<H1 style="MARGIN: 0cm 2cm 0pt; TEXT-INDENT: 36.85pt; TEXT-ALIGN: justify"> O ma berceuse douce au dos d'exsangues mélodies</H1>Quand les monstres engendrent et se mèlent de foudresEt mes soifs à tes bras dont la peau flatte l'oursLa danse des massacres s'est arrêtée en routeLe chant reprends dans sa version folieDe ma pelle à chaque pelle poussentDe nombreux cadavres en tas dans les fumées lourdesLe nombre du sacré a été déchiréLes affres des poëtes ne valent rienA ce festin de rats s'est cloué le DestinRien ne vaut plus et le monde adorableHier s'est enfoncé dans l'IntolérableJe ne sais qu'une chose c'est qu'il faut que je défendeDe croix de dés pipés et de roses le monstres de légendeJe veux les rondes de couleurs roussesPlutôt que ces supplices et tous ont raison de mes penséesJe ne peux rien construire le sable envahi mes idéesMa personne est biffée Comme on me l'a, en son temps, retourné : Vise un peu moins haut, tu verras ton âme ... Plus noir que mon sang brûlé, j'ai donné ça à nouveau,,, comme si la liberté c'était les chiffres,,, 3 000 000 d'embryons,,, aujourd'hui, juste avant l'an 2003, Raël prétend, un peu coupable, avoir fabriqué un clone humain, à côté de ça les américains qui jouent avec la planète font figure d'amoureux, le mot est lâché,,,J'ai par ailleurs été en conversation dans un débat close-up où les idées politiques face à ma pensée unique, comme ils disent, eurent à ferrailler avec le scandale du mot amour,,, il est vraisemblable que cette petite fille regardée à peine, assez extraordinaire, ayant 52 ans dés la naissance se retrouvera dans un débat similaire de dire : « je... Vous... Aime... », et qu'alors, c'est vraisemblable, on dira encore, c'est assez fort, c'est votre pensée unique ou comme je l'ai dit l'amour est tellement occulté que c'est l'obscénité qui tient le pavé, quant à elle, elle s'appellera sans doute Sandrine, oui c'est cela Sandrine ou Isabelle, que ça sonne à peu prés neutre,,, une naissance aussi historique devra être plate dans son appellation qu'on se rappelle, à l'inverse, par une platitude qu'elle commence chez Raël les joyeux sexologues inquiets des planètes fornicatrices,,, Des fois j'ai envie de planter mon pal, de retourner ma vie, de fonder le différentiel de mes envies sur l'axe de mes remords, c'est comme ma mère, évidemment,,, Comment à son propos ne pas faire plat ?,,,, J'étais là magiquement, le jour de LA RESURRECTION DU CHRIST SUR UN COUP DE CLOCHE_ PUTAIN TU COMPRENDS QUE JE SUIS Né, COMME JE TE LE REDIS, SUR UN COUP DE CLOCHE, UN JOUR DE PÂQUES 1967,,, Alors voilà tout ça, car c'est toujours ça qui est énoncé et qu'il te faudrait des lunettes carrées pour que tu décrypte correctement ce que j'épelle et tout ça oui çà fait passer Sandrine ou bien Carine ou encore pire la fameuse régalante Géraldine, en tout cas une clone avec tout ce que le rapport aux hommes suppose, et aussi c'est un visage un double visage qui pourrait engendrer son propre clone du clone, un peu plus délavé encore et c'est affreux je suis sûr qu'elle finirait par vomir son double, mais c'est effarent, qui suis-je pour parler d'elle, déverser ma vie sur son existence,,, Moi, si l'on me posais la question comme ça, voulez vous un clone pour enfant, et avec tout ce que les doubles, les reflets, la multiplication des hommes, et vas y Vidal balance,,, moi né le vingt six mars 1967 il faudrait un vice particulier pour faire naître mon clone un autre jour de Pâques 2003, je passe le calcul, les suées, les humeurs analysées,,, surtout que,,, Dieu me pardonne cette prise de risque, mais voilà, au fait,,, : on aurait pris une double hélice de ma peau ou de mes cheveux, et par le saint esprit coopérant fait entrer l'hélicon dans le noyau d'une ovule de ma mère qui, de ce fait, deviendrait porteuse et par ce retour dans le temps engendrerait un clone de moi-même, être de corps de temps