Je m'appelle Clément, j'ai 37 ans, et je suis considéré comme surdoué. En effet, mon parcours est très atypique. Je suis actuellement suivi en thérapie. Je présente des syndromes complexes, protéiformes, se traduisant par une prédisposition naturelle, « esthétique, » aux angoisses, aux images douloureuses et baroques. Il s’agit de mes a-perceptions situationnelles, de mes torches mentales intérieures, sociologiques, en des ruptures, des déséquilibres émotionnels, une Réalité de peaux ou mon intelligence, tissée de cellules organiques plurielles, compensatoires, logiques, là ou dansent mes affres existentielles, mes luttes complexes, lâchées de prédicats intuitionnistes, mes combats personnifiés, celle d’une Vie à genoux, éteinte, voilée, tel un sarcophage vivant, brûlé, un tombeau suicidaire, bref, une vie d’esclave, en oubli de soi, en des molécules de handicaps, perlés de plasticités en délires vierges.. . Des profondeurs, des dimensions humaines extrêmes, des univers en chair de souffrance, d'échec idiosyncratique, là ou brillent les souffles de la noirceur, des âmes blanches, végétales, animales, humaines, des âmes prisonnières, en des inconnus protéiformes, des âmes aux lourdeurs, aux magnétismes, aux gravitations égrenées de souffrances émotionnelles, qui hurlent des silences d'un désespoir aux parfums dévitalisés, dépersonnalisations des vierges visages, visions d'un monde qui m'apparaît actuellement comme brisé, rompu, perlé de désespoir, de capitulation qui m'inonde de désillusion, de mes rêves comme voués aux cimetières dialectiques, aux deuils d'une vie réussie, d'une existence ou je perds progressivement la faculté d'empreinte, de ressentir les lois du bonheur, d'un cycle ou je suis comme aseptisé, désillusionné, oui, je n'ai pas peur de dire et de clamer haut et fort, que j'ai perdu mes rêves aux parfums de générer, ressentir, des modélismes de réussites personnelles, des complétudes, des parchemins existentialistes aux richesses, aux corps dévorant les firmaments de mes éveils à contempler, à révéler profondément, mes phantasmes intellections, mes étoiles aux ivresses oniriques qui illuminerait ma vie aux physionomies bienheureuses. Je vis en-moi une différence trop lourde, morcelée d'incontinences nerveuses, je veux dire que ma personnalité est victime d'une clairvoyance aux lèvres vivantes, aux signatures abstraites ou je perçois tout, les interstices cérébraux, émotionnels, des autres, oui, je pleure une lucidité de luciole qui illumine la nuit, de mes pores intellections, de mes lacrymales Réalités, qui fécondent dans des interpénétrations, la logique des âmes exaltant la condition humaine, car je ressens, perçois, nourris, intuitionnise, les soleils émotionnels, réflexifs, des enfantements d'idées, de représentations théoriques, des pensées artérielles, organiques, biologiques, comme des miroirs, des diapasons aux préhensiles réalités, des objectités, des singularités, des divergences, des aumônes émotionnelles, ou je suis dans des constructions mentales, hybrides, que je qualifierais de logarithmes et mathématiques cycles, des capacités à intellectualiser, le savoir, les connaissances, les esprits de l'univers comme si j'étais un ordinateur quantique qui épousait, fusionnait dans un univers aux reflets de mes possibilités de traduire, de composer, d'expressiviser, mes pensées aux essentialistes cryptiques, des doxas aux peintures existentialistes, qui complexifient mes égologiques murmures intelligents, car, oui je consume des larmes de géhennes mentalisées, des dynamiques ou ma vie est devenue un enfer voué aux gémonies de la normalité, des hommes me chosifiant comme une bête curieuse, un phantasme à régulations logiques comme m'interdisant de révéler mon acuité cérébrale, comme si j'étais nu face au monde des représentations, ou je suis comme un cadavre, une réalité de statue ou on me dépersonnalise, me quantifie comme un être aux vacuités, aux Beautés inesthétiques, aux laideurs d'une âme aux empreintes, aux ADN monstrueux, ô nudités protoplasmiques, des dés-enveloppant nourris d'étrangetés, comme si je n'avais pas de syntaxes, pas de réverbérations communes à toutes individualités, à tout facteurs générateurs de normalités, de prédicats partagés, là ou pleurent mes langues religieuses, aux