poeteric
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Publications sur Toute La Poésie
dernières sensations à vif avant la prochaine ailleurs.
07 septembre 2009 - 01:25
étant un célibataire un brin timide du genre le mec qu'attends que la postière au timbre d'un charme affranchi sonne à ma porte avec son recommandé de bagatelles à nous poster pour des destinations à dos de collissimo j'ai trouvé un site recommandé par une cops adopteunmec.com c'est le site du moment qui supplante meetic.
n'ayant encore pas mis de photo afin de ne pas retirer à la concurence tout le droit de participer à leur tirage au sort phéromonal je dandeline dans ma cage à blog en regardant passer des fruits sur le tapis roulant de mon moteur de recherche.
existe t'il un site genre adopteunpoète.com
bon nombres.
certains se sentaient bien ici.
et bien la vie existe ailleurs.
où vous pourrez croiser d'autres extra terrestres.
la curiosité vous amène souvent vers où le destin vous joue des surprises.
vous vous étiez attachés ?
et bien dansez quelques temps dans votre exil maintenant !
ptdr
j'ai tellement vécu ça.
mais en même temps ça stimule pour ceux qui persévèrent.
je me fiche au vent de vos problêmes de cotisations et de mal de dents.
si tim veut faire payer son entrée, c'est son droit son ambition.
si j'avais un site,
claricorne devrait cotiser avec au moins deux bons gateaux au chocolat-poire par mois impair.
mercenaire j'ai payé mes trente euros je fais partie maintenant de l'élite j'ai plus à attendre qu'on m'édite.
mais dites moi où est la guerre au pays d'un royaume libre.
si j'avais un site,
phul aurait plein pouvoir sauf celui des blogs photos !
si j'avais un site,
jl 78 que l'apelerio le choux.
si j'avais un site,
povoite et anton karmazoe ainsi que tous ceux dans leurs styles auraient leur place d'honneur, donnant droit à une part de gateau de clari.
si j'avais un site,
paname s'occuperait de la partie conférée aux retraités, big up mec.
si j'avais un site,
hirondelle aurait le droit de citer de st petersburg à melun.
si j'avais un site,
lou s'occuperait de la partie érotico enflammée.
si j'avais un site,
j'aurais avec moi les poètes errants croisés dans mon chemin faisant.
si j'avais un site,
utopie 1 y accueillerait ses élèves en toute quiétude.
si j'avais un site,
pat larenco aurait un programme spécialement conçu pour elle lui évitant d'éditr tout le texte dans sa partie message. par contre je lui donnerais toute l'opportunité de s'exprimer aussi librement qu'elle le fait.
si j'avais un site,
sapot serait mille fois ravis de s emmêler à l'exhaltation jubilatoire de savourer des textes.
si j'avais un site,
mais je voulais le faire que dans quelques années.
alors il me tarde que l'inspi me mène à de nouvelles contrées plein de vous.
et tout ceux que j'ai pas cité ressentant comme moi cette émulsion sous cutanée des voix de la poésie infinie.
tlp est mort pour certains.
mais la poésie à toujours continué de vivre pour d'autres.
eric.
un putain de poète errant.
vide.
07 septembre 2009 - 01:22
qu'il est bon d'être libre d'écrire.
06 septembre 2009 - 12:18
je marche sur les pas du soleil. et je resplendis de mes brulures en parfaite harmonie avec le foyer de mille chaos. ainsi la course de l'univers vient s'entrechoquer sur les rumeurs palpitantes du néant repeint sans cesse à l'almincantarat des émotions aléatoires.alors entre les bouleversements de chaque atome donnant des bouquets d'aurores et des aubes enlassées je continue de marcher droit devant le destin de l'instant.
au détroit de quelques secondes entre tes yeux éternels, j'ai vu naître un assemblage d'arc en ciel. il allait d'une roulade sur tes cheveux en boucles s'acoquiner aux spirales des courants d'une caresse prometteuse. à nos desseins calligraphiés sur des ombres vivaces la plupart des astres égarés s'émerveillent en répandant leur éclat sur des années lumières éparpillées.
Quelle rencontre étonnante !