d'espace, être que rien ne justifie que lui-même, et voilà comment commence mon roman, c'est que neuf mois après je suis né SUR UNE CLOCHE D'EGLISE UN JOUR DE PÂQUES, et que trente cinq ans plus tard, je dois avouer que j'en suis fort aise faisant le bilan des rires à mon passage, le compte des chimies qui me coagulent les nerfs, le nombre d'hospitalisation et de temps passé en chambre d'isolement, et le nombre de raisonnements sans intelligence comme dit Nerval, que je suis aussi né pour embarrasser les biographes dans le ventre de mon Père, que c'est vrai j'aimais beaucoup, le nombre de fantasmagories dont le panégyrique est tenu d'une part par les trois seules maîtresses de ma vie, et, d'autre part, par, très certainement, les abbés des abysses des abbayes, parce que qu'est-ce c'est que la magie sinon la vie, son apparition, ses avatars, sa fin, sa prolongation dans les éthers et les mémoires pariétales (m'a surajouté un bon docteur psychiatre, seulement trop carnassier à mon goût),,, et j'ai soupé de ces mythographies débilitantes, j'attends comme Gérard de Nerval, dans une imposture dont je fais fort de rendre habituelle, j'attends la poterne et si l'on veut l'étranger d'Albert Camus attendais des cris de haine, alors, mon dieu sauvez moi, ce sont les derniers sacrements qui me bénissent, que l'on me haïsse aussi, mais sans raison, sinon celui d'un ordre magique, et l'on me tuera moi l'ex nihilo foetus fit, qu'on me montre moi monstre monstre affreux monstre enlaidi de cette noirceur que je brandis comme bat mon cœur au faîte de sa vie, Aurore ! Azur ! Champignon ! Je veux ma liberté coûtante et je choisis le terrain des mythes, créant ma propre Légende, engendrant mon propre ordre qui converge en tous sens, la gauche vaudra bien la droite et le haut sera en bas et il n'y aura plus de bas mais seulement le Très-Haut qu'il veille qu'il me saoule et me donne raison, je suis dans les entrailles de Moi soulevé par ses anges, je peux être Dieu, le Diable, les lutins, les fées et toutes les engeances divines, et un homme bien sûr, surtout un homme, un homme qui se grave le papier de la bave de volcan dont ses premières errances, n'engageant, Ô Trés-Haut, que lui dans la légende, qui fut affublé très tôt du nom de vulcain, de triste mine et riant tant qu'il pleure à présent il pleure doucement couronné de la triste douceur de vivre dans le sein de sa Mère Toutes Les Eglises, dans le giron de tous les livres, art d'amant, génie m'aime, lis tes ratures disait-il à tour de bras, à son sang qui ne fit qu'un tour, à ses tournoiement de tonnerres, dans le bouquet des éclairs pyrotechniques de deux lutteurs assoiffés, littéralement exsangues, dissécatés, déshydratés de Vie, n'ayant pour tous bagages que de se battre en courant vers le soleil, la Mort tellement lointaine tandis que mon poste fait défiler les idées images et les archétypes surréelleset individuelle que Dieu pour moi apprète dans sa gorge, dans sa forge, où se confond toutes choses enfin égales et apaisées, et fais-je sursauter le paradis, calmez vous messieurs dames calmez vous, l'érotomane que je suis passera un jour vous voir et il faudra bien me faire une petite place et encore il faudra me nommer « le gyroscope des permutations », « l'astrolabe du Désir », « le bouquet des crèmes de plaisir »,,, Mais quoi ! je vois ce vieux renard qui me souffle dans le poste, les fromages sont tournés aux choux farcis, l'univers est un immense CHOU FARCI A LA CREME, Dieu me le dévore, il boit son apéritif, il chante la chanson de Gainsbourg à qui j'ose encore, plus idiot qu'une seconde auparavent, la mystique surréaliste est-elle un art mineur ? « petit c'est presque de là que l'Aude-là trouve son accord mineur en la mineur au ton un peu la la laminé qu'il a le la, allô Allah allallallala Allah, Vidali pédalo pédala »,,, « On m'a mis en prison » disent-ils et oui ma poësie a