F *

Il n'y a pas plus la photo

Je revois encore la lumière qui se battait avec l'ombre
plus les chaises...

Juste contente d'avoir retrouvé ce texte totalement par accident

"Vivons nous
entre deux rives
comme ces papillons,
prisonniers
à l'aile d'une vitre."

Juste des mots pour rien.
J'ai aimé, c'est une image qui se dessine sur tes mots,
le tout avec une grande fluidité
et mes oreilles s'en portent très bien,
merci.

Ariel,
Est ce que j'ai une gueule d'atmosphère ?
Merci beaucoup d'avoir réveillé les points sensibles de ce texte.

J'étais contre le re-travaille de mes textes
mais j'avoue qu'avec ce genre de critique,
l'envie de s'y mettre arrive.

Donc quand j'aurais une petit case de vide dans l'emploi du temps,
celui ci va y passer.

Quand à la fin, je ne sais pas encore si elle va rester en l'état,
il est vrai que la gueule du texte en prend un coup.

Encore merci du temps passé à le décortiquer.

Souris,
merci pour la proposition d'aide mais je pense que je vais le revoir toute seule en premier lieu,
eventuellement si je bute...
Merci aussi d'avoir aimé.

Padej,
L'éphémère des saisons...
Neige et soleil sont mes seules saisons.

Bohemia,
La phrase s'y accorde, oui.
Merci.

Aloyse,
merci de ton passage.

Artemisia,
voilà qu'elle me dit dentelle
et que je pense à crêpe,
un petit creux sans doute.
Merci.

Comme une vague vient regorger le sable.
Nostalgia...
Un texte qui est venu me chercher, oui.

Je n'ai pas voulu chercher ce qui m'a le plus touché.
Je garde donc le tout, j'aime.
J'ai pensé à une photo (l'élevage de poussière de Man Ray) en lisant vos mots.
Merci.