19 août 2009 - 01:52
‘Je l’ai rencontré cela fait bien deux trois jours
Un hasard de rendez-vous sans programme
À mon age on ne regarde pas que les contours
Elle avait l’air sérieuse et pleine de charmes
Les ombres sous son regard se stoppèrent nettes
Créant la fonte de ses désirs en rimmels
C’est fou le hasard tombe sur des levés de tête
elle pensait pas croiser l’amour officiel
Nous continuâmes de nos bras en subduction
Notre galop dans la plaine des abysses
Là où les mégahertz de son jeux de séductions
Se déposèrent aux posidonies des délices
Au paradis des zostères elle déposa nos angevins
Parmi les désirs qui se frayent aux rhizomes
Où mon cœur marsupium accueillit nos alevins
Ô belle cheval de mer aux stries de chromes…’
Voilà ce que je vous rapporte
De ma plongée sous-marine
Un hippocampe hagard
Venant se confier
À mon regard étonné !
Dans les courses de biais, des paroles déballent
les désirs en cales des joutes de frissons,
estompant la passion que tapissaient mon homme,
tel l'été rayonne dans notre hiver sans froid.
De mes mannes d’éclats leurs coquilles s’emballent
contant de leurs râles, sans gestes cajoleurs,
les flots de leurs lueurs, rompant mon monotone.
L’âpre envie ne donne ni remords ni regrets,
leurs tours sur mes reflets se jettent dans les flammes
d’un chant tel un charme endormirait le temps
de ces jours longs traînant l’impact de tout affect
sur ma peau secrète d’un atoll de prières,
où mes dessous suggèrent, aux trames de l’amour,
cette intrépide cours sous les combats de fier
aux dards des yeux éclairs par promesses d’effets,
fondants quand je défais mes dentelles d’échos,
s’échappant dans les sceaux du cachet de mon col,
où mes côtes aux sols, à sa pince s’armant,
je serre cet amant mon destin fataliste,
seule en haut de la liste d’un crabe violoniste...
Voici après les chevaux,
En pleine plage de repos,
Ce que m’a raconté,
L’air désabusé,
Un crabe bleu aux pinces rouges !
De plus, en repartant, perdu dans mes repères,
pensant aux crustacés, l’océan hippodrome,
je failli perdre sang sur une ortie de mer,
quand d’un réflexe né j’évitais le leucome.
‘Où me suis-je échu ?’,l’entendis-je nerveux,
en tournant de l’ocelle à bout de rhopalie,
se sentait-il déchu de ses coraux de feux ?
J’entendis cet appel : ‘où est ma physalie ?’!
Droit sortit des couleurs d’un élan fantastique,
je vis vibrer sa belle, sur des vagues géantes,
tel un hydromoteur sur ressorts pneumatiques !
Dans les reflets du vent, sauveuse de son sort,
elle le prit contre elle, alors remerciant
quand de ses filaments, elle fondit dans l’aurore.
Quoi ?!
-------.......--------.......-------.......--------
Pensez donc ! Je suis coi ! Mais que se passe t-il !
-------.......--------.......-------.......--------
Un plongeon trop profond ? Un son sourd se répète
-------.......--------.......-------.......--------
Quelconque que ce soit je suis là sur cette île
-------.....wheke !.....-------.....wheke !.....-------
Puis longeant son lagon je vois une silhouette
-------.....-------.....wheke !.....-------.....wheke !.....
des dreadlocks bleus ? Un corps né filiforme ?
.....wheke !.....wheke !.....wheke !.....wheke !
Il semblait un être, je ne suis plus sur, lÃ
.....wheke !.....wheke !.....wheke !
Ça grandit dans les cieux ! Cela devient hors norme !
.....wheke !.....wheke !.....wheke !
Nan ! ça fait quinze mètres ! Sa tête secoue dix bras !
.....wheke !.....wheke !.....wheke !
Pourquoi toujours ce mot ? Regards à droite à gauche,
.....wheke !.....wheke !
Ma peur aux décibels reste inerte et stoïque !
wheke !.....wheke !
Ce cri plus en plus haut…pourquoi cette débauche !
Sarclant son regard fou je vis ses sentiments !