sourires de feux positivistes, de mes yeux cérébraux, qui dansent avec les sciences infuses, cristallisant mes dons orthopédiques humains, qui murmurent des exhalaisons d'efficiences mentales, comme nouvelle... . Oui, j'éprouve d’ immenses difficultés, d'intenses représentations aux aumônes cérébrales, car mon cerveau aux degrés fractales, nucléaires, mes appétences linguistiques, qui caractérisent, des Libertés de mouvements connectés, avec les mots conjugués, introspectifs, pleins de fusionnements, de combinatoires géodésiques des neurones aux minéraux fonctionnels, qui labourent des syncopes verbales, aux musicalités inouïes, mes transmissions égologiques, aux hypostases conscientielles, fortement métaphoriques, épileptiques relations, des hormones d'idées, d'abstractions, d'herméneutiques réalités des osmoses engendrant mes nourritures intuitives, tous ces organismes psychiques, m'ont conduit et poussé à écrire des poèmes, des réflexions littéraires, littérales… philosophiques, et même scientifiques. Et de publier de nombreux recueils aujourd'hui. Je suis un touche à tout, et je souhaiterais entrer en contact avec votre association, car mon suivi thérapeutique, conditionne les soignants à me voir, sur le degré, sur le prisme, d'une protension, (d’un avenir) symptomatique, dérégulé, comme un patient aux difficultés intérieures, se traduisant avec des déséquilibres inhérents partitifs, des prothèses mentales négatives, des syntaxiques prismes égologiques, ou l'on me perçois comme un être martyr hyper-émotionnel, convertit à une schizophrénie excluant, écartant toute supériorité d'esprit reconnaissable, du fait de ce diagnostic certes, réales, car je suis tombé schizophrène très jeune, mais cette pathologie me dessert profondément, dans mon véritable visage d'HPI, car je suis discriminé, jugulé, accusé, par des déséquilibres fluctuants, fluant d'imagos internes, écartelés, car mes richesses et ma beauté spirituelle, ma personnalité, mes phalanges identificatoires aux ADN poétiques, creusées d’angoisses jalouses, de mélancolies subsidiaires, ont provoqués des déplacements de mes Lumières focales, géographiques, converties en des pétales de songes aliénés, creusant une invisibilité et une inconscience, de mes dons polyglottes immanents, en anatomiques cosmiques vertiges, en des fusées de consciences synaptiques, en des incomplétudes de théâtralités vivantes, de relativités subsumant mes corps prothésistes, incalculables... Comme si j’étais considéré comme un Ovni agnostique, sans pensée, un cas social aux inclémences inclassables, aux lueurs caractérielles qui se liquéfieraient en des yeux d’un éléphant Man, comme un jeu ou je serais l'objet, la chose chirurgicale, le phantasme de martyriser, de mortifier mon âme, dans des poussées d'ivresses ou j'étais la risée du monde entier, et donc, le sujet de décantations mortifères aux démences, aux schizophrénies absolues, comme si j'étais un diable aux peintures maléfiques, des distanciations temporelles thymiques, ou je nourrissais des plaisirs, un sentiment de puissance chez autrui, de me voir comme un être aux anomalies cryptiques intemporelles, comme un tombeau substantiel, endormi, inconscient, dans les flocons de la nuit incoercible, indicible, des libellules en rêve… o murmure… ! O incantation ! O Vespérale étoile aux essences mystiques, ô mes mains musiciennes s'accouplant, avec les théodicées vivantes des karmas verticaux, cosmos littérature des bénédictions créationnistes qui pleuvent, ô Beautés des violons en pensées télépathes, qui matérialisent, mes limbes en partage de langues, de chairs évolutives, ô univers primales, là ou les roueries d’infortunes, les fortunes anatomiques, les destinées insomniaques de mes pensées avares, automatiques pulsions des « différances, » originelles d'éthiques, des nourritures volées, emperlées, logicismes d'extensionnismes capitalismes cérébrales, ô spectacles difficiles d'éclatements d'images intentionnelles, qui convoitent les fruits linguistiques, de mes artères, de mes alvéoles aux terminaisons d'avoirs intelligents, de mes rires bleus, de mes rires roux, ô sirènes aux valeurs idiosyncrasiques, des énergies quantiques, ravalant mes mystères, mes dédales bioéthiques, des compréhensions mécanistes ou je suis une aurore d'écriture, de