Louise Brune
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A propos des sonnets :
" Parce que la forme est contraignante, l'idée jaillit plus intense. Tout va bien au sonnet, la bouffonnerie, la galanterie, la passion, la rêverie, la méditation philosophique. Il y a là la beauté du métal et du minéral bien travaillés. Avez-vous observé qu'un morceau de ciel, aperçu par un soupirail, ou entre deux cheminées, deux rochers, ou par une arcane, donnait une idée plus profonde de l'infini que le grand panorama vu du haut d'une montagne ?"
Charles Baudelaire, lettre du 18 février 1860.
" Parce que la forme est contraignante, l'idée jaillit plus intense. Tout va bien au sonnet, la bouffonnerie, la galanterie, la passion, la rêverie, la méditation philosophique. Il y a là la beauté du métal et du minéral bien travaillés. Avez-vous observé qu'un morceau de ciel, aperçu par un soupirail, ou entre deux cheminées, deux rochers, ou par une arcane, donnait une idée plus profonde de l'infini que le grand panorama vu du haut d'une montagne ?"
Charles Baudelaire, lettre du 18 février 1860.
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16 août 2011 - 19:46 -
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Messages que j'ai posté
Dans la publication : Le mal de mer
23 août 2011 - 08:26
Un bien joli poème matinal, mais bien sûr ne cédons pas au mal de mer, de terre non plus d'ailleurs, et gardons le moral.
Dans la publication : Fleur des chants
22 août 2011 - 10:55
Quelques vers semés au vent de TLP qui ont germé sans se faire oublier.
Douce philosophie que j'ai appréciée.
Douce philosophie que j'ai appréciée.
Dans la publication : Aphrodisie ?
22 août 2011 - 10:06
Bravo pour cette Aphrodisie, aux sonorités emplies de mélodies !
Dans la publication : Nos pas de neige lente
16 août 2011 - 08:27
Un pas
Qui ne peut qu'ouvrir l'éphémère
Dépouiller de sa fleur de sa beauté la terre
Toucher le front, les yeux
Effleurer l'eau qui coule
Le long de ces étés
Qui s'enfuient ou s'enroulent
Je t'offre cette mer rebondie d'encre bleue
Tu y crieras ton ciel tu fermeras les yeux
Puis ce sera l'hiver ses franges de cristal
Une impression légère tracée en diagonale
Nos pas de neige lente recouvrant l'éphémère...
Des pas sur l'éphémère, tout en beauté.
Bravo !
Dans la publication : Matala
15 août 2011 - 10:12
Joni Mitchell - Carey
Un peu de nostalgie Janis Joplin "The Rose" chante Summertine en 1968
Merci Victorugueux pour cette vidéo.
Joni Mitchell a vécu dans les grottes de Matala et elle l'évoque dans "Carey".