Son cœur grand cherche celle qui lui est harmonique !
Quand dans un clin d‘œil zooou plongea dans l’océan !
mais c'est quoi cet endroit de foouus !!!
où est-ce moi ?
j'ai pas pris mon portable
et je reconnais plus la plage...
Encore ce bruit qui raisonne !
Ah, voilà un vrai être humain !
il sort de cette densité de feuilles...
ho là ! je me demande si
c'est mieux !
je fais quoi
en tout cas je saute pas dans l'eau !
quoi il parle ? il m'appelle ? kes ki dit ?
je l'apostrophe même pas,
ses guillemets étaient déjà ouverts :
‘Masse désarchivée aux conflits mes neurones,
là où s’évapore, turgescents mille abîmes,
l’esprit désactivé des variances en clones
des carrefours sans bords ni regards au bitume.
À travers les haillons de mon cœur identique
Cent fois est mort la nuit le jour sans foi n’est plus
Le temps fut un brouillon sur des questions en toc
Quand d’une fois de plus des nuits des jours je vis
Virage clandestin, d’où j’en devins mirage,
le sort en dessine, par instinct passager,
mes choix entre les mains de ce qui m’envisage.
Les flots sur le radeau de mes pensées au large,
Pour m’emmener à dos sur une île de barge,
m’ont fait solitaire de jours sans plus d’hier
De mon amour sans crue, l'intense en est égal,
mon corps lui tient tête, pressant dans ses fissures
cette écume à la mue d’une rosée bien pâle
de mon cœur qu’affrète cette île qui m’emmure.’
Me parlait il à moi ? Au fur qu’il avançait,
il en devint géant ! Et pourquoi je suffoque ?!
Ma peau bleuit ! Ma voix n’est plus que longs sifflets !
Quelle folie ! Je sens le sable qui me bloque !
‘Dis as-tu vu wheke ? Le pauvre il l’a perdue !
Moi je l’ai vue passée, elle n’en pouvait plus !
Ah ! Quand un navire viendra donc me sauver !’
Mon souffle de faiblir, il prit mon nez denté,
pendant qu’il me parlait, me roulant jusqu’au bain
de l’océan, j’étais devenu un dauphin !
Vivre c'est ralentir de nos coeurs s'émouvant.
19 août 2009 - 01:42
Mon cœur tige de test
Retint tout l'intérieur
De tes rêves par fin
Aux anses de flux vifs
En sort sellant mon inspi
Pour en faire aumône
À nos sens traversés
En happant l'attirance
Des amants renversés
Aux passages biohasard
De leurs sens fluviales
Sur l'exosquelette
Des empreintes d'eau d'heure
Sur le lit laqué
Au drap de mer bleue
Dont les plis vagues
Dotent la peau de sel
Des pétillances de celle
Qui s'activent au ciel
Des prunelles olfactives
Par effluves visuelles
Des chimies qui s'activent
Bisous d'un peu partout sur Runes de tes côtes
Jusqu'au point ombilic dont tes lignes d'escales
Remontent sur ton cou mon souffle qui tressaute
Aux sons mélodiques de ton cœur qui s' emba lle
Les correspondances de nos haleurs de timbres
Sont les messagères des frôlements syncopes
De notre jouissance lorsque l'on vient à ceindre
Ce que nous suggèrent nos corps qui s'enveloppent
Caresses de strophes que des lettres dessinent
Sur pages d'étoffes de nos encres câlines
Lorsque l'on s'affronte sur le lit d'un recueil
L'amour apostrophe pour que l'on s'y culmine
Quand on se fait la teuf nous ressentant tout in
Sans aucunes hontes que raisons qui s'effeuillent
Vivre c'est
ral
en
tir
de nos
cœurs s'é
mou
Vant
Nos bras enrubannent les intenses reliures
De nos corps qu'inspirent leur opus lazulite
Pour en redéfinir les vérités écrites
Entre les médianes de notre couverture
Dans l'air aux roulades des rires qu'on chahute
Je te suis pardessus des dessous au velours
Des dentelles de nues nous échancrant l'amour
Aux tourbillons jades de l'azur en volutes
C'est d'apothéose nous rapprocher des lices
Lorsque l'on oppose sur les ondes d'esquisses
Nos sens en vibrations des instincts chorégraphes