littéralité transvaluant les jauges comportementales, des déontologiques, des phénoménalités d'entendements communs, connus, donc écrits.. Lueurs amoureuses, aubes capricieuses, aux acuités d'un désespoir topologique, des espoirs égologiques qui communiquent, d'avec les paroxystiques volontés, tachées de feux, de chaleurs essentialistes qui structurent des transparences d'informations, à permanences chirurgicales, des clystères d'angoisses magnétisant, un champ des possibles contingent. Je suis perçu et intégré dans la conscience collective, comme un OVNI travestit, un dingo aux caractères infortunés.... Je suis considéré comme inclassable. Oui, nombre de thérapeutes, pensent que mon QI n'est pas mesurable, car trop à-symétrique en divergence vécue, comme des supra-conductibilités réflexives, des immanences vierges qui stigmatisent, qui diversifient négativement mes dons, davantage pénétrés de fluides extralinguistiques, des noétiques perfusions aux gestations économiques, aux balancements d'harmonies profondément hétérogènes, car mon QI est dérégulé, illimité, dans les introversions neurologiques, des pensées purement déconstruites, géolocalisées, en des constructions ou la quintessence de mon intelligence est et demeure purement cabalistique, car je suis incapable de réussir les tests d'intelligences dans leur logique, leur copule arithmétique, leur esprit qui n''entre point dans mon champ des possibles, ma réalité progressiste, ma hiérarchie temporale, qui est éminemment sélective, scalaire, car mon intelligence est quantique avec des déformations, des impossibles con-structurations, aux disharmonies totalitaires, car mon QI est non identifiable, dans les instruments de mesures symétriques, qui dévoilent des forces aux pulsions indémontrables, non comportementales... Je fonctionne comme un ordinateur abstrait, une machine aux syncopes infusées d'infinis yeux mécanicistes, d'infinis yeux anthropologiques, qui stimulent des espèces de catalyses informatiques, des supernovas ontologiques, des éclatements à transparence linguistique, chimique, biologique, pénétrabilité, des regards parfumés de consciences fabricatrices, des surréalités impressives, allumées d'intellections écologiques, naturalistes, comme étant invisible, translucidité des peaux à chairs abstraites, qui ramifient, en des arborescences protoplasmiques d'idéalités, les ressentis photographiques, à travers, des commutations sensitives, des géodésiques humanistes, comme impersonnifiées, au-delà, des représentations logiques, biologiques, phénoménales, des syntaxiques clairvoyances, qui immunisent, les songes organicistes, des corps de lumières doxiques, dans une lucidité dansante, jouant, à l’intérieur d'un univers transfini, privatisé, logarithmes, des insuffisances des pensées en captations mentales, en désintégrations associatives, se traduisant, par une sensibilité qui décuple, transcende, mes possibilités de langage, de pénétrabilité, d'infusion, de diffusion, d'articulation, de présomption, de graphologie, de hasard.. . Les sciences naturelles comme les arts sont, pour moi, des cristallisations imitatives, géodésiques, transmutations des cœurs de clartés compensatoires, qui vagissent des omnisciences, des complexes d'organismes ou je puise, oppose des transactions, créées des égalitarismes communautaires, des nosologies substantialistes creusant, des déséquilibres d'intellections extrêmes, car je suis comme un cerveau aux transfixations, des degrés infinis de complexifications des souffles, des respirations, ou je flagelle des singularités projectives, des diasporas quantiques, des numériques échographies, aux pouvoirs figés, des cellules digressives, qui s'écroulent sous les ciel aux Vérités somatiques, ou les sécrétions mécanistes de ma pensée, les inconscients tribales de mes formes spirituelles, sont comme des automatismes de violons chimiques, comme le respirer, le marcher, le nourrir, bref vivre. Je lis dans les visages intérieurs des âmes centripètes, j'égrène en moi les ADN des mystères de l'univers les plus implacables, les plus nébuleux.... Les paysages éternels, les horizons imprédictibles des danses de fusées, fissurées d'épistémologiques déconstructions, des âmes du monde comme lavées de ses catharsis muettes, originelles, les