Elle est sur le ventre,
Cambré, tel un serpent qui rampe
Le visage enfoui dans l'oreiller
C'est la seconde pour culminer
Ses longs cheveux épars sur le lit.
Elle balbutie, elle titube, je crois que c'est « je t'aime » qu'elle dit
Elle est saisie par une émotion intense,
Tandis que lui il expire son corps encore fumant de jouissance
Elle ne peut plus bouger,
Elle est prisonnière, écrasée
Elle le divinise ; elle a perdu la foi
Il a ravagé le territoire vallonné de sa proie…
VOUS ËTES PRISONNIERES DE VOS COCHONNERIES ET VOUS APPELEZ çA DE LA POESIE? JE VOUS PLEIN