C'est bien plus que n'osent de simples artifices
Lorsqu'ils juxtaposent leurs éclats au solstice
De notre confusion que l'infini érafle
Vivre c'est
ral
en
tir
de nos
cœurs s'é
mou
Vant
Aux fleuves des gènes nos courants se combinent
Quand on se déverse du haut de nos cascades
Remontant l'averse des mélanges nomades
Vers un ciel sans gênes que deux corps qui l'inclinent
Course en diagonale de nos roucoulements
Qu'accompagne au dôme la pleine déstructure
De tous nos atomes solvant leur signature
Dans les intervalles de nos échos hurlants
Dense cœrcition faisant valser la brise
Des apparents rayons venues de nos balises
Surgissant l'inconnu sur des sentiers sans fin
Aux pas des migrations sur la vie insoumise
Au fur que nous délions ce qui déshumanise
Le monde est parvenu dans ses propres confins
Vivre c'est
ral
en
tir
de nos
cœurs s'é
mou
Vant
Embardée de spasmes des lueurs sans pourvus
Pourvu que tout brille Pourvu que tout fonctionne
Laissant les fantasmes recouvrir nos vertus
Du goût des papilles des âmes qui rayonnent
Nulle autre vérité ni énième copie
De rêves factices ni actes possessifs
C'est juste nous donner pour en toner la vie
De flashs sur nos iris par désir intuitif
C'est en nous l'abandon projetant dans l'espace
Le temps qui se confond ne tenant plus en place
Quand ses ombres se ploient de nos libres cadences
Douce euphorie sans fond du béant en surface
De nos soupirs aux tons des regards qui font faces
Quand toute candeur croît de caresses intenses
Vivre c'est
ral
en
tir
de nos
cœurs s'é
mou
vant
Viens allons simplement tamponner notre amour
Sur les mots effleurés de notre air sensuel
Aux lignes composées des courbes parallèles
De nos yeux en aimants de tout ce charme autour
J'arrête ce discours puisé de ta beauté
Comme un fleuve au long cours qui ne fait qu'avancer
J'imprime sur papier ces illusions au sort
De mes doigts au clavier venant prendre ton corps
Flottant dans l'océan qu'on appelle internet
J'écris mes sentiments comme écrit un poète
Ô bouteille de vers fût de mon oxygène
Sans autre naviguant que solitude faite
Je sombre doucement dans l'ombre de ma couette
L'abstrait vient extraire mes visions d'un Eden
Il contourne les traits de ton air naturelle
Fait des luxuriances de ton sourire éclot
Entre les variances du tout devenant beau
Quand rien n'est aussi laid qu'être superficiel
Il Il va s'évase lorsque lorsque s'effleurent
Nos pouces nos pousses d'eau à dos dans la gamme
Qu'ambre rase embrase le noir et les lueurs
Quand on se rebrousse nous mélangeant nos flammes
Voile là et voila au vent l'auvent qu'aux flots
L'atlas m'attelasse son indice parait
Étaler l'horizon en falaise de braises
Des tas d'états d'ébats des oh dit d'idéaux
De pile naît face d'écrire ce qui crée
Sous la pluie nos frissons comme unique synthèse
Vivre c'est
ral
en
tir
de nos
cœurs s'é
mou
Vant
D'accents bagatelles sous cette pluie diffuse
Au froid qui harcèle fond la chaleur intruse
Retenue dans le creux de nos mains qui se joignent
Sur flaques se fêlent mes réflexions confuses
Mes vapeurs ruissèlent d'une brume de muse
Et je suis amoureux de tout ce que j'empoigne
Qu'ils pleuvent qu'ils ventent n'attends le coup de foudre
Sous la cornée blanche de l'œil d'un cyclone
Qu'un regard déclenche sur l'homme et sur la faune
Retentissant quand chante le cœur réduit en poudres
Puis je sais l'éclaircie jamais loin quand m'approche
De ses effets sereins sur l'accroc des nuages
Le futur incertain d'une femme aux sillages
Du soleil surpris quand elle le chevauche
Vivre c'est
ral
en
tir
de nos
cœurs s'é
mou
vant