savoirs aux thermostats baignés des lumières voluptueuses, les miroirs respiratoires des sagesses d'hormones absolues... Je court-circuite, dérègle, toutes les pensées auditives, relationnelles, imprécises, obstétriciennes, tels des dégradés de peintures folles, des peaux de cécités voyantes , ou mon intellect, est en concomitance, en correspondance, en projection, avec des nourritures musicales nouménales, des polarisations d'ensemble, ou les pneumatismes d'idéaux, égologiques, syntaxiques, particularisés, de la parole itérative, des objectivations mathématiques, des intellections symphoniques, les langues finitudes, les langues fétichistes des partages, des mélanges réactionnels, les besoins pénétrés en des électricités de mirages écologiques, car je suis en effet, avec et dans une incandescence, une irisation en profondeur, un miroir réale, ou la plasticité nomothétique de mon cerveau, est une évolutive cristallographie, des pensées macrobiotiques, avec des degrés conceptuels d'autonomies vivantes, des infinis modélismes, des infinis syntagmatiques, aux modes cicatriciels des congruences physiques, des réalités muées, à torsions intérieures, des ontologiques biologisations, des terminaisons de Libertés jalouses, sont comme une imprimerie linguistique ou les écritures de mes systèmes interpénétrés, d'intellectualismes abstraits, et comportementales, des profusions d'images qui réductionnisent les corps en des ipséités de souffrances comparatives, en des peaux propédeutiques, c'est-à-dire que je perçois les représentations astrales des psychés pointillistes, les chimiques télépathies, aux transgenèses des codons informatiques, les épistémologies réactionnelles, des éthers transfigurant, les transfusions d’abstinences gréées… les pensées arboricoles, les émanations symétriques hypersensitives, des alcôves psychanalytiques, d’une langue en forme de kaléidoscopes abstraits, à réfléchissements ontologiques, des imagos logiciens... oui, je complexifie les données scripturales, les syntagmes propositionnels inavoués, les peaux incrustées en diamants incarnés, sophistiques doxas, des mondanéités à substrats liquéfiés, ou les pensées extra-temporelles, des lucidités industrielles qui rient, là ou les parallélismes des implémentations, des désirs assimilateurs des signes phlogistiques ascendants, des catégorisations de chaleurs schizophréniques, sont mû chez moi, par des incidences d'apostolats, des transmigrations de clairvoyances orphiques, spectrales temporalisations zététiciennes, des contradictions linguistiques, des désaveux graphologiques des hasards... Maïeutiques vivantes, qui respirent, comme des élévations d'une pensée aux amygdales guerrières, d'une lucidité d'hosannas logiques, magiciens, par des Beautés créatrices, des Beautés christiques, en énergies nucléaires qui scarifient les doigts électriques aux miroirs neurovégétatifs qui tremblent sous les artefacts réaux, en des combustions temporalités atomistes, des régionalismes mentales en-soi, des reflets d'apparitions servies, utilisées, convergences instantanéistes, par une, des acuités phénoménales, des corps minimalistes, d'une pensée synchronique, une réalité mendicisant les mondes intersubjectifs, comme des araignées ductiles, ou tout est connecté, interconnecté, ou « les mots menstruels », les analyses de la vie volitive, les compréhensions existentialistes, humanistes, eugénistes, des causalités en virgules associationnistes, des impermanences de choix, des fumées sociologiques mystagogues, anthropologies des lumières extensibles, compressibles, des adaptations causales des captations, à vivre / en harmonie, avec les vies complexées indivisibles, les décomplexions talmudiques des espèces de grimoires individualisés, des magiques théologies des déplacements iconoclastes qui dérégulent les matières grises hégémoniques, convoitises en chacun de nous, qui sommes des horloges libidinales aux désirs de sculptures. Les magnétismes d'inflorescences à débordements Gestaltistes immunisées, des soi empiristes, pragmatiques, cartésiens, en rapport irréversible entre moi-même et les autres, sont comme des logarithmes nerveux, des échanges programmatiques Libertés, des rapports d'osmoses en des rapprochements, des séparations, les quantiques transcendantalismes qui