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pat garret

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Messages que j'ai posté

Dans la publication : Je Voudrais Te Rencontrer Là

31 août 2007 - 03:30

'ai aimé tes mots et est vrai ce que tu dis que dans la traduction automatique il se perd un pò le sens. M tu as cueilli l'ésprit de ce que je voulais dire......

Dylan.... Oh Yeah.....

Billy est derrière la porte avec ses cannes de feu visez sur mon coeur........

Et combien de Billy il y a en tour pour les routes et les magasins de centre-je ? L'unique manière que j'ai pour sortir de cet enfer est écrire des histoires tristes d'amants désespérés qu'on trouve et ensuite je me pardonne et quelque elle tourne rincontrano longue quelque frontière

Dans la publication : ... Sarò Come Uno Che Ti Ha Amato Tanto...

31 août 2007 - 03:21

Non sò come ringraziarti per esserti preso l'onere di fare la traduzione a quello che scrivo.........

Veramente molto impressionato...

Grazie....... Ciao Pat

Dans la publication : ... Sarò Come Uno Che Ti Ha Amato Tanto...

31 août 2007 - 10:26

J'annexe une traduction faite avec Babelfish et donc très approximative..... Mais peut-être il aidera quelqu'un... Merci pour l'attention


"Sur le sommet de mon volcan en flammes
En tenant il teste entre les mains dis :
- Je serai comme un qu'il t'a aimé beaucoup

À la frontière de nos souvenirs
Resterai-je cloué dans le grand étonnement qui est la vie
Pour creuser dans de moi même
Au-delà de mes yeux
Au-delà de l'apparence
Se rappelle arquées des cattedrale de Notre Dames ?
Te rappelles-tu du ciel de Berlin qui vomissait de la pluie ?
Je t'offris une bande pour les cheveux
Tu m'offris un livre d'Alvaro Mutis
Erano les jours de l'amore
de un amore normal comme celui de tous
de un amore spécial comme nous avions toujours rêvé

Le Grec regarda le ciel et abaissa vite le regard
se tourna vers son ombre et chercha de scansarla
Mais l'ombre le suivit encore, de côté
le Grec avait des mains fortes et esprit je dure
Connaissait les mers et les tempêtes de la vie
Dit : - À quel il touche ? Faisons-nous vite
Et disparut dans un nuage de fume d'une Avana précieux
Avec sa matita noire traca les lignes sur le cartoncino
le profil de nos faces
Contour de nez yeux et bouche
Termina avec achève bouton de la chemise
Asperga la cire protectrice et roula le cartoncino
Ringraziai et payai 5 francs pour un eternel souvenir
le Grec se tourna scalciando son ombre
Et dit - à quel touche ? Nous faisons vite
Et disparut nouvellement dans le même nuage de fume de l'Avana partagé en deux

Toi et moi lasciamo les nôtre marque dans le ciel
Enveloppés dans une embrassade du vent
n'importe pas qu'est-ce que est et qu'est-ce que tu es
n'importe pas qu'est-ce que je fais et qu'est-ce que tu fais
Sommes deux âmes qu'ils dansent le tango au rythme d'une fisarmonica stonata
Et il n'importe pas savoir où je vais et où tu vas
Et je n'ai pas de certitudes
Et je ne peux pas te donner des sûretés
as accepté la patte et nous y sommes pris pour main
En glissant des lentilles sur les trottoirs de la vie
Sans temps né poteaux à rejoindre aurions dû être plus des mathématiciens
Calculer les avantages à acquérir
Mais je t'aimais et tu m'aimais le reste es nulle
Contour évanoui
Ombres noires dans la nuit buia
Comme une tache noire des femmes descendent
de l'escalier du cattedrale de San Patrizio
Pendant que des violini sibilanti chantent leur sinfonia
Elle se tourna et vit le sourire de frère Bill beffardo
Il y a un air de feu hors sur la route
Et les campaniens de l'église annoncent la nouvelle
le vieux Danny verse whisky en verres de cristal
Dorothy le magicien sorseggia ses pozione de devine
le sang brûle comme feu
Dans le coeur des condamnés dans amore
Il y a une colonne de chariots arrêtée sur l'autoroute
Attendent le segnale en parlant de la nôtre polit follie
Scappiamo maintenant que le temps il nous sourit
Scappiamo rapides au-delà de chaque prejugement
Scappiamo à cheval de les nôtre amore secret

Toi et moi prisonniers
de Dans une cage trop étroite
Es des otages de nos pensées
m'as prise la main et as dit - Il va bien ! Nous allons !
J'ai fixé tes yeux de cristal et ai eu de la peur
Mais la lune chaque giorno a un visage différent
Et les étoiles tombent par esaudire nos désirs
l'amore ne calcule pas le résultat final
ai accepté le risque en arrachant une fleur à la terre
Et en lançant pour air ses pétales parfumés
les hommes ils me font à grands rêves
rêve sont à ton flanc
Au-delà de toute peur et de frontière
Au-delà de chaque mot et de tout regard
Au-delà de tout désir ou de déception

Et de toute façon il finisse entre nous
- Je serai comme un qu'il t'a aimé beaucoup."

Dans la publication : Je Voudrais Te Rencontrer Là

31 août 2007 - 10:03

Artemisa je te remercie pour la visite et je commente. En connaissant le français je ne pense malheuresement pas que beaucoup de nuances du sens général se perdent avec la terrible traduction que j'ai fait de Babelfish. De toute façon......... merci prochaine à laPat.....



Ti ringrazio Aquila per la traduzione che dà molta più giustizia al testo originale.Ti sono grato veramente.........A presto ........ PatTi ringrazio Aquila per la traduzione che dà molta più giustizia al testo originale.Ti sono grato veramente.........A presto ........ Pat