Réponds moi répands moi repent moi l'ardent toi
Quand un jour au hasard de nos cœurs qui se croisent
Tu sauras nous savoir pour que tu apprivoises
L'improbable illusion des je ne sais pourquoi
C'est du goutte à goutte de notre cote à cote
Que se ralentissent de nos visions surprises
Les rires complices lorsque l'on reprécise
La stupeur Knock out de nos attraits qui s'hôtes
En attendant l'amour je ne m'effondre pas
Je ne construits de tour que liberté d'état
En aimant mon prochain mon cœur se réalise
Les instants sont parcours des bilans sans compta
Des choix et carrefours ma conviction prendra
Le souffle des embruns quand tu t'y concrétise
Vivre c'est
ral
en
tir
de nos
cœurs s'é
mou
vant
Je veux palper tout l'or du lit des champs de blés
Fondre en leur écume que soulève le vent
Pour qu'on s'évapore sur la paille séchée
Que l'été allume sur notre sol couchant
De nos couleurs vives que printemps fait renaître
Au gris de carbone des nuits longues d'hiver
Tombent dans l'automne des pluies qui nous prospèrent
Les orées lascives du temps qu'on enchevêtre
Quatre tableaux de fonds faisant décors qui dansent
La cinquième saison n'a aucune incidence
Elle est la compagne des bourgeons éternels
Elle est l'amalgame de ce que l'on recèle
Sans autre imprégnation
Que laisser sa puissance
Sur nos implications
Volter tout notre encens
Vivre c'est
ral
en
tir
de nos
cœurs s'é
mou
vant
Ma sixième saison m'est toute sexuelle
Faite des extrêmes d'unités symbiotiques
Que trois mots je t'aime font unir en unique
Les lettres de nos noms de nos corps qui s'épellent
Dédales par mille que des balcons surmontent
Dans les axes parfaits d'un enchevêtrement
Où nos peaux ricochets d'ensemble confondant
Au tout qui s'empile quand chacun se confronte
Dans la foule la rue fait allure de pause
Les angles répètent les mêmes lignes droites
Des sens filant à vue des verticales nettes
Rien ne se dépose que nos courses étroites
On reprend la marche dans le flux des passants
J'aime sous les arches flâner aux éléments
Surtout quand il flottent dans tes yeux que j'admire
C'est devant l'ascenseur que l'on fini chez moi
Les premiers serrements de nos silences tendres
Que font les frôlements dans la nuit qui se cendre
De tout notre intérieur marqué du moindre émoi
La septième saison c'est le septième ciel
Elle est ce qui fécond nos besoins essentiels
D'une simple osmose de nos corps qui s'imbriquent
Nous sommes la ville le monde et les chants
Variations subtiles de tous nos sentiments
Quand on se compose du bien être empirique
J'aimerais tant ceindre la fraîcheur d'une idylle
Aux courants des afflux faisant rosée de geintes
Les matins contigus des chaudes nuits d'étreintes
Quand nous violons d' ingre nos corps qui s'assimilent
Fit des habitudes des aiguilles en geôles
Des vagues factices sur les rives réelles
De tes yeux myosotis qui au fond d'eux recèlent
Le temps qui s'élude sous tes cheveux de saule
J'écris comme un appel ce manque de chérir
Nos sens qui frêles de devoir contenir
Les flammes de notre air faisant braiser nos bouches
Mes mots pèle mêles ricochent au zéphyr
Qui tatoue sur le ciel les noces du frémir
Redondant sur terre nos clameurs dans ses couches
Je veux être le loup sous lune pleine et prise
De ses turgescences sur ton regard en feu
J'hurle quand tu lances de ton timbre harmonieux
Nos désirs qui se louent de nos forces éprises
Allons couvrir l'obscur de tout notre arc en ciel
Ses couleurs avivent l'espace transparent
Des vues intuitives qui suivent nos courants
De ce qu'on perdure d'extase sensorielle
L'envie exclusive nous attire en aimants
Des portées natives de notre flamboiement