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poeteric

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Messages que j'ai posté

Dans la publication : RÉCIT D'OMBRE ET SILHOUETTE

06 septembre 2009 - 08:52

je t'imagine assez bien comme cette ombre à la silhouette rose...

merci bibi.

je marche avec toi dans la vallée fuschia des incarnations d'une mélopée de granit endiamanté.

qu'importe les resquilleurs lugubres succombant à leur narcisse sur des ruisseaux de boue d'or.

mille bras me portent entre les vagues rageuses de me voir marcher sur leur écume de perdition.

alors au bout de l'horizon le néant me recueille en décollant la plupart de mes vérités amoncelées.

et je suis les traînes du feu qui les consument en se morcelant à la combustion de l'épiderme du temps.

il est difficile de quitter ses habitudes en se confondant dans les allures d'un exil face à sa foule promise.

un site vous supplante toue l'ergonomie de votre espace réduit à vous droguer de cette sensation d'activité d'absolu brassée aux éclat soudains de sentir briller les mots.

puis on visite plein de sites. tellement de monde sur le web ! indénombrables contemplations et viviers de créations. intemporalités fantasmagoriques et évasions neurologiques.

mais ça c'est juste moi novice qui découvre.

bibi merci.
merci bibi.

franchement j'espère te recroiser au fil des curiosités donnant des croisées de destin magiques.

et je suis sur que ce site fonctionnera bien.

parce qu'il y a assez de poètes sur internet pour ne pas être irremplaçable. et tant mieux. vive les mots. vive la poésie. et de tous les horizons.

un truc je connaissais même pas dans le genre, ceux qui calculent l'espace entre chaque lettres et leur nombre égal par mot. je sais plus comment ça s'apelle tellement ça m'intéresse. et bien chapeau. une passion. certains le verraient comme un sacerdoce. mais non. c'est une façon de faire naturelle.

chacun son langage.

et il est partout.

alors bonne route.

Dans la publication : Le nouveau Toute La Poésie - Présentation

05 septembre 2009 - 10:21

certains de mes amis ne se dérangent pas à passer de jour comme de nuit en débarquant à l'improviste, souvent leurs mains vides fait place à un coeur plein. d'autres arrivent avec boisson et cacahuètes grillées. les soirées de poker des bouteilles rouges valsent de mon porte monnaie. mais depuis quelques backbeats en backdoor, j'ai installé un pass à cb de trente euros sur mon digicode. au moins ceux qui montent sept étages pour arriver sur mon palier le souffle coupé ont le plaisir immense de se sentir participer à l'ascension de leur éverest. l'association des poètes disparus. loi DIX NEUF fois l'infini SANS UN seul accord. mon premier site de poésie, fallait trois commentaires pour pouvoir poster un texte à soie, au cas où, tu pouvais acheter ton espace, surtout si t'étais une faignasse de chenille à se dépétrer de ses mélasses sur ses ailes de papillons incertains. dix ans à se regarder dans le nombril de son site, ça donne envie de voler plus haut peut-être. tant d'êtres font de leur challenge personnel une rupture à la face de l'humanité en se perdant dans leur convention nébulatoire. mais il est de l'ambition la ferveur d'une certitude à aller droit devant pour atteindre l'objectif primordiale d'être en phase avec ses croyances névrotiques. dix ans. bravo. était-ce un site pour des poètes sans-issus, un site pour des copieurs sans tabous, un site aux idées melting-pot où un site pour quelques despotes. du moins en ais-je ressentis toute l'ébullition sous-jacente et d'y être vous rassure à lire des créativités quand vous ergotiez en vous demandant suis je un être normal en combinant des orlas patentés à des crédences révolues de se sentir immergé des grâces linguistique d'une noosphère envoûtante. d'autres sites. d'autres habitudes à traîner. pourquoi pas. un de plus un de moins. j'en ai un pour habitude, le deuxième j'attends de savoir où vont jean luc la crême à choux et phul le subjugateur de foule. si tous les sites devenaient payant. j'ai joué deux trois ans en club de foot, et le reste de ma vie sur des playgrounds et des city stades. j'ai joué au tennis en bravant le gardien et les habitués avec leur carte de petit membre. je fraudais le train en m'entraînant à la course dans les couloirs du métro. j'ai déjà tagué un poème dans un wagon vide. certains sont venus ici par une porte ouverte à la diversité et aux moyens aussi inégaux que leur grand coeur aime à suivre leur artiste fétiche, si ce n'est dans certain cas pour leur auto estime. certains voient en une cotisation la construction d'un mur. mon quatrième site était un bastion tenu par des hurluberlus en gang avec une hiérarchisation établis sur les niveaux de chacun. un site fermé sur lui-même. et il en existe beaucoup de ces forteresses sur le web. gratuites mais protégées par le seigneur de son domaine à ne pas fouler sans son accord. les sites publics. tellement peu de curiosités. à part quelques coups de flashs. netlog. tiens c'est gratuit pour ses blogs. mais c'est un peu cul-cul et forum post-ado. over-blog. ma maraine poète m'a prêté sa place. mais je sais pas l'inspi ne m'y guide pas. tant de sites de poésie. et si peu de curieux, passionnés à l'escrime des mots. certains font partie des poètes errants. je suis poète errant. errant petite pâte à peter pan. tant qu'à dire le dernier mot d'un pavé de rancoeur aux traites de la poésie libre, je vous souhaite bonne chance à votre cercle. les sites poétiques tous payants, la cour des bouffons regardent danser leur roi.