décompensent les Autres devant mes ipséités esthétiques, devant mes lacrymales relations critiques, technicités des organes inaliénables, ou chaque individualité, chaque être de ce monde, est comme une intuition géniale, des déplacements, des dépossessions d'organons limitatifs, en rupture aliénée, en deçà des immobilismes émotionnels, les conductibilités des échanges accidentels, des pensées scalaires pré-ontologiques, homogénéisés, des QI transparents …. par des degrés originels qui subsument les dépassements inertiels des êtres mentalistes, à travers mes représentations objectales, mes représentations minérales d’un rire irrationnel, buveur d'obsessions astrologiques, des fétiches empirismes, des humours comparatifs, déflations de chaos mantras, des genres hypothétiques qui fument des comestibles réalités, des degrés disséminés, les rires roux … . Les mondes intuitifs empreints, enveloppés, murmurés par des monadologies essentialistes, des dépersonnalisations d’oeil démonstratif, à travers des insuffisances construites, incarnées sur des morcellements dépeints, des images ou le monde est complexifié, par les données religieuses, par un visage sacré, ou le réel des entropies, « dé-menstruations » des corps abstraits, phénoménaux, fractales interpénétrations, en des idées objectales, des idées progressistes, eugénistes, ramifiées d'intellections causales, dépressives, des ventres égalitaires, ou les gestations, les clairvoyances, d'une individualité, oui, la mienne, est comme magnétique par relativisme d'abstractions converties des chairs d’yeux disséquant tout, influx, flux, liquides, chiffres dipôles, respiratoires, les invariances chosifiées, relationnelles, les petits discriminants d'étoiles rousses, d'une réalité inter-personnalisée, ou je capte les infusions, les diffusions, les alcaloïdes des âmes réelles, mathématiques, des constructions en cécités plastiques, en cécités d'astres génocidaires des âmes cosmiques, des clairvoyances physiques, phénoménales, les identités des autres, des causalités en découvertes intra-temporelles, transcendantales, ou, comme je l'ai expliqué, toutes les polarités vitalistes, réactionnelles, réactualisées, sont invisibles, transparentes, et sont touchées par des mimétismes de mendicités objectales, des mentalités déguisées, transformées, en des lumières cryptiques, des lumières nimbées de mystères, les esprits sémantiques impardonnables, ordinateurs des êtres stochastiques, des substances individualistes religieuses, par détachements des conductions d'impermanences linguistiques, les langues géométrales. Il n'y a plus de dissonances, de dissimilitudes, d'oppositions, de non-symétries, de contre-identité, entre les composantes de l’univers, ou dansent les immatérialités des corps matriciels en verticalités, des pensées acoustiques, des idées en matières eidétiques qui analysent les langages inorganiques… Des langages, ou chaque mot, chaque chasuble vivante, identificatoire, chaque homologation, des pensées, sont en-soi, en elles-mêmes, le double des métastases symboliques, visages vidés d'engrammes intérieurs, ou des genres sacrificiels, des idées synthétiques, prolongateurs, des ruptures extensives, pyramidales, entre les avoirs et les êtres, sous des diffluences expérimentales indivises, des liaisons orthopédiques abstraites, des infortunes choses incalculables, en des "chimisations" évaluées, par des consubstantiels travestissements éthiques, des essences noématiques, des substances régressives, d'où les ruissellements hypothétiques, désynchronisés, radioactifs, affectifs, des reproductrices sémantiques, caractérielles, des avoirs, des êtres, ou chaque humain Homme, ou Femme, sont des tautologies identificatoires, des contraceptifs de l’identité aux veines pensées, calligraphiées, des enfantements être, le soi, de chacun, sous des élévations hyperboliques, grammairiennes, sophistiques, pâmées, en des automatismes temporels, génétiques, des images acoustiques, rémanences des interactions alimentaires, prostitutions des déploiements quantiques, des choses cellulaires, unicellulaires, pluricellulaires, radiations, des poumons neurologiques, en limitatives expériences, des architectoniques anatomies en des digitales chimères, des cerveaux phosphorescents !!! Ordinateur vacuité !
