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homere.

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Hors-ligne Dernière activité : févr. 28 2008 03:43

Publications sur Toute La Poésie

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27 février 2008 - 03:37

Lorsque les sauvages et moi avions attaqué le convoie des vieilles retraitées, venues errer au coeur de la jungle pour accomplir je ne sais quelle mission humanitaire, nous avions réussi à capturer leur chef... une assez grosse femme bien dodue, sans doute veuve et sans enfant.
L'essentiel étant fait, j'avais aussitôt ordonné à l'un de mes hommes - en ma qualité de grand chef - d'épargner les autres, après les avoir dépouillé une à une de leur habille. Dès - lors, je me suis précipité vers leur chef et l'ai débarrassé gauchement de ses vêtements, tout en frissonnant une joie indicible, plutôt dans le genre anomale.
Je m'étais retrouvé d'un coup vêtu après plus 40 ans passés loin, très loin de l'élégance, avec une garde -robe assez garnie désormais, mais en femme toutefois et de nouveau l'espoir de me caresser le corps me saisissait, alors que j'observais les sauvages s'affairant à décapiter et à la trancher la vieille humanitaire pour le diner tribale.

fragment SOURD

13 octobre 2007 - 03:49

Je connais une saloperie de romanichelle
Qui, rien que par son cul, fait peiner ses chéris !
Pour la défoncer, il vous faudra une échelle
Mais pour lui tenir la main, vous devez être de son gabarit.

Ses nichons sont aussi juteux qu'une pastèque d'Espagne
Et ses lèvres aussi fines qu'une escalope des indes.
Pour vous accoupler, vous devez lui acheter une montagne
Et jurer de ne jamais l'abattre pour une autre dinde.

Je possède une poupée barbue qui passe son temps
À se raser la langue à coup de sabre !
Ses mots sont des épines et ses baisers des chants,
Pour qui l'amour fut une danse macabre.

fragment muet

13 octobre 2007 - 12:54

Il y a peut être ce royaume-ci.
Là où s'unissaient les amitiés noires !
Ailleurs, on se remet peu en question,
Et tant pis pour l'art des ombres virulentes!
L'art aux fragrances d'olives n'est point quêté.
Mais voici déjà la magie des ombres poussières,
Qu'on pensait originaires des milles et un centre.
Il y a peut être un brin de liberté par ici,
La paix des fleurs somnolentes.

Ici, souvent, une bande d'orphelins !
Rêvassent passivement dans leur coin,
Conçoivent aussi et pensent la réalité!
Ils estiment déjà qu'ils peuvent être !!
A tout moment, bien avant,
La flamme en bois qui prend feu!
Mais, dans mon étreinte comprend- elle aussi?
Que l'innocence ne peut guère se libérer !
Jamais, ne le peut, à ce que l'on dit
Sous le fardeau de l'errance intrépide!

A jamais, être signifie être utile !
Mais, c'est avant tout de se rendre utile,
Car seul restera d'être ce que l'on est.

Au royaume de l’abstrait

10 octobre 2007 - 10:48

Au royaume de l'abstrait
Rêve et lettre en évasion
Naissent d'une fiction imaginaire
Perception idolâtre ! Illusion
De mon cadavre mohair.

J'ai bien pris conscience
De l'universalité de la chose
L'anatomie de cette essence
Animée des défis de ma prose

Portrait d'une méditation abstraite
Ficelée aux causalitéx vaines!
Le néant est une forme parfaite
De notre pastorale humaine.

Au royaume de l'abstrait
Mon intimité émotive !
Une réalité absente, confuse !
Mais, l'essentiel d'une onction votive
N'est pas l'idée que je refuse.

Je sais comment plier l'équation
Prodiguant les structures minérales.
Je sais comment l'évolution
En est devenu à être une spirale.

La relation nihiliste

07 octobre 2007 - 10:51

Une relation nihiliste issue du rapport relationnel est bien souvent le reflet d’une réalité authentique et vraisemblablement aussi un état cordial de par la possibilité étatique de son alchimie tridimensionnelle, souvent codée aussi bien qu'en raison de sa substance déductive que par son aspect spirituel!
La relation nihiliste est indéniablement l’approche dialectique le plus humainement relationnelle, mais aussi le plus socialement apte à faire l’objet d’un traité anonyme, vis-à-vis d’autrui.
Cette relation est parfois une minutie fastidieuse, mais fastueuse néanmoins, puisque destinée à être compatible avec la simplicité véridique, corrélant les perceptions isomorphes aux simples conditions univoques qui en constituent l’embryon matriciel.
De l’actuelle relation, qu’est ce que je peux en dire ? À part bien sûr qu’il s’agit d’une version objective de la relation axiomatique, possible même et essentielle, logique en tout cas, et si loin-je crois- de l’homme.
Vitales sont donc les relations nihilistes de par l’association qui les lient entre elles, et pour la plupart sont autant un besoin et plus que nécessaires parfois, et cela en raison de la ferveur qu’ils animent et procréent dans un espace privé!
Car, autant importantes qu’une évocation axiologique, l’homme ne peut s’empêcher de se réaliser à travers telle ou telle relation, or, pareillement l’osmose même elles sont l’expérience dont la réalité résulte et devient une myriade de rapports consubstantiels..