Aziza, lorsque tu as terminé d'écrire ton texte dans Word, sélectionne le en entier, lâche la souris et appuis simultanément sur les 2 touches « ctrl » et « c » ( -COPIER- rien ne se passe encore) Reprends ta souris et va dans le forum en plaçant le curseur à l'emplacement où habituellement on commence à écrire… Là , encore une fois, tu relâches ta souris, et tu appuis simultanément sur les 2 touches « ctrl » et « v » (-COLLER-) Clique ensuite sur prévisualisation pour rectifier la mise en page si nécessaire… Ne reste plus qu'à envoyer…
Mon chagrin
Rétrécit en grande vitesse
La lourdeur des larmes se disperse
La solitude ne miroite pas la peur
A mes yeux, virent vers la froideur
Les nuits de condoléances
Qui sont, désormais en partance
Rien ne reliera ma rivière
Aux sources tes hauteurs en pierre
Je lis les versets de quiétude
Je souffle la bougie de l'inquiétude
La terre marche sous mes pieds
Me prend vers des rivages
A mille pied
De tes ravins de fumée noir
J'ai versé des larmes
Des soirs et des soirs
Il est temps de laisser aux roses
Le temps d'ouvrir mes pétales closes
athor95
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Dans la publication : mon chagrin
16 octobre 2007 - 10:23
Dans la publication : la fin de la mort
15 octobre 2007 - 01:48
Madame la mort
Ô ! Mon élue, ma douce et passionnée, mon venin vénéré…
Qu'en as-tu fait de ma braguette…
Mais quel autre barbon aura su tant t'aimer…
À quelle âme prochaine seras-tu morcelée…
Quel autre mieux que moi
Quel autre mal chronique, sous ta jupe levée, aura su te convaincre…
Combien de rêves et de fantasmes, déracinés du cœur…
Garde moi, mon amour, en ton ventre mouillé, ta plus douce colère…
Ton visage d'acier et ta larme de sang…
Nous veillerons le soir des poussières de lampe
Un fanal de chair, tant nos cendres perverses, à portée de tes dents…
Quand va l'oeil du tendre humer tes profondeurs
Où va lustrer le pourpre, cette langue qui meurt, aux pieds d'une statue.
Combien de rien et de si peu, de supplices et de feux
Tant mon sexe dressé, en nage de ton cul…
Pour que ta bouche s'ouvre, Ã l'unique saveur.
Combien de temps chéris, après tous nos silences
Pour que le croque-mort, trinque à notre candeur, enivrée du mépris…
Quelle autre belle Amie, quelle autre belle et tendre, aussi pure que brèves, à mon mal chéri ?
Ne seras-tu que cendres, aux belles nuits d'antan, aux couleurs vermeilles…
Est-ce donc à présent, plus que larme et regrets…
Suis-je au souvenir froid, plus qu'un astre d'acier et que l'âme dérange, en ta douce demeure ?
Ô ! Mon élue, ma douce et passionnée, mon venin vénéré…
Qu'en as-tu fait de ma braguette…
Mais quel autre barbon aura su tant t'aimer…
À quelle âme prochaine seras-tu morcelée…
Quel autre mieux que moi
Quel autre mal chronique, sous ta jupe levée, aura su te convaincre…
Combien de rêves et de fantasmes, déracinés du cœur…
Garde moi, mon amour, en ton ventre mouillé, ta plus douce colère…
Ton visage d'acier et ta larme de sang…
Nous veillerons le soir des poussières de lampe
Un fanal de chair, tant nos cendres perverses, à portée de tes dents…
Quand va l'oeil du tendre humer tes profondeurs
Où va lustrer le pourpre, cette langue qui meurt, aux pieds d'une statue.
Combien de rien et de si peu, de supplices et de feux
Tant mon sexe dressé, en nage de ton cul…
Pour que ta bouche s'ouvre, Ã l'unique saveur.
Combien de temps chéris, après tous nos silences
Pour que le croque-mort, trinque à notre candeur, enivrée du mépris…
Quelle autre belle Amie, quelle autre belle et tendre, aussi pure que brèves, à mon mal chéri ?
Ne seras-tu que cendres, aux belles nuits d'antan, aux couleurs vermeilles…
Est-ce donc à présent, plus que larme et regrets…
Suis-je au souvenir froid, plus qu'un astre d'acier et que l'âme dérange, en ta douce demeure ?
Dans la publication : Un café chaud...
14 octobre 2007 - 03:15
Quand tout sera fini
Qui pleurera à ton chevet
Quel visage inespéré
Ecrira tes silences
Quelle nuit longue encore
Pour apprendre le coeur
Qui pleurera à ton chevet
Quel visage inespéré
Ecrira tes silences
Quelle nuit longue encore
Pour apprendre le coeur
Dans la publication : L'homme infidèle
14 octobre 2007 - 02:10
L'homme
Un homme à confesser… ça te dit bien les choses
Des péchés enfantés des plaisirs ingénus
En des lieux musiqués ses augures de rose
Des vertus à crier du bonheur secouru
Un homme ça se voit… dans ses phrases, assisté
Ca s'entend plein poumon dans ses lignes de fuite
Tu le vois tu l'entends, sous tes robes, dressé
A ton ventre éclairé tes yeux reconnaissants.
Celui-là qui te prend comme on prend un taxi
Qui te vend du printemps à la solde des rêves
Qui prépare l'instant au soleil dans ton lit
Chaque nuit écumée dans son ciel qui crève
Lui pour toi c'est pas rien le reste tu t'en fous
Fallait bien que le cœur choisisse sa victime !
Sous son masque d'aimer que tu croques à genoux
Tes vingt ans ravaudés à jamais à la traîne
Ses regards supposés cette idée de complot
Sa façon d'être toi ses musiques secrètes
Près de lui tu t'endors
Et les nuits en solo
Tu l'attends
Tu le sens... En baiser dans ta tête
Tous ses mots dans tes mots… Tendrement des distances
Tant de temps aux langueurs…
L'Homme… A son mal, venu
Aux morsures d'aimer, en baisers de voyance
Ses hiers à t'attendre
Pour tant d'autres débuts
Un homme à confesser… ça te dit bien les choses
Des péchés enfantés des plaisirs ingénus
En des lieux musiqués ses augures de rose
Des vertus à crier du bonheur secouru
Un homme ça se voit… dans ses phrases, assisté
Ca s'entend plein poumon dans ses lignes de fuite
Tu le vois tu l'entends, sous tes robes, dressé
A ton ventre éclairé tes yeux reconnaissants.
Celui-là qui te prend comme on prend un taxi
Qui te vend du printemps à la solde des rêves
Qui prépare l'instant au soleil dans ton lit
Chaque nuit écumée dans son ciel qui crève
Lui pour toi c'est pas rien le reste tu t'en fous
Fallait bien que le cœur choisisse sa victime !
Sous son masque d'aimer que tu croques à genoux
Tes vingt ans ravaudés à jamais à la traîne
Ses regards supposés cette idée de complot
Sa façon d'être toi ses musiques secrètes
Près de lui tu t'endors
Et les nuits en solo
Tu l'attends
Tu le sens... En baiser dans ta tête
Tous ses mots dans tes mots… Tendrement des distances
Tant de temps aux langueurs…
L'Homme… A son mal, venu
Aux morsures d'aimer, en baisers de voyance
Ses hiers à t'attendre
Pour tant d'autres débuts