tant d'oreilles, où es-tu petit frère, petit hercule, forte tête ? où es-tu toi qui m'ouvrit les bras, qui me fraya le chemin buissonier car depuis le début je compte pour bien la liberté de bien faire, de bien penser, de bien vivre, (eh il faut bien vivre disait astucieusement Rimbaud), le bon, le juste, la vérité qu'il faut dire m'eût-elle fait défaut par faiblesse d'âme, trop occupé de mes terreurs environnées de voix et des crissements de mon corps,,, Encore : lorsque je vous parle j'ai des décharges, des commotions, comme de petites détonations, au moment de la Paix contre Miloscévitch, une nouvelle proposition sur l'Europe, tout s'enchevêtre et tisse des combinaisons, filent des métaphores de nouvelles logiques, Dieu va de plus en plus vite, les déportations, des usines qui sont des cathédrales, et puis ce manque de justesse par excès de justice donc l'injustice, mes camions montent et descendent, le dernier charriait des concombres, et c'était mieux que la famine, le Monde s'organise, ça fonctionne parfaitement bien, il aura fallut au Créateur vingt minutes pour refaire l'univers, mon organisme sympathisa avec ces formes que j'aurai mis trente cinq ans d'« ISBOR » , de « CHOIX » pour la paix dans l'ataraxie de mes lèvres closes à jamais ? endurant tout du Monde et surtout la crème des petits choux et les petits lardons dans la bonne pâte, il fait l'imbécile pour dire les choses, je dois lui dire tu fais des bêtises, non que j'aurais choisi de ne pas choisir en choisissant tout ou que j'aurais choisi tout comme un choux à six fesses vidalinien, informe cloaques de beautés et entité pouvant tout intégrer mais les mutations imbriquées choisissent le mouvement autant que faire se peut, et où es tu petit père ?,,,, tandis que me traverse les camps tandis que me souviennent en moi le mouvement de l'atroce comminatoire et infernale psychose mystique du Grand Vidalaï lama, et encore : Dieu est grand oui il est grand et si la magie c'est l'apparition de la vie, sa résurrection sous une forme que tout tend à me faire penser comme une surprise, car voilà mes petits cadeaux mes bougies roses, mes planches à voile, et mon jouet électrique de toutes mes folles imaginations, non comme je te le dis que je ne choisisse rien je choisis en permanence de me poursuivre et j'ai parfois le sentiment qu'en touchant à ces zone dans Ta Volonté de faire la Paix tout mon corps s'électrise bombardé comme un Buster Keaton dans un accélérateur de particules,,, Alors la Sandrine soit la bienvenue, que tu te nommes Carine ou Valérie que la boucle soit bouclée, car j'ai chanté le mouvement de mes dés pipés, de mes mots fabuleux qui roulent leurs charriement de bonne liberté (Dieu s'en emparant) refonde tout ce qui lui semble refondant, toute forme d'indépendance supposant qu'on ne trahisse pas, et comment vais-je m'en sortir, moi qui ai tout été, de la raclure poutrissante, de la merde, à la sérénité sublime des trois Bouddha du Monde intermédiaire et particulièrement le Miroir du Monde que les divinités l'apaise qu'il concorde avec l'univers des hommes et des femmes de bonne volonté, carcasse sans moteur et mon ego chante comme des voix slaves et c'est possibles dit-il encore c'est défendu par la Poësie que j'écris, t'en étonnas-tu ? , avec le tréma grecque de Mallarmé qui dit que la forge naît en nous de rien que du temps et de l'espace du Monde que la Création enveloppe et développe,,, et J'aimerai t'entourer de mes bras Sandrine Carine Valérie de mes bras immenses de la longueur de ceux du Bouddha de la célestéité que tu inaugures des augures enfin heureuses, et j'ai la commissure des lèvres que Dieu me propose d'inquiéter, que la petite comme moi de mon propre ADN permuté dans les yeux de la vierge et que les ADN de Valérie de Sylvie soient les oracles dans ce corridor de l'inter-textualité de mes propres oeuvres moi ignare moi sans