vive la poésie.

vive usain bolt.(euh ça c'est un pari je devais pouvoir le placer)

et vive les poètes errants dans les rues d'un web libre.

Dans la publication : GRAND JEU DE LA SINCERITE

21 août 2009 - 09:55

si je puis donner un avis ferme utile tranché sur la question de quel petit couillon j'aimerais voir disparaître d'ici et sans délais c'est ce petit troufion de poeteric.
tout en lui me dérange. le moindre de ses mots n'est qu'une forme avancée d'une vulgarité post vaniteuse.
il a suffit que quelques poètes daignent lui dire ho pas mal et voilà il choppe la pastèque aux chevilles.
trop susceptible le gars en plus. la délicatesse n'est pas temps le fait de caresser dans le sens du poêle à charbon en faisant des commentaires élogieux mais de dire ce qui nous passe dans la tête quitte à dédaigner le sujet qu'il soit long où chiant par un mot bien à propos et rigolo si possible pour imprimer d'une désinvolture un laché de dénigrement comme signature.
non franchement poeteric rien à faire là. plus on l'a pas invité il s'incruste ça se fait pas.
fait que deux ans qu'il débute et il écrit toujours avec des fautes de frappes chirurgicales. en plus il se la pète en répondant à plus décalé que lui.
en plus d'en plus.
ça fait une raison supplémentaire.
sans compter qu'il embête dame Laranco toujours à lui réclamer d'effacer son texte dans son com. elle qui vient toujours lui dire hep tit gars pas mal ben non faut qu'il l'emmerde elle aussi. en plus elle a du talent. elle.

donc à l'unanimité de moi-même je lui demande de partir un temps assez long (quelques années suffiront) afin de se parfaire (c'est possible, c'est un faignant ) dans sa médiocrité.

mais avant cela, je voudrais lui dire merci.

merci d'avoir éveillé en moi ces mots, cette Poésie.

j'ai aimé te côtoyer durant ces deux années.

même si t'étais plus penché sur tes blessures,

tu m'as permis d'aller plus loin en ouvrant les portes de la curiosité,

surtout quand les cerbères des sites t'aboyaient dessus.

heureusement à l'époque, j'ai rencontré une poète magnifique qui m'a recueilli comme un petit moineau faisant encore cui-cui. et ça ça à plus de valeurs que d'être mis au mépris par une frange de gens doutant de votre sincérité.

merci Aude.

des paillettes de mica
sur des masques Okuyi
aux sables de quartz
des pensées porcelaines

les âmes démodifiées
comme cristaux chaotiques
fusionnent les argiles
sur des pleurs de plastique

lithosphère errante
sous les dorsales des océans
mon coeur d'olivine
fluorise ses chlorures d'argent.


c'était moi en toute sincérité.

et ceci sera le dernier mot de poeteric :

Merci.

Dans la publication : sortie de nuit.

19 août 2009 - 01:14

'Bien sur j'ai eu le droit au 'arrêtes tu vois pas que je me prends la tête !', mais insidieusement elle souriait en serrant les jambes entre mes doigts joueurs.'

de belles coquines !
lol



merci Phul...

Dans la publication : desiderata

19 août 2009 - 01:10

And nothing else ever
Will come close
To cherish the tears
Of my heart osmosis
kites thought of stealing
They overlap flashes
You pull on the wire
Of a too brillant star
In the infinite one
The hearts float écho
On clouds down below
what our reasons stuck