conscrites, sincères, aux battements précieux, des encres égotistes primales
Des harmonisations traversées de nudités, aux ignorances des parfums cosmiques, qui dramatisent
Des fauves balancements logiques, drainés de vignes aux asiles psychiatriques, hasard reculés
Des circulations nouées de phalanges, aux soupirs existentiels, qui calculent les Naissances, des nuits
Abstraites, des assoupissements volant les genoux ensanglantés, par les étoiles filantes, qui modélisent
Des unicités de recherches génétiques, aux Ecritures sacrées communiquant, des créatures forces d'incapacités
A rapporter des zéphyrs cycliques, qui filent les avortements d'entendements, crispés d'anachorètes étoilés, fondus
Par les médicaments immortels, impénétrables, qui dynamisent, conscientisent, les dédoublements cosmiques, des papillons jaloux, élémentaires
Des diasporas ou grandissent les horloges exorcisées, là ou les sourires des cerveaux croulant, produisant des sanglots
Mathématiques, vers les volitions étranglées de comètes sacrificielles, tombant sous les Océans violoncelles publiques, des ossements rendus fertiles et authentiques, générationnels, automatiques, pourquoi
Avec des couvaisons perclus, de printemps mélodieux, qui grimpent dans les flambeaux théâtrales, providentiels, aux sources pendues, qui dissocient les mélanges orthodoxes des milieux lavés d'informatiques réalités des angles propédeutiques, qui aliènent les pores médiumniques des mondes inorganiques
Là ou les vespérales sculptures des porcelaines intentionnelles, avec des débordements méditatifs
Qui désespèrent des gorges de cordes linguistiques, aux rares Beautés hystériques, qui communient, avec les senteurs
Des résiliences frisant, élaborant, des aubes baignées de terminaisons immenses des vitalisations d'ego surréalistes, Révolutionnaires, là ou s'épurent les reflets des maïeutiques aux mosaïques institutionnelles, impraticables, gnostiques par distances généalogiques aux poumons cartésiens qui distordent les sagesses respiratoires
Sous les muettes bruyères des langages d'ailes insondables, vers les semences littérales, alimentaires
Pissent des asphodèles, aux couchants subjectivistes, qui s'inondent de décapitations domptant, les corps
Aux mains initiatrices iconoclastes, des glaives d'ipséités cognées de réciprocités communistes, sous des dérélictions
De guitares mendicisant, les commencements infâmes, des esclavages séducteurs brisant, morcelant,
Les incontinences zététiciennes, des religions s'évanouissant, devant les éveils aux roulements astrologiques
Des poings suicidés, par-delà les transfigurations héréditaires, des gueules jetées de prédicats, découpant
Les sombres et obscurs grimoires, avec des déguisements, des travestissements régulateurs, des chrysalides
Ou fourmillent, les formules quantiques, les informations d'assomptions littérales, des singes sémiotiques et mythologiques
Qui opèrent, des situationnistes sécrétions poétiques, engendrées, par les chlorophylles, aux échines perdues
Sous des léthargies muettes, dérangées, avec des Pouvoirs condamnateurs, des présages futurs
Qui s'enguirlandent des saltimbanques mutilés, blessés, sous des crânes aux ensembles caractéristiques
Des délocalisations métabolisant, les espèces précoces électriques qui stipulent, des pulsations
Aux combinatoires Passionnées, avec les squelettes protéiformes, analgésiques, tribales, élémentaires
Puant les contagions des fiançailles déterministes, des correspondances chimiques, qui, exsangues
Vomissent des observations matricielles, qui sondent, les orfèvreries incompatibles, avec les sensitivités athées
Des cabales d'appartenances associatrices, et privatisées, par les criminels compensatoires, purgatoires silences d'économies, qui composent
Les inhumanités à gestations hypothétiques, permissives, là ou s'organisent, se désorganisent, les préhensiles
Réalités d'objectités convoitées, des insondables pharaons accusés d'essences migratoires sceptiques, d'hybris rythmicités des soupçons anatomiques, des volitions gestalts abandonnées, qui codifient, échangent, les chances relationnelles des mensonges aux diététiques réalités, des grotesques fétichismes habités de caravanes indépendantes, des péchés symétriques, les lèvres rousses ... .