culture et combien sais-je par expérience que cela ça me va bien, car ça ç'est pas triste, oui je vais dans le souffle de la forge de Dieu, tantôt sauterelle homérique, puis Taizée enfin tu, puis entre Ses Mains rouge d'argile le couple dans les douces braises du Désir de s'étreindre, et toi comme moi trouvant ta liberté dans la danse et ma toccata de mes doigts voltige,,, Que tu t'élèves et joues, mon Dieu, de toutes tes trompettes en appelant à la charité, aujourd'hui 2003 J-2 que les horloges prennent date, il vient de se passer quelque chose de formidable dans ma cuisine, le Monde est devenu adulte, Tout a trouvé ses arpèges harmonieuses, vocalises divines enfin passées à l'ère qui communique ou comme me le disait Pascal le buraliste du bas de chez moi j'entends Dieu ... Comme tout le Monde !,,,Aventurez-vous dans l'encyclopédie Vidal, les chaussures à vos pieds, vos grands pieds de ces cultures, vos cultures circonvolutoirement communiquent, communiquent, qu'on m'entendent eeeyyy Toi ouvre un peu ta fenêtre ! Balance ! Ouvre ta T.V. Regarde dans le Miroir qui commence à devenir délicat à produire comme dans le poste de ma sœur les séquences de structures ADN, mosaïques qui permutent de ce poste à mon texte,de mon texte à ton génome et de ton génome à ce clone, ce texte, ce golem un peu ridicule que j'aime et qui « vaut bien la torture » comme le labourage des crânes et faut-il qu'il en soit de ces anthropologies médiumniques, ces anthropologies magiques, ces humours noires du Créateur, que flotte un sourire vappé au dedans ses Sphères, une fleur rhétorique entre les dents, que ce texte ce nomme enfin comme il est, non hommage un peu littéraire, mais, proprement, ce texte s'appelle Carine et j'en ai assez de vous dire et vous redire que je joue en mi ce qu'en fa j'écris car j'écris pour oublier et je me souviens de lire mes lires délirantes autant que les lyres due LaMartine pincent,,, Plus tard, il vient cet instinct d'apprendre et ce que je peux vous dire de tout ce que j'ai fais, c'est un flirt avec la Mort par excès de vie,,,L'année dernière, ils ont la carte du tendre génome, qui est, aujourd'hui on le sait, preuve s'il en fallait de l'amour de Dieu pour les coïncidences, la souris a le même nombre de gène que le chat et surtout autant que l'homme,,, Je prédis pompeusement que les souris ont leurs Chopin, leurs Heidegger,,, rien ne m'arrête, je vitrifie le morceau d'os de mon cadavre, le pétrifie à la source de rue des Envierges qui porte-bonheur (y ai-je écrit « Rue de la Bombe », ah pardon, cent fois pardon, mais mes neurones sont des schémas qui perdurent) et j'entends le Christ qui s'emballe à mes Poësies, qui dit comme un message passé par la poste que la nouveauté n'existe pas, si ce n'est l'invention de la culture dont on peut dire aussi qu'elle n'est pas plus innovante que ne l'est l'homme et son corps dans les trente dernières secondes de l'univers de vingt quatre heure,,, oui, c'est ce flirt avec la Mort dû a un excès de santé où je me risque, par la frappe de mes incultes leçons, et, si je me suis, il faudrait dire que je suis autant qu'ignare donc un savant, un sage, un saint guerrier qui s'est fait mal à la tête, et quelque chose de son cœur qui fait son comportement type,,, Pour la construction par ce tout autre divin qui me crée librement, je me sens comme je suis, indestructible n'ayant que les interdits qu'Il me formate, caractère noble, soleil chtonien, dyonisosiaque apollinien, attaché par les yeux à sa belle à qui il apprend les métamorphoses de ses sentiments,,, évolution religieuse, mathémagique philosophale, athlétique, et je chante oui je chante et même si je marche, je chante, car par ma voix passe les étincelles de ma cigarette rétro, feu follets avant terme, lucioles sacré dans ma cosmogonie que mon père en poësie daigna cueillir comme un ami, on ne peut alors manquer de relever