Coup de Foudre
Depuis longtemps je te cherchais,
Chaque jour que Dieu fait,
Je rêvais à toi, endormi
Chaque nuit sous la lune.
Un jour, un jour béni,
Je t’aperçus au marché,
Près d’un étal de fruits :
Tu croquais une pomme.
Oh que tu étais jolie !
Tes dents blanches souriaient
De plaisir et tes yeux noirs de Jay
Se fermaient à demi.
C’était toi, je le savais,
De toutes les fibres de mon être….
Je ne sais comment je fis,
Je tombais à tes genoux.
Te voilà ébahie,
Devant cet homme conquis,
Le ridicule ne tue plus
Tu riais de me voir ainsi.
Le ridicule ne tue plus,
Mais je sais que cet acte
D’amour transi
De Cupidon fit sortir une flèche.
En plein cœur elle te perça,
Et tu me relevas,
Ta bouche sur la mienne me fit
Goûter le fruit exquis.
Depuis ce temps jamais
Mon bonheur ne me quitta,
Tu étais toute ma joie,
Ma vie, mon cœur, et mon esprit.
PMH le 25 Février 2025