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yefimia

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Hors-ligne Dernière activité : mars 04 2012 08:58

Publications sur Toute La Poésie

L'espace derrière la foi

04 mars 2012 - 08:51

L'espace derrière la foi

Le sens disparaît dans le sillage de souvenirs,
d'étranges pensées le tortillent
dans l'illusion ils peintes les choses,
brouillent la réalité dans un sens éloigné d'être,
perds chaque contour de la vue
créant un monde autour de lui,
dans un rêve raconté cherchant l'issue
autour des moments désordonnée,
mélangeant le sens, les yeux fermés,
vit les plus beaux moments
pour se détendre et oublier.


Oublier le moment où il est né
quand il a ouvert les yeux dans ce monde fictif,
de premières larmes qu'il a laissées
dans l'illusion vieillie, sans sentir le temps s'arrêter.
Encore il voyage dans les moments de grisaille
perdu dans la foule et,
alors qu'il n'a pas laissé une goutte de sang
dans l'instant il a vu le monde entier,
qui reste le même depuis des milliers d'années
en répétant le son évocateur...
Je me demande si ce n'est qu'une illusion.
Mais il n'est rien d'autre que la dure réalité,
peut-être l'apparition de la folie
qui promet l'inexplicable.

Au fond on perd le

L'espace derrière la foi

Le sens disparaît dans le sillage de souvenirs,
d'étranges pensées le tortillent
dans l'illusion ils peintes les choses,
brouillent la réalité dans un sens éloigné d'être,
perds chaque contour de la vue
créant un monde autour de lui,
dans un rêve raconté cherchant l'issue
autour des moments désordonnée,
mélangeant le sens, les yeux fermés,
vit les plus beaux moments
pour se détendre et oublier.



Oublier le moment où il est né
quand il a ouvert les yeux dans ce monde fictif,
de premières larmes qu'il a laissées
dans l'illusion vieillie, sans sentir le temps s'arrêter.
Encore il voyage dans les moments de grisaille
perdu dans la foule et,
alors qu'il n'a pas laissé une goutte de sang
dans l'instant il a vu le monde entier,
qui reste le même depuis des milliers d'années
en répétant le son évocateur...
Je me demande si ce n'est qu'une illusion.
Mais il n'est rien d'autre que la dure réalité,
peut-être l'apparition de la folie
qui promet l'inexplicable.

Au fond on perd les traces de quelque chose
dans l'esprit, qui viennent,
d'angles lointains qui se répètent,
des scènes de dieux perdus
qui regardent de la planète lointaine,
qui se répète ... à chaque instant,
lentement perdant tout le sens
nous trompant durant les millénaires,
tournant nos sens vers les jouets insignifiants,
en plaçant la loi de la vue stupide
qui disparaît dans la noirceur de la lumière,
dans l'abysse d'émotions profondes,
mélangé par la créature supérieure,
de sources inexpliquées
pour former une partie du dieu,
de faire de chaque, l’unique dans les yeux des autres
et essentiellement la création d'un grand être,
qui regarde à travers des milliers de points de vue
ne s'arrêtera pas, ne peut pas s'arrêter,
alors qu'il circule sur un esprit limité
laisse les signes mais ne pourra pas les reconnaitre
dans la lumière qui ne sera plus.

Yéfi 2011







s traces de quelque chose
dans l'esprit, qui viennent,
d'angles lointains qui se répètent,
des scènes de dieux perdus
qui regardent de la planète lointaine,
qui se répète ... à chaque instant,
lentement perdant tout le sens
nous trompant durant les millénaires,
tournant nos sens vers les jouets insignifiants,
en plaçant la loi de la vue stupide
qui disparaît dans la noirceur de la lumière,

Moi dans toi

04 mars 2012 - 08:46

Moi dans toi

Je viens de flâner à travers tes yeux
et je souffre.
J'ai le désert pour me nourrir,
je ne pose pas de questions
tout en étant prodigués sur le sort de la tristesse
et de la nostalgie, alors que je respire
le silence reposant sur le lit.
Je ne sais pas
comment réveiller tous en toi
et absorber ton cœur
pour la même douleur.
Je suis
pour le passé - quand tu te batts
et tu frappe des tes mains les fantômes invisibles;
pour le présent - quand les yeux sont tournés
pour obtenir de l'eau du pardon;
pour demain – s' il reste de l'âme
et j'attends de l'autre côté de l'amour
pour que tu me tends ta main,
pour tous prendre ...
parce que je vais rester le même.

Yéfi 2012

Devant les fentrès de la ville

19 avril 2011 - 11:23

Quand les désires ne s’unissent pas,
Les baisers se transforment en morsures,
Et dans les yeux blasés de la ville,
En vain tu cherche ton visage disparu.

Les vitrines crient fleurant la faim,
Derrière des lèvres fortement serrées
De certains nouveaux couples accolés,
Unis dans leur propre turbulence
Surgit du sol qui n’arrête pas de s’éloigner,
Avec la malveillance de temps.

Au voyageur avec la mémoire dans le sang,
La ville ouvre les portails de ses coins secrets,
Avec des livres qui parlent sans mots,
Avec la musique qui fais léger son écho,
Avec les muses à la place des hommes,
Pour mémoriser l’espace et le temps.

Les hordes des fauves sans pudeur font les orgies,
Les vents les plient dans leur jeu d’ivresse,
Les cimes des montagnes meurent en silence
De la sonate de leur propre reconnaissance,
Dans la pelouse au bord des autoroutes,
Le voyageur inconnu reconnaît leurs noms.

Le ciel brûle sur la ville dans la vision de peintre,
Nouvelles erres galopent par-dessus de la rivière,
Certains mondes différents qui n’existent pas
Dans les fenêtres sans lumière de la ville qui disparais,
Jadis, quand nous ne savions même pas dire l’adieu.

Y.

La forme du temps

19 avril 2011 - 11:18

La forme du temps

La nature retient tous les secrets,
Mais l’eau qui coule les oublie ;
L’homme est comme l’eau.
Vers qui me tourner alors,
Vers l’eau ou la terre ?
L’enseignement de Zeus oublié,
Les oiseaux chantent inconsciemment,
Sans connaître leur Homère.
On ne peut pas savoir l’essence,
De la forme imaginaire du temps,
Elle n’est qu’une tournure de deux cercles.
Un c’est le rêve, l’autre l’infini secret.
Le premier, je l’ai oublié à l’aube,
Dans le deuxième, je me suis égaré
Inscrivant les vers qui font le rêve.

Y.

La forme du temps

16 avril 2011 - 09:57

La forme du temps

La nature retient tous les secrets,
L’eau qui coule les oublie,
L’homme est comme l’eau.
Vers qui me tourner,
Vers l’eau ou la terre ?
L’enseignement de Zeus oublié,
Les oiseaux chantent,
Sans connaître leur Homère.
On ne peut pas savoir l’essence,
La forme du temps
N’est que l’effleurement de deux cercles.
Un c’est le rêve, l’autre l’infini secret,
Le premier, je l’ai oublié à l’aube,
Dans le deuxième, je me suis égaré,
Inscrivant les vers qui font le rêve.

Y.