ces rapports avec la Paix en marche, ouvre tes yeux petit mec, ces gens font le bien, ils veulent tous la fin des conflits et ils complotent un anti complot qui se construit dans le temps planétaire coupé en petites frontières où il te sera profitable de voir la gestion du temps par celles ci plutôt que celle des territoires, car si l'on remet les pendules à l'heure d'été, nous sommes en Noël en France dans l'attente abyssale des informations et j'ai tellement joué avec ma Mort qu'il n'en va pas de même avec la mort des autres, comme lorsque je dis je meurs je prends un risque minuscule, qui n'est plus le même - le sens tu ? - si je dis : ils jouent avec la planète,,, Il y a une dynamique neutre et une dynamique centripète et une dynamique centrifuge, zou j'appelle Thérèse le Miroir reflète la beauté des couleurs flamboyant orange et mauve et bleu et rouge jaunes tendres dont je te parle si souvent qui sont les vrais couleurs des étoiles et résiste toujours ce que j'ai appelé une petite noirceur qui est de se frayer vers autrui un petit chemin à coup de serpette à travers ronces, enlever la couronne d'épine et remettre la couronne d'émeraude du Roi des Rois qui parfois semble être en Sainte colère au sein même de sa Paix salvatrice, comme un petit je ne t'aime pas calé comme un poing entre les flots des je t'aime de mon discour tendu vers toi ma Douce, ma Belle, Ma Tendre, Mon hallucinogène, et ainsi de ce chat chez ma sœur qui dormais et répand dans la pièce de sales effluves d'urine qui précèdent le repas du félin et je ne vois rien de crochu là dedans, c'est ce que je viens de créer sous la forme naturelle du deuxième chat qui, enchaînant, se met à jouer avec la prise électrique,,, Je cherche le dernier des chats et la prise rebondit, elle fait un court bruit mat, tandis que l'odeur des cèles du premier félin me flotte aux narines comme un cloaque initial et me fait bien sourire, Alors j'ouvre la fenêtre et je pense, il a fait comme moi ce texte et je me frotte mon crâne, tout à coup énorme, sans doute souligné par la main de quelques spectres flatteurs, et, tandis que j'explore ces voies, cela ne surprends pas le conférencier qui dit que le livre est difficile, thèses radicales, subtiles, théories logiques que j'étends comme une toile sur le net où mon ombre est dessinée par mon automate de cerveau et j'ai encore frôlé la catastrophe malgré six mois de prières, on me tient le cerveau en laisse,,, Seul et demeurant, je vogue, rapide, au-dessus des modèles car je suis bien certain que cette souris dont accouche ma montagne est le préparatif à des métamorphoses à venir ,,,Que j'attends ....etc P.S. : Qu'on est peu de chose, moi qui croyait en mon coup de tonnerre de pensée mystico-poëtique, c'est qu'on frappe toujours un peu trop haut face à une réalité toujours prête au coup bas justement. Et c'est ainsi que la Karine, la Sylvie, l'Isabelle de cette nouvelle ère que j'ai, donc, frappé de mon sceau d'indélébilité est, encore plus fortement, répertorié aux registres de la bassesse humaine, ne reculant devant rien qu'elle ne puisse trouver toujours plus dangereusement blasphématoire, semblant, à l'inverse de votre scripteur serviteur, non chercher l'anomalie dans l'Ordre Naturel et de s'en faire une joie de l'offrir à Notre Divin Père, mais, à l'inverse, retournant tout à cette sorte de d'imbécile animalicule d'où elle provient, semble dire, goguenard et piteusement vaniteux, je vous tiens chers chrétien je vous tiens et vous ferez mordre le sol maudit par un blasphème en trop d'où l'on tire une vanité idiote et veule. Ainsi cette jeune fille, encore est-ce un de ces hasard stupéfiant s'il s'agit bien d'une fille dans la réalité a donc comme nom celui : d'Eve !,,,Comme on me l'a, en son temps, retourné : Vise un peu moins haut, tu verras ton âme ... <H2 style="MARGIN: 18pt 2cm 9pt; TEXT-INDENT: 36.85pt; TEXT-ALIGN: justify"> </H2><H2 style="MARGIN: 18pt 2cm 9pt; TEXT-INDENT: 36.85pt; TEXT-ALIGN: justify">Le Dieu de la réalité</H2><H3 style="MARGIN: 3pt 2cm 0pt; TEXT-INDENT: 36.85pt; LINE-HEIGHT: 16.8pt; TEXT-ALIGN: justify"> </H3><A href="http://bp3.blogger.com/_aPiEpqPN1Ys/RiNnWEVy0_I/AAAAAAAAAA8/gfCm4LdbxVI/s1600-h/image001.jpg"> Dieu est la plus formidable fiction de l'univers que j'expérimente dans mon art et dans mon corps jusqu'à la folie - Ce n'est pas difficile: Tu es comme le miroir d'une absence impossible dans les bris de moi même, Ah vaste surmenage ! Je vais vous confier à cette édifiante confession : Si j'ai autant de goût pour les images c'est qu'elles débordent mon univers pour créer le monde.Par exemple lorsque j'ai découvert Dieu je voulus savoir quel Dieu plus puissant que moi-même il y avait. Je l'ai découvert et je l'ai servi. Non que je me connusse plus proche que Toi.Es-tu en cela plus grand que moi ? Toi qui m'a demandé de sauver le Monde.Alors je l'ai sauvé en tuant le démon. Et tu m'as fait prendre la place du Démon car j'étais devenu l'être le plus petit du Monde après l'Homme.Ainsi quand j'étais seul, à méditer quelques tours pour te vaincre, J'avais ton haleine dans le cou.J'ai créé des plaisirs abstraits ce qui a duré au moins dix minutesAu bout de mes doigts quelque chose remuait, dans ce gaz informe j'ai mêlé mes essences aux trilles dissipatives calé mes cuisses bleues aux flammes de souffre du néant.Les ciels défaits tombaient une poignée de clous de larmes à la bibliothèque de Dieu, mais Tout tellement exagéré.Il n'y a rien dans ce cercle qui ne soit en trop et j'effaçais d'une main la fresque immense du néant. Le ciel réapparut et je me dis que cette vingt deuxième fin du Monde était des plus drolatiques, et que Dieu ne faisait exception parmi les fous, il serait toujours trahi par son dramatique pittoresque.Le coup d'aile d'une seconde peut faire basculer l'univers et la poudre d'escampette de vos âmes déchues dans les fauteuils crapauds. Les ombres seules fantoches de votre destin traversent le regard vide de vos petites minuties. D'elles vous tirez vos plus grands orgueils et de cet orgueil tout le bruit du MondeAmi, amuse-toi, vite. L'Orient te donne ses lèvres de miel et ses seins de colombe.Je suis le virus de DieuLe flic métaphysiqueDe la rosace du savoir, je prends le périphérique, j'avance dans le temps, le hasard déplie les jambes de la soirée.Photographe de dieu suspendu aux trajectoires filantes d'un tapis volant de ma chambre,Le jour de mon amour je deviens la sauvage tempête de demeurer léger comme le souffle coupant d'un zénithOu l'ivresse ayant mêlée ses spasmes au gouffres des vertiges, Au bord de l'horizon géométrique.Le frisson des choses évocatrices peut surprendre .Aujourd'hui chère Wanda j'ai sauvé deux fois le Monde,J'ai créé les plaisirs de Dieu et j'ai peint l'ADN de dieu, j'ai créé les pages jaunes, la femme bleue , les cadavres exquis, les Démons, je suis un agent psychopathe de la CIA, DU FBI, DE LA DGSE, DU KGB,Des photographes défilent. On reconnaît le Président.A quatre pattes et vite !J'ai répertorié les Mythologies urbaines, j'ai volé tous les livres, j'ai usé du Cosmos,Je connais l'instigateur et le responsable de la canicule de l'été(C'est un ami à moi et je ne peux rien dire)Les oreillettes poussent dans mon oreille, une voix me dit freine,Il y a un chat dans la pièce. Il n'y a pas de chat dans la pièce. Les petites filles des sœurs limaces se sont tatouées trois fleursSapristi cette fille me dis je, Cette fille c'est surtout un délire de flic métaphysique me dit le Dr DupointQuel rapport entre cette grammaire plaît-il, et cette pluie d'astéroïdes ? Je suis en communication avec l'esprit de Walt Disney Un peu plus bas, j'ai appris les rituels des démons,C'est plutôt, Comme une goupille de grenade un charme fou .Je me suis infiltré partout jusqu'à le