Je vous remercie de m'avoir lue malgré ce soleil qui se répand de toute part ...un appel à l'évasion même poétique ...
Lectures intéressantes, merci Ariel d'avoir mis le doigt sur ce qui troublait ce poème...j'ai désintégré un comme ...les deux autres coulent de source ...il faudrait abattre la montagne
Eden, carissimo, questo è il lato oscuro di tutti noi ...sono felice perlomeno che tu non sia indifferente al mio ;-) . Non portare troppe alghe a casa ...che mi sporcheresti tutto ! infatti eri n lotta che odio TLP !
buon giretto allora !
Manola E.
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Dans la publication : Les discours de l' Aube VI
28 mars 2007 - 02:56
Dans la publication : Narkos
12 mars 2007 - 01:29
"Ici est un Chemin que tu ne saurais ignorer."
Je retiendrai tout particulièrement ce vers parce qu'il est "total" et que j'aime les vers qui tombent comme des couperets...
Manola E.
Je retiendrai tout particulièrement ce vers parce qu'il est "total" et que j'aime les vers qui tombent comme des couperets...
Manola E.
Dans la publication : Les discours de l' Aube
08 mars 2007 - 03:06
Les chemins ne coulent plus de source
A leurs pieds
Mais le soleil
Glisse ses longues mains douces
Dans leur sérail
Les jardins se répandent
A perte de mémoire
L'amour porte ses fruits
Deux enfants s'éloignent des corps
La voix morose de l'ennui
N'est déjà plus qu'un écho de pluie
Il ne pleut jamais longtemps
Sur leurs visages
elle aime ses mains
Qui cultivent l'enfance
Le verbe et l'océan
A leurs pieds
Mais le soleil
Glisse ses longues mains douces
Dans leur sérail
Les jardins se répandent
A perte de mémoire
L'amour porte ses fruits
Deux enfants s'éloignent des corps
La voix morose de l'ennui
N'est déjà plus qu'un écho de pluie
Il ne pleut jamais longtemps
Sur leurs visages
elle aime ses mains
Qui cultivent l'enfance
Le verbe et l'océan
Dans la publication : come prima
08 mars 2007 - 02:34
Les chemins ne coulent plus de source
A leurs pieds
Mais le soleil
Glisse ses longues mains douces
Dans leur sérail
Les jardins se répandent
A perte de mémoire
L'amour porte ses fruits
Deux enfants s'éloignent des corps
La voix morose de l'ennui
N'est déjà plus qu'un écho de pluie
Il ne pleut jamais longtemps
Sur leurs visages
elle aime ses mains
Qui cultivent l'enfance
Le verbe et l'océan
A leurs pieds
Mais le soleil
Glisse ses longues mains douces
Dans leur sérail
Les jardins se répandent
A perte de mémoire
L'amour porte ses fruits
Deux enfants s'éloignent des corps
La voix morose de l'ennui
N'est déjà plus qu'un écho de pluie
Il ne pleut jamais longtemps
Sur leurs visages
elle aime ses mains
Qui cultivent l'enfance
Le verbe et l'océan
Dans la publication : Les discours de l' Aube
03 mars 2007 - 11:58
Je vous remercie avant tout de votre lecture.
Hurlante Nova, je suis heureuse de constater à travers votre com que mon objectif est atteint...la poésie se doit de sublimer l'instant et d'aller à l'essentiel ...photogramme d'absolu, preuve tangible de l' ETRE, VISION.
Merci d'avoir été un bref instant l'interlocuteur de ce dialogue de l'aube.
Felice,
Laisser la pensée se formuler jusqu'au bout avec l'intime conviction de n'avoir saisi qu'une fraction insignifiante de la Parole...juste une tentative voilà tout.
Merci
Manola E.
Hurlante Nova, je suis heureuse de constater à travers votre com que mon objectif est atteint...la poésie se doit de sublimer l'instant et d'aller à l'essentiel ...photogramme d'absolu, preuve tangible de l' ETRE, VISION.
Merci d'avoir été un bref instant l'interlocuteur de ce dialogue de l'aube.
Felice,
Laisser la pensée se formuler jusqu'au bout avec l'intime conviction de n'avoir saisi qu'une fraction insignifiante de la Parole...juste une tentative voilà tout.
Merci
Manola E.