Ah, si seulement! Si seulement,
nous étions libres de prendre notre temps!
le_faune
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Messages que j'ai posté
Dans la publication : Maître Chronos
07 août 2008 - 04:38
Dans la publication : Pensée
31 octobre 2007 - 05:55
Il n'est pas vain de rappeler quelques règles de grammaire, alors:
on écrit "pardonne moi", car sous cette forme "pardonne" est à l'impératif et la deuxième personne de l'impératif se calque sur la première du présent de l'indicatif, en tous cas.
on écrit "pardonne moi", car sous cette forme "pardonne" est à l'impératif et la deuxième personne de l'impératif se calque sur la première du présent de l'indicatif, en tous cas.
Dans la publication : Détresse d'une Âme
31 octobre 2007 - 05:25
J'aime les poèmes qui laissent au coeur la tristesse mélancolique dont il faut chercher les tenants. La qualité des vers m'a parue quelque peu irrégulière, mais certains sont vraiment frappants. L'on verrait presque Huysmans s'extirper de sa tombe pour aller griffoner ces mots sur un arbre, loin de tous. Allusion renforcée d'ailleurs par le champ lexical de l'Eglise. L'impossibilité de la foi n'est-il pas le mal de la solitude moderne? Une bien belle question (toujours d'actualité comme tu ne manques pas de le signaler) qui appelle quelques retouches à mon avis. Mais les plans de ta cathédrale sont prêts, ses fondations, sûres. Il ne reste plus que les détails: ici, une gargouille un peu bancale, là quelques ardoises un brin massives. Rien qui ne puisse se parfaire... Chapeau bas.
Dans la publication : la fin de la mort
31 octobre 2007 - 12:56
Si débat il doit y avoir, il me semble que les thèses de Heidegger pourraient s'avérer utiles. Pour ce dernier c'est la mort qui donne son sens à la vie, sens directionnel mais tout aussi sémantique. La vie va vers la mort, la mort est ce qui est toujours au devant de nous. La crainte de la mort, l'angoisse, nous révèle la structure de la vie comme un être-pour-la-mort. Elle est l'exemple paradigmatique de l'ek-stase, ce mouvement qui nous porte toujours en avant de nous-mêmes vers le monde et les autres, toujours la médiateté. La conscience de la mort est ce qui va pousser l'homme vers les autres et vers le sens, vers le faire. La conscience de cette mort revient à poser une limite dans le temps à son existence. Doit-on vraiment parler de l'après la mort? La mort dans ce qu'elle a de dramatique, de réel n'est-elle pas le Sabre fendant l'Une Pomme de l'éternité? Il est clair que la notion de limite, de fin n'a pas fini de poser des questions, et pardonnons à notre collègue qui pour titrer son post sur la chose aurait du opter pour quelque chose du genre: "Approche sérielle de la notion de limite".
Dans la publication : Pensée
30 octobre 2007 - 07:00
Pardonne moi si l'intention était signifiante (auquel cas ce sens m'échapperait), mais à ma connaissance les verbes du premier groupe, quand on les conjugue à la première personne de l'indicatif présent, se terminent par un "e".