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Roi Lune

Inscrit(e) : 16 août 2007
Hors-ligne Dernière activité : févr. 01 2012 01:15

Messages que j'ai posté

Dans la publication : Ode à Staline

24 mars 2008 - 12:27

(Je suis un jeune con, je tutoie tout ce qui bouge)

Faut-il vraiment que je réponde à cette question ?
Je suis très heureux que tu te comprennes très bien... je ne sais pas ce que cela vient faire là. Tu jettes bien haut tes idées.

Faire appel à l'intégrité de Mandelstam comme on jette de la bouffe par terre... mouais.

C'est ce que je vous reproche... vous balancez des choses belles en hénissant et rien ne passe... en ts cas pour moi...
Regardez ce post : l'intégrité poétique ! la liberté d'expression !

Rien que cela bande de petits pédants !
Mais vous dites exactement la même chose sans vous regarder...

Dans la publication : Ode à Staline

24 mars 2008 - 11:11

Vous allez dans beaucoup de sens...

Je crois que personne ne peut les comprendre, pas même vous. Vous luttez en désespoir contre quelque chose qui n'existe pas.
Vous manipulez des forces vides et obsolètes et espérez un mouvement ! Fous !

Quand vous aurez repris votre souffle, enlevé les étiquettes qui vous collent les yeux... dérivés vos corps d'un esprit qui tremble d'impatience vous pourrez peut-être accueillir les choses bonnes...

Mais l'excitation de vos leçons, vos cris ne veulent plus rien dire, vous n'êtes plus les beaux poètes qu'il vous faut rester ici...

S'il faut se partager les restes d'une nourriture je voudrai le faire la bouche pleine d'un sang chaud... Donnez nous la matière franche de vos égos que diable, celle qui pisse le satin et l'hémoglobine-bine-bine.

Vous êtes bien vilains, pour conclure.

Dans la publication : Rêves

07 mars 2008 - 07:41

Je suis chez moi, ce n'est pas vraiment chez moi mais un mix de tous les éléments qui le font.*

Je regarde les maisons, je suis dans une rue.

Il y a de la poussière qui vole.

Alors j'avance vers les murs de mes villes. Ce sont des gradins de pierre et de sable.

Je monte les hautes marches, très hautes, c'est quasi de l'escalade.

Je ne sais pas trop ce qui se passe, ni pourquoi je marche, je n'explique pas trop le vent chargé de poussières de sable ocre, le vent lourd.

Je suis tout seul.

J'arrive en haut.
Je vois que la ville est un bateau immense, je l'ai toujours su.

Un coque formidable.

Et je vois les vagues de sable. Nous voguons.

JE dis à quelqu'un qui n'est pas là : tu vois ? une île !

Il y a plein d'îles en effet mais nous les ignorons...

Nous barrons droit et le vent forcit...

Dans la publication : La pluie

06 mars 2008 - 08:21

Lecteur également

Je me demande où tu cherches à nous amener

Dans la publication : Peine à jouïr

23 février 2008 - 12:46

Je t'avoues ne pas avoir d'avis précis sur la réponse à donner...

(après avoir écrit trois fois les choses et leur contraire)

Je prends ton intérêt pour un compliment. Bonne soirée.