angelheart

Angelheart,


Je tenais juste à souligner quatre vers admirables dans une cascade de perles toujours plus sublimes :

À la porte de ta nuit
Dormait la lune
De ses rêves sans rivages
Coulaient les perles de l'insomnie

Vers qui auraient pu être prononcés par une héroïne romantique d'un opéra Wagnérien.

Orphic

Merci Orphic d'avoir aimé ces vers,tesmots m'honorent,mais je ne crois que mon humble écrit soit à la hauteur d'un opera Wagnérien,ce ne sont que des mots qui continuent toujours de couler de mes rêves.
Amitiés à toi

Pour moi c'est ceci qui résonne :
Ton amour fossile
Qui scellera à jamais
Sur ma douleur
Les issues de mes jours.

Merci à toi Clari. d'avoir aimé ces vers,amitiés

Bonsoir Angelheart,

Une douleur contenue dans des images d'une infinie dignité....et d'une beauté rare. Merci

Amicalement
Souris

Chère petite Souris,tes coms me font toujours autant plaisir,merci à toi chère amie,amitiés à toi

Bonjour Angelheart,

Quel vent bienfaisant, merci pour ce souffle de vie.

Amicalement
Souris

Merci petite souris d'être passé sur mes mots,que le vent te soit favorable pour toute la vie.
Amitiés
Angelheart

Cher Angelheart,

Quel plaisir de lire là ce poème si beau et qui me parle tant.
Une musique de l'invisible, et puis l'invisible est bien visible, écouter sa musique et la voir...au coeur de ce nuage.
Apaisants tes mots, bienveillants comme une source.
Djalal Od Din Rumi, écrivain magnifique...
Ton poème a l'envoûtement de la source, là où le regard ouvert se pose.
Philosophie, il suffit d'un nuage de joie...

"Tandis qu'une inondation de joie
Venant d'un seul nuage
Pénètre au cœur de celui
Qui est imprégné de patience"

La patience, clé magique et qui pourtant ne cesse de s'apprendre encore et encore.
Quelques soufis...derviches tourneurs. Danse. Esprit et corps.

"Mais ce qui importe le plus
C'est de s'approcher
Jusqu'à ce qu'il n'y ait plus que lui
L'âme de toute chose
De lever les voiles
Et découvrir le miroir
Où l'aveuglante lumière
Se reflète "
L'essentiel...le coeur...Lever le voile au-delà des ombres...si beau...

"Leur destinée n'appartient pas
A l'arbre qui les libère
Mais au vent qui les pousse
Derrière lui se tient le divin
Qui apporte réconfort
A chacun
Au moment opportun."
J'aime cet arbre et ce vent...le divin j'en comprends le sens. L'essence.

Tes mots sont comme un vent doux qui se dépose, un vent à méditer. Merci pour ce si beau partage, cette initiation...merveilleuse dans son harmonie subtile...de l'ordre du subtil.

Fleur de Lotus

Des paroles de Djalâl Od Dîn Rûmî, dans Rubâi'yât
"Un instant de la vie de l'homme a la valeur d'une vie.
Un seul de ses cheveux qui tombe vaut un trésor.
Et c'est aussi un homme celui qui montre, par ses paroles,
Que de ne pas le voir, c'est perdre un royaume."
L'amour- la beauté

"L'eau qui coule n'est pas lasse des poissons
Et le poisson n'est pas las de cette eau qui coule.
Ni l'âme ni le monde ne sont las des amoureux
Ni l'amour n'est las de l'âme et du monde."
La quête

Le papillon se précipite dans le feu qui brûle,
Si tu dois aimer, il te faudra autant de courage.
A chaque pas, le coeur est à l'épreuve,
A chaque souffle, il est à l'examen.
Si tu dois aimer, il te faudra autant de courage.
chant derviche

Très chère fleur de lotus
C'est un immense plaisir que me procure la joie de lire tes commentaires si merveilleux,si sages,tes mots sont dictés par la beauté magnifique de ton coeur,merci pour ces quatrains de Rumi,un grand homme que j'aime enormément au point où son ouevre maitresse "mathnawi,la quête de l'absolu" est mon livre de chevet aux côtés du saint coran,merci de m'avoir accompagné sur cette voie,me tenant la main de peur que je ne tombe,toute mon amitié la plus sincère

Un magnifique poème mystique; c'est si rare, ces temps- ci. Merci.

Merci Aksel d'avoir aimé ce cheminement mystique,voie qu'on a dénigré au profit du factice,mais qui demeure à mon humble avis le seul refuge sûr pour toute âme en detresse,amitiés sincères

La mer de ton poème est immense...
Amitiés,H.

Merci chère petite hirondelle de ton passage sur mes mots,amitiés

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L'hiver s'endort
Sans espace mort
Où les dentelles
Des fleurs frêles
Fleurissent dans la main
Cette peau du jasmin
D'une femme hautaine
A l'âme chataine
Comme la soie des cheveux
Qu'elle effleure sans feu
Par le bleu des habits
Portés d'elle sans soucis
Pour marquer les sens
Cette indifférence
De son visage
Sans peur, sans rage.

Un poème tout en bleu,tes mots sont toujours si beaux,une douceur deferle de leurs lettres dont toi seule connait la magie,toujours un intense plaisir à te lire petite hirondelle
Angel