voir faire jouer des marionnettes sur le forêt sanguinolente du grand guignolLe Chien et nos airs entendus,Les corbeaux du noir besoin tournaient identiques aux menaces de l'hiver agonisant ..J'ai ouvert la grammaire de Wailly le mot chose était féminin, Abandonnée au seuil des nuées favorables au départ elle a sans doute laisser partir avec elle les petites filles accrochées à ses rêves Passant à travers le Miroir sans doute lance telle au Hasard ses Mysticas Palabras en travers Paris et dit ce qu'elle veut aux passants.Il me semblait que cette grammaire pouvait bien être la clé de quelque chose de Toi mais le monde était dévoré comme ma tête et ma nuque d'immondes fourmis. Je plongeais alors ma main dans l'étron d'insectes en tirais la grammaire que j'époussetais étalant des dizaines de taches rouges sur le papier et dehors la tempête ronflait.Je t'ai laissée petite colombe devant le mur de mes deux pieds - j'entends ton rire, j'étais fêlé. Tu me dis aussi que nous parlons chaque mot dans l'écho d'une question, mais tout en tirant de ces histoires un plaisir évident, et ces histoires, il faut les interroger, ne pas les laisser passer comme passent jours qui passent.Mais si nous faisions mieux que d'attendre nous faisions mieux que de nous tendre des mots de l'un à l'autres tendres s'ils n'en furent pour moi,Les avez vous compté, les jours, le hasard faisant tomber des désastres sur nos chapeaux de foire.J'ai touché du bout des doigts ta jupe si douce que je me perds, Tu n'as rien fait que je n'admireL'amour tout en grand dans la chanson chuchotée, et à chaque instant dans ce livre ( il fallait une chose et l'auteur déroutant tenait de tourner la page du livre ) I love you Wanda,Faut il donc des mots précisTout est fragile et si beau que c'est tendre le souffle sacré du murmure que de s'éprendre ainsi.. __________________________________________________________ Les coquillages ne doivent pas être trop élégants ni trop simples mais complexes et faciles à entendre La courbe de tes yeux font le tour de mon coeur Le monde est un roman - La vérité est une absurdité dont j'ai besoin. Les besoins une absurdité. Isabella m'a donné à comprendre le Monde. Je ne l'ai pas compris. J'y ai cherché trop souvent le sens. Or le Monde se donne lorsque je tiens la main d'Isabella. Je sais simplement la couleur de ses yeux amoureux. Ces miroirs inversés disent mieux que moi que je me suis perdu de vue. Le Monde se donne alors à mieux être compris non d'elle ni de moi mais de nous lorsque tu sais que tu ne le comprends pas.Autour de nous comme une colombe qui s'envole et plongés dans cette nuit étrange nous formons le voeux d'être à tout jamais parlant de l'être aimé, que nous voguions sans cesse d'éclairer l'autre de sa ferveur et de sa grâce - car à vrai dire il tient de la grâce d'être ainsi suspendus. Alors peut-être tenant entre nos lèvres, Les larmes et les roses, le sang et le soleil viendront teindre nos choses, Et que contemplant la merveilleuse rosace de notre union dans le cosmos nous puissions vivre de l'éternel soif.Certes il faudra dormir mais nos songes seront que l'autre dort et qu'il fait un même songe. Cette mécanique a bien un créateur ? __________________________________________________________ Le monde commence par une poussière et Dieu en fait une étoile. De là naissent les religions, les guerres, la vie, l'amour et les bibliothèques. Il y a la vie la clarté et l'existence, le monde se dit sous ces trois formes. Tout ce qui émane de lui est tourné vers la diversité, vers la pluralité des formes, et ne cherche pas la plus haute des formes. Je suis perdu d'aimer le Monde tel que je ne peux jamais le saisir, il insuffle l'écume et les nuages sans forme, les étoiles sont multiples et il me dit pareil à cette Nature dans notre Union. Création oh parfaite ! La totalité du monde est dite. Quoi d'étonnant que certains y