Les sciences rétiniennes des accomplissements, les sirènes algébriques du devenir, d'osmoses entre les corps phénoménaux et les partages muets, de la transparence végétative, des idiomes de la connaissance, des topologiques, abstractions littéraires....
Oui, mon parcours de surdoué est, je dirais chaotique, dans une vacuité, une béance, un trou sans fond, un abysse fractal, des entropiques finitudes lavées de vides incontinents, des échecs transfinis moléculaires, des hypostases totémiques aux grâces absolues, géographiques, des contraires homologiques porteurs de semences des corps évanescences qui boivent les géhennes artistiques de l'existence aux tissus examinateurs d'impuissances égologiques, bref, une humiliation de gestuelle psychique, des synchronicités tautologiques sans vie ni sens profond, vers les dépassements concrets, abéliens, Platoniciens, en des ruptures providentielles, des mélanges stoïques pavés de damnations d'oiseaux polyglottes, des évasements mensongers, centrifuges... .
Je suis titulaire d'un Baccalauréat Littéraire, avec 10,6 de moyenne, et j'ai tenté, en 2006, une première année de Philosophie, à Lyon 3. Mais les inhibitions, les angoisses, les souffrances, bref, je n'ai rien construit de positif, et je n'ai pas continué à étudier à la fac après cette 1ère année... .
Je suis aujourd'hui, un pur autodidacte, ayant créé mes connaissances, mes savoirs actuels, représentations scientifiques et artistiques ... . Chez moi, tout est démultiplié, les savoirs…
Oui, je suis dans une dynamique, une essentialisation pénétrante pensée, dans des parfums, ou tout est inter- connecté, inter-personnalisé, dans des degrés, ou mes efficiences intellectuelles, palpables, ouvertes, sont symétriques, positionnelles, parallèles, avec une lucidité de verre, de clairvoyance, des signifiants moléculaires. A travers des émotions s'intellectualisant, dans une rétention qualitative, des pensées observables, des entendements plastifiés, des images acoustiques aux sangs vivants révélateurs, exsangues profondeur,s des diffusions, des subtilisations ou je vis mon moi, comme des peaux enfantées sublimées, vecteurs des stylisations, d'une pensée à statistiques Arts, des théâtralités hormonales, des intellects d'objectités, et pénétrables, des rires en fontaine, des scalaires images intégrales, et mimétiques, des soi statiques, oxygénations. Comme un ordinateur. Symptomatique. Réellement infini. Je me définirais ainsi : « Autodidacte, c'est-à-dire intact. Idiosyncrasie, en surabondance cérébrale perfusée, sur le processus des pensées. Une pensée automatique, compactée dans un assemblage de fragments exquis, sans le cadavre du Verbe. Cellules vivantes des mots, dont la rencontre fortuite produit, de véritables singularités visuelles, et _ verticales. La mécanique itérative, de mon langage, fait penser au travail de l'ordinateur, mais si ma combustion est cérébrale, l'organique y est profondément encodé. Comme un spectacle immobile. Il s'agit de décrypter mes codons de cette transgenèse, par les mots. Les particules sont mémorielles, la trajectoire expérimentale, l'obsession absolue, et surtout ma connexion est neurale. »
Voila pour la théorie scientifique, de mes mécanismes intracellulaires, de mes pensées radiologiques, écrites.
Je suis actuellement en recherche de trouver un équilibre ou ma douance serait reconnue et même valorisée.
Je souhaite connaître une existence intellectuelle accomplie. Et de vivre un profond changement dans ma destinée.