Cyraknow

Le poète en tant que boîte de Pandore... que de richesses insoupçonnées!

Bel opus, cher Chevalier!

Voilà un poème tout à fait évocateur...

Ca sent le vécu! C'est où, cette merveille?

Un souvenir très vivace pour moi également, celui de ces après-midis en compagnie de livres par milliers, mais ici, pas de coupole de verre... Le Trouve-Tout du Livre, la plus grande librairie de seconde main de France, est dans un ancien chai à vin aux épais murs de pierre, aux tuiles anciennes, aux poutres épaisses...

C'est amusant: le style nerveux, aux vers courts sans ponctuation, semble en contradiction avec la langueur que laissait présager le contenu de la première strophe.

Très joliment écrit; j'apprécie beaucoup l'usage d'un vocabulaire soutenu (déshérence, décombres etc) dans ces vers courts, qui donne style vigueur au poème.

Comme toujours, M. Kissine, un poème tout en sensibilité... 

Tout vient à point à qui sait attendre.... Bravo à vous d'avoir surmonté tous les aléas de la vie afin de pouvoir enfin vous poser.

Quel alléchant tableau tu nous dépeins là! Miam!

L'écriture, la meilleure des thérapies...

Ah, le mystère de la sensibilité artistique! 

J'aime votre façon de l'évoquer par petites touches, par suggestions...

(Votre poème me rappelle que cela fait vraiment trop longtemps que je ne suis pas allée au Grand Palais!)

Merci pour ce poème sensible et juste, qui traite avec respect l'épineux sujet d'une communauté trop souvent malmenée.

Joli! J'aime cet usage des vers courts et plus courts encore, ces jeux de rythme, de sonorités, de vocabulaire.... C'est très réussi!

Eh bien, cher Cevalier, quel tourbillon de questions et de conjugaison!

Beaucoup de délicatesse.

Un poème émouvant, bien imaginé.

Eh ben! Quelle vision pessimiste!  (quoique, comme toujours, impeccablement écrite)

C'est cocasse. Bien trouvé!