MOT
Je ne cherche pas le mot, c'est lui qui m'interpelle.
me disant " poète, permet moi que j'excelle,
que je m'exprime, que je sois un dire,
que je sois une phrase et qu'on puisse me lire.
Mais veille à ce que, je sois explicite,
sans ombre, quand quelqu'un me récite.
Que je sois écrit ou mis en dictaphone,
cela m'importe peu, les deux maniéres sont bonnes.
A la façon de Braille, pour les non voyants,
j'éclaire les ténèbres pour ces gens vaillants.
Pour les sourds-muets, quand je suis gestuel,
je banis le silence et le geste est réel.
Je transfère le savoir en récit en en conte,
l'histoir grace à moi se dit et se raconte.
je veille à l'enchainement des gestes et des faits,
tâche pour cela que je sois claire et parfait.
en moi existe un monde riche et sans frontières,
où tout se retrouve et personne ne se perd.
sois bon architecte quand tu construis ta muse,
car je suis sacré et jamais ne t'amuses,
à aller au-delà , dont tu n'es jamais sûr.
Je suis une arme tranchante capable de blessure.
au-delà du vrai, c'est la diffamation,
sois donc adépte de la modération.
la beauté de l'oeuvre dependra de ta main,
quand, jugé je serai, la l'écture de demain.
En bien ou en mal, c'est toi qu'on jugera,
Poète, je suis ta face et je ne suis que lettre.
yrroh
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MOT
10 juin 2008 - 11:06
vouloir écrire
08 juin 2008 - 01:46
je veux écrire et je cherche des mots,
je cherche ce qu'il faut pour d'écrire les maux
je veux écrire pour ceux qui n'on pas compris,
que le temps et l'amour sont hors de prix.
je veux écrir pour ceux qui ne lisent jamais
et qui ignorent le verbe et la vertu d'aimer.
je veux écrirepour combatre les ésprits,
qui ne donnent rien et qui on tout pris.
(commentaire débile, s'abstenir merci)
je cherche ce qu'il faut pour d'écrire les maux
je veux écrire pour ceux qui n'on pas compris,
que le temps et l'amour sont hors de prix.
je veux écrir pour ceux qui ne lisent jamais
et qui ignorent le verbe et la vertu d'aimer.
je veux écrirepour combatre les ésprits,
qui ne donnent rien et qui on tout pris.
(commentaire débile, s'abstenir merci)
le loup et l'agneau
06 juin 2008 - 05:04
LE LOUP ET L'AGNEAU
rien n'est jamais perdu, tant qu'existe des hommes.
Néron n'est plus et continue la vie à Rome
C'est l'envie de faire,de créer et de prospérer,
que l'homme hardi appelle cela espérer.
c'est l'envie d'aimer et de vouloir répondre,
le bien sur la terre, que l'homme doit apprendre.
Le cri de de la douleur est unversel,
pour qui veut l'entendre, partout il s'amoncelle.
Le cri de la détresse se propage comme une onde
et nul ne l'ignore à travers ce monde.
Il n'y a pire surdité que celle du coeur.
Il n'y a pire méchanceté que la rancoeur.
L'orient est pris dans l'interminable tornade,
cloîtré par le mal qui se tient en rade,
Qui déverse sarage sans la moindre relâche.
Imposer sa force, c'est déspotique et lâche.
une plébe et une glébe complétement amochées.
l'impérialisme, par un sous-sol alléché.
Le prétexte terroriste, une légende dépassée.
je ne vois autre, que la richees entassée.
une aubaine que nul ne crachera dessus .
Sam et consort, s'accrochent les sangsues.
réduite à l'âge de pierre, Baghdade est détruite,
le pretexte est vain, point d'ADM fortuites;
et le mal persiste et la mort s'immisce
et les groupuscules du crime s'unissent.
qui veut tuer son chien l'accuse de la rage.
le chien est mort, on s'adonne aux pillages.
hors d'état de nuire est donc mis le tyran.
Pourqoi présent? ceux qui disaient "nous partirons"
détiennent-ils la raison et le droit supréme?
Leurs armes labourent et leurs esprits sément,
entre fréres et soeurs, la discorde et la haine,
et reduisent à rien, le prix d'une vie humaine.
On pleure le Vietname, Kaboule et l'Indochine,
pour en créer d'autres, et rien on ne réchigne.
On posséde l'arme qui sème la mort
et on condamne autrui, l'avoir est un tord.
deux poids et deux mesures existent alors!
l'agneau est faible, le loup est le plus fort.
rien n'est jamais perdu, tant qu'existe des hommes.
Néron n'est plus et continue la vie à Rome
C'est l'envie de faire,de créer et de prospérer,
que l'homme hardi appelle cela espérer.
c'est l'envie d'aimer et de vouloir répondre,
le bien sur la terre, que l'homme doit apprendre.
Le cri de de la douleur est unversel,
pour qui veut l'entendre, partout il s'amoncelle.
Le cri de la détresse se propage comme une onde
et nul ne l'ignore à travers ce monde.
Il n'y a pire surdité que celle du coeur.
Il n'y a pire méchanceté que la rancoeur.
L'orient est pris dans l'interminable tornade,
cloîtré par le mal qui se tient en rade,
Qui déverse sarage sans la moindre relâche.
Imposer sa force, c'est déspotique et lâche.
une plébe et une glébe complétement amochées.
l'impérialisme, par un sous-sol alléché.
Le prétexte terroriste, une légende dépassée.
je ne vois autre, que la richees entassée.
une aubaine que nul ne crachera dessus .
Sam et consort, s'accrochent les sangsues.
réduite à l'âge de pierre, Baghdade est détruite,
le pretexte est vain, point d'ADM fortuites;
et le mal persiste et la mort s'immisce
et les groupuscules du crime s'unissent.
qui veut tuer son chien l'accuse de la rage.
le chien est mort, on s'adonne aux pillages.
hors d'état de nuire est donc mis le tyran.
Pourqoi présent? ceux qui disaient "nous partirons"
détiennent-ils la raison et le droit supréme?
Leurs armes labourent et leurs esprits sément,
entre fréres et soeurs, la discorde et la haine,
et reduisent à rien, le prix d'une vie humaine.
On pleure le Vietname, Kaboule et l'Indochine,
pour en créer d'autres, et rien on ne réchigne.
On posséde l'arme qui sème la mort
et on condamne autrui, l'avoir est un tord.
deux poids et deux mesures existent alors!
l'agneau est faible, le loup est le plus fort.