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yefimia

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Hors-ligne Dernière activité : mars 04 2012 08:58

Messages que j'ai posté

Dans la publication : DU FOND DE MON COEUR

15 avril 2011 - 06:52

Vous jouez avec les images et les mots, c'est un texte qui surprend, j'aime beaucoup...
Il y a là quelque chose à explorer...Dans l'écriture


Merci Carla. Belle observation
Amitiés

Dans la publication : FIN DE VOYAGE

28 mars 2011 - 10:55

Je sais que ce poème est un brin atypique car issu de mouvement Néo-Symboliste,
un mélange de surréalisme et de symbolisme et l’éternel combat des mots, le dilemme :
est ce le poète qui domine les mots ou ses mots prends dessus sur lui ?
Merci pour ton attention pour mon écrit.
Salutations
Yéfi

Dans la publication : Ca se passe comme ça

27 mars 2011 - 11:04

Merci l'ami

Yéfi

Dans la publication : JAMAIS L'UN SANS L'AUTRE

27 mars 2011 - 10:50

Belle méditation Bibi

Salutas
Yéfi

Dans la publication : FIN DE VOYAGE

27 mars 2011 - 09:44

Voici le texte complet:

FIN DE VOYAGE

Tout ce qui a cessé, deviendra l’éternité,
L’ombre fugitive, l’arbre qui perdure.
Eveillé sous son nom qu’il ressuscite,
La main avec fleurs, le sang enchaîné.

Le voyage finira, resteront les montagnes,
Silencieuses, et le néant gris qui divaguera.
Un lieu qui n’a pas son lieu dans le désir,
Offrant le mal pour sauver, découvre la vérité.

Ce que vous priez s’appelle Triste Rossignole.
Je sais, l’amour ne finira jamais, mais ;
Qu’y a t’il humain dans la souffrance,
Qu’y a t’il inhumain dans la mort ?

Oh, écoute ! Le nouveau jour s’énonce,
Mes les étoiles immobiles restent figées.
Les mains vides, le cœur vide, l’ombre paumée,
Et il n’y a plus de moi, mai il y a mon amour.

Que se cache t’il au fond d’un beau poème,
Le même don peut être le jour ou la nuit douce?
Ô lointain de rêve, où la musique s’épanouie,
Protége moi de cette roche, aveugle et froide.

L’amour cuit de l’œil, tromperie tremblante,
Fais que je demeure dans un lieu propre,
Où le mot a la valeur du destin et de conscience,
Où les ombres sont somptueuses et les choses petites.

Comment s’appelle le temps avant qu’on soit né,
Dans l’espoir des autres et dans l’embrasement ?
Sous la terre finira tout ce qui avait commencé,
Tout ce qui c’est passé, deviendra l’éternité.

Il n’y a pas de moi mai il y a mon amour,
Je le vois dans le soleil, sous la terre où nous pourrirons.
Le jour s’assumera dans sa grande gratitude,
Tel la musique, tel le vide, tel la quiétude.

Rien de plus…