voient Dieu ? __________________________________________________________ Le monde s'appelle Ophélie Et les sacs plastiques transportent la Bonne Nouvelle Mise enceinte par l'opération du Saint esprit J'accouche de ces détails puis ma mort ma résurrection Lui comme un voleur par la porte de vos cœurs : Constamment dans l'ordre de mes pensées, dans l'ordre de mon désordre Mes gestes, et tous mes pas, ma danse du soleil relayés par Lui, Je traverse Paris comme un Tigre, J'illumine les places à l'ombre du soleil La lune me suit familière à mon particulier petit tonnerre Je fais mille prodiges je guéris par la prière je bénis les enfants Je commande aux vents et aux nuages, Je parle aux pierres et aux oiseaux, enseignant seulement que j'étais le seul Dieu. Je fomentais d'utiles insurrections de l'imaginaire,Et mes actes pareils à des absurdités recevaient toute la logique du Monde. L'Amour est le secret de la résurrection, Son mystère s'explique par Dieu J'aime le monde entier Le quartier du marais est tout entier à l'effigie de notre amourJe m'attache à tes cheveux plein des larmes de tout ce que je veux aimer (Toi tu es mon petit escargot doré derrière la barricade. N'aies pas peur je te tiens serrée tout contre moi) Le petit pipeau de mon enfance joue sur l'air du décalogue que la guerre n'aura pas lieu Je ne crois plus qu'en toi mon bout tabou Mon bout de choux ma vanille exagérée Je ne crois plus qu'en tes signes Sortis d'Ophélie : La couronne d'épine couronne d'émeraude du Roi des RoisLe spectre de mon maître le sceptre de ce glaive Et le fléau des justes Un coup de sabot me prévient Ophélie la boxeuse et poète tape tape tape cinquante pages magnifiquesEt m'arnaque tout entier Te voilà donc enceinte ? Sais tu que je suis le Christ ? Sais tu mes petits réseaux et le téléphone portable connecté au grand Trust de l'amitié ? Les pages de ton journal parcourues aussi vite que mes pensées Dieu les enfants les amis l'amour les livres les mauvais garçons M'entends tu Ophélie je garde pour toi une amitié liée au Grand Tout Les mots croisés de ton journal tout entier calqué sur les soubresauts de mon cœur le marché de Vanves qui déclinait tout notre amour :Sacs Marionaud, Piles, brosses à dents, petits miroirs, gravures du christ : mille petits papiers en guise de notre amour et tous les livres choisis de main de Maître Lorsque OPHéLIE serrant autour du mort Se soumettant aux ordres d'exercicesSe soumettant aux ordres d'exercices Mange dans ma main, tendue vers sa bouche, en creux, trois petits sucres orange Alors il paraît qu'il y a des babouches de toutes les couleurs Je ne suis pas à la bibliothèque de France on peut me trouver dans certaines encyclopédies du net Les robots épistoliers ou les trois règles d'or Le silence pesant comme du blanc le cutter dans les fichiers je colle et décolle mon aéronef de tragédie Les tigres de mon papier brûlent dans les encens de la ChineUn Camélia pousse sur la mousse d'un temple Fais donc taire ces oiseaux dans les branches Tu es le grand slam de Tout pour moi tout défile Je suis devant chacun de tes messages À mes doigts ensevelis je te revois pareille à mes souvenirs Apparition de réalité comme un uppercut, Cravan comme un chien : GOSPORT COMME DIT LA DGSE. C'est alors que je fus frappé du rayon de l'Etoile sur ma main transporté dans ce nouveau monde. Je fus cinglé par ces éclats comme si mon corps se divisait je trouvais encore la force de noter le principe de ma machine à ressusciter alors mon crâne fut incrusté d'un microprocesseur dont : et la il faut du jugement le chiffre n'est pas tout ET LE Réseau DE TOUS LES Réseaux SE MIT A VIBRER LES ETATS MEMBRES SE REUNIRENT MA SILOUETTE AU DESSUS DE LA MAPEMONDE QUE TOUT LE MONDE VIT SAUF VIDALI QUI ETAIT A L HOPITAL PSYCHIATRIQUE c'était vraiment insupportable...
Jean-Marie Vidal
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