tiroir mon cul
C'est posé sur cette chaise que l'on aperçoit mieux la dégradation totale.C'est comme si tout autour il y avait tellement de bruit que le silence prenait une signification beaucoup plus assourdissante.Les meubles avaient perdus toute vieillesse, même les murs semblaient disparaître quelques instants puis revenir le siècle d'après.Si on se laisse pénétrer par l'ensemble de nos souvenir, on peut sentir le bois sec rouer de coups l'atmosphère ambiante de la pièce.Une odeur de poussière qui aurait été maintes fois décrassée nous renvoie au balai, allongé dans un coin, dont les poils forment maintenant des courbures. Rien ne peut faire sourire cette cage qui ne sait plus chanter.
edine
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Sépia
08 juillet 2008 - 02:35
Brrr ect
08 juillet 2008 - 02:14
Dans la série fond de tiroir...
C'est le soir-bien sur-la femme est au balcon.C'est un soir d'hiver.Quand il y a encore du brouillard.Pas trop, juste sentir sa présence(du brouillard).L'air est froid.Chaque expiration devient visible.Des nuages blancs-neige maintes fois dissimulés par cet ,je récapitule,d'hiver froid et envahit par le brouillard, se forment à chaque souffle.Quand soudain.
C'est le soir-bien sur-la femme est au balcon.C'est un soir d'hiver.Quand il y a encore du brouillard.Pas trop, juste sentir sa présence(du brouillard).L'air est froid.Chaque expiration devient visible.Des nuages blancs-neige maintes fois dissimulés par cet ,je récapitule,d'hiver froid et envahit par le brouillard, se forment à chaque souffle.Quand soudain.
Angélique
08 juillet 2008 - 02:03
c'est un poème qui trainait dans un tiroir, les fautes ne sont pas corrigées, pas envie, et cette fois ci c'est conscient.
Je t'ai vu un soir, tu souriais à un grand saule
Je t'ai vu en boire de cette vie qui est notre rôle
Tu n'étais qu'une reine de songe et de baisé
Je m'en souviens à peine que je n'ose y penser
Il t'as fallut souffrir pour pouvoir m'aimer tant
Mais tant qu'Ã mourir si ce n'est de ne t'aimer qu'un temps
Nos larmes et nos baisés ont su faire face au vent
Et nos coeurs déchirés ont milles et un pansements
Que la terre craquèle, nous serons séparés
Mais avec l'amour éternel on apprend à sauter
Mes yeux s'enflamme de ne pas assez rêver
Quand les tiens en larmes se sèchent de trop m'aimer
Laisse toi emporter dans un monde refusant les faibles et le rien
Vas droit dans une ronde où un et un font un.
C'est naïf
Je t'ai vu un soir, tu souriais à un grand saule
Je t'ai vu en boire de cette vie qui est notre rôle
Tu n'étais qu'une reine de songe et de baisé
Je m'en souviens à peine que je n'ose y penser
Il t'as fallut souffrir pour pouvoir m'aimer tant
Mais tant qu'Ã mourir si ce n'est de ne t'aimer qu'un temps
Nos larmes et nos baisés ont su faire face au vent
Et nos coeurs déchirés ont milles et un pansements
Que la terre craquèle, nous serons séparés
Mais avec l'amour éternel on apprend à sauter
Mes yeux s'enflamme de ne pas assez rêver
Quand les tiens en larmes se sèchent de trop m'aimer
Laisse toi emporter dans un monde refusant les faibles et le rien
Vas droit dans une ronde où un et un font un.
C'est naïf
WC
25 juin 2008 - 03:11
Envie pressante
Désir scato
Déchet en tenue
Nu essuyé
Désir scato
Déchet en tenue
Nu essuyé
Psyché del hic
24 juin 2008 - 09:01
Crois-tu qu'on puisse crever ensemble
Il faut qu'on s'aime demain aussi
Mon coeur mes os ma bite tremblent
J'ai songé à l'ennui l'oubli
Tu es de celles qui me ressemblent
Celles qui creusent avant de geindre
Les miauleuses qu'on aime dépeindre
Celles qui jouent qui mime l'enfer
Sans raison ni prétention
Sans désir c'est donc sans risque
Tu interpelles foudroies craches
Le démon qui hante Lavinium
Si ta bedaine oblige
Tes soupirs râlent m'usent
Il faudra demain pour ressayer
Sans honte tu m'aimes
Il faut qu'on s'aime demain aussi
Mon coeur mes os ma bite tremblent
J'ai songé à l'ennui l'oubli
Tu es de celles qui me ressemblent
Celles qui creusent avant de geindre
Les miauleuses qu'on aime dépeindre
Celles qui jouent qui mime l'enfer
Sans raison ni prétention
Sans désir c'est donc sans risque
Tu interpelles foudroies craches
Le démon qui hante Lavinium
Si ta bedaine oblige
Tes soupirs râlent m'usent
Il faudra demain pour ressayer
Sans honte tu m'aimes