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homere.

Inscrit(e) : 10 avril 2007
Hors-ligne Dernière activité : févr. 28 2008 03:43

Messages que j'ai posté

Dans la publication : .xxxx.......!............

28 février 2008 - 03:43

ça passe moins bien avec tant de fautes d'ort.
dommage


Et si tu les corrigeais plutôt au lieu de te plaindre.


bonsoir homere,

lecture bien particulière



Salut marie-ange, oui c’est vrai c’est un peu moins romantique, mais ça reste juste des mots. A bientôt.

Dans la publication : La notion de limite

16 octobre 2007 - 07:12

L'argument serait recevable si la série était synonyme de répétition. Mais la répétition n'est qu'un cas - lui-même limite - de la série qui est, avant tout, pour faire simple, "suite de termes reliés entre eux par une loi commune" (ou pour reprendre le génial raccourci boulézien, "fonction d'intervalle"). La série industrielle a quant à elle une histoire récente ("fabrication en série", apparu vers 1905). Note d'ailleurs que la "musique sérielle" (1946) trouve ses fondations dans un principe de "non-répétition" (dans la méthode dodécaphonique, aucun son de la gamme chromatique ne doit être répété avant que les 11 autres n'aient été joués). Dans ce sens infiniment plus ouvert que le principe de répétitition auquel tu assimiles la série, la notion de limite est essentielle - sans quoi la série se dissoudrait dans la masse confuse de la réalité ! Et nous deviendrions fous, inaptes même à bégayer !



Entre la théorie pratique et son application poétique, il y a la même distance qui sépare la terre du ciel, et, je vois très bien que tes contradictions à toi révèlent du domaine de la réfutation applicatve de la réalité, et j’espère que nul borné que toi ne sera obligé en tisser les conséquences à ta place.

Dans la publication : question

16 octobre 2007 - 11:45

oui, il faut demander au messie et etre certain que c'est le messie.

Ou alors a un poéte très, très fort.



On peut dors déjà dire que la mort découle de la vie, et c’est même d’elle dont elle dépend naturellement, mais notons que c’est souvent de façon temporaire et non durable.

Sans la vie, la mort n’aurait aucun sens d’ailleurs, et n’existerait sans doute pas, ce qui nous amène à évoquer une contingence particulière et unique à l’échelle historique, qui d’après moi, devra permettre à l’une des deux d’éradiquer l’autre, et vu que la vie peut exister sans la mort, et pas le contraire, alors il est évident que l’on doit prôner la vie, ostensible à l’éternité, or le contraire n’a pas lieu d’avoir, puisque il est irréel d’associer l’éternité à la mort.

Globalement, le feu ne peut en aucun cas l’emporter sur l’eau, et si on regarde notre planète, la vie y présente presque partout, alors que l’action de la mort y est éphémère, et presque imperceptible.

Dans la publication : La notion de limite

13 octobre 2007 - 03:32

notion de limite et continuité ne peuvent pour moi se combiner avec la technique sérielle. tout d'abord parce qu'en tant que connaisseur, j'estime que la limite devrait mettre fin aux répétitivités mécaniques, dont se lasse vite l'esprit curieux, d'autant plus qu'on se réfugie nonchalamment dans un genre d'industrie, qui s'emploie frénétiquement à usiner la création et à tuer à la fin la créativité.La notion de limite c'est aussi tout, sauf le reste, puisqu'on se permet de voir avec un œil, pendent qu'on obstine à fermer l'autre.

Dans la publication : L'Amour....Ma réalité

13 octobre 2007 - 03:12

Je t'ai déjà dis de t'occuper de tes affaires.Restes dans ton monde de cauchemars avec tes figures d'halloween.Et n'essayes pas de te rattraper en me disant des coms qui me sont indifférents..


Un poète digne de la poésie ne devrait jamais être rancunier et moins encore s'emporter pour rien, et… et concernant mon commentaire, je pense qu'il ne comporte rien de méchant.
Je disais juste que l'amour rend aveugle et est lui même aveugle, et tout le monde sait que les amoureux sont souvent aveuglés par l'amour de leur bien aimée, un peu comme toi.
Tout ça ne me dit pas pourquoi cette méchanceté vis-à-vis de ma personne, mais quoiqu'il en soit je ne suis pas fâché contre toi. :rolleyes: