C’est la plus belle du quartier. Un peu dingue mais tellement fringante. Et puis son odeur de chienne mouillée me fait frétiller autour d’elle comme si c’était la seule. La seule… Rien de telle qu’une belle avec un collier bien noir et une façon de se dandiner même si c’est vrai elle veut me mordre quand j’approche. Mais je veux l’avoir sous moi et lui mordre les oreilles – Ce sera me venger de tous ces tourments qu’elle me fait sentir. A propos de sentir : elle se promène avec une odeur de nuit et quand la pluie la fouette elle fait la rockeuse, son joli collier de cuir noir au cou comme une chienne qu’elle est. On s’étonnera que je sois prés à me battre pour elle – à hurler.
Hier elle se secoue les reins devant moi, quoi, à vingt centimètres. Je vous mets au défi de résister devant un pareil supplice et l’on reconnaîtra les circonstances atténuantes pour votre plus fidèle ami d’avoir bondi sur son dos en râlant des mots orduriers que seule mon espèce connaît. Je croyais attendrir son cœur à prendre et que ma mâle attitude, alliée d’une dose de courage certaine pour mon acte somme toute naturel, avait eu l’avantage de mettre à découvert et pouvait faire pencher la balance de ses sentiments vers des prémisses que je pressais de lui faire entendre. Ma coquine au lieu de cela d’une force peu commune s’abaissa d’un coup sur ses jambes et se tordit me faisant d’un coup face comme si je lui avais volée le droit de me refuser l’aumône d’un oui.
Je me trouvai projeté à trois mètres de là l’entrecuisse brûlante et le dos frotté par le bitume. Avant que j’ai pu reprendre mes esprits du même air canaille qui lui collait aux poils depuis que je la connaissais elle avait retrouvé son équilibre et me mettais au fait. Elle avait décidé de se rapprocher d’un mâle du quartier plus musclé que moi – Il est vrai.
Je rongeais les jours, passant une série d’hypothèses à me contrarier le moral et passai par toutes les couleurs de la jalousie d’autant que le nouveau couple avait pour habitude de se reproduire à quelque mètre de moi – et je n’avais pas la possibilité de même oublier son parfum de chienne qui entêtait d’autant plus qu’elle désirait de plus en plus se rapprocher de ce gros musculeux qui ne semblait pas – à bien y regarder – amoureux d’elle.
J’échafaudais les plans les plus fous, multipliais les combinaisons. Je finis par tomber malade.
Un jour que je la regardais je la vis plus grosse de taille et moins encline Ă se faire monter que quelque semaines auparavant.
Je remerciais les dieux d’avoir cessé le supplice. Lorsque je décidais de changer de quartier.
La coquine ne l’entendait pas de cette façon. Elle me suivit. Mais ses charmes aux lourds flancs gélifiés n’avaient plus sur moi les même attraits et la puissance de ma dépression m’avait enlevé mes derniers sursauts de virilité.
Quel ne fut pas mon étonnement lorsque je dus élever 10 chiots tous plus adorables les uns que les autres. Je devins père par obligation et me dus de rameuter la petite bande pour les heures de partage des os de poubelles que je ramenais.
Ces fouilles me donnaient une odeur nauséabonde vaseuse et rance.
La belle elle sentais la chienne aux allures retrouvées.
Je tentais en juste retours de tant d’abnégation – Une approche ultime. Elle me chassa.
Jean-Marie Vidal
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chienne capricieuse
29 aoűt 2008 - 10:30
Dans la neige noire .
28 aoűt 2008 - 06:17
...Mais voilĂ , je suis -l'âme et le coeur transportĂ©s par l'ivresse- je suis repris par les choses de l'Amour. Je file, aussi, dans ses bras. Comme le temps du rĂŞve est dans la droite ligne de ceux qui prennent ( ...) de l’encre (sic), comme tous sont de ce Coin de pardon lĂ , que ma femme a disparu, que les robes noires ont disparu, les robes noires ont disparu, dans les rues noires, dans la Nature noire, dans la neige noire, c’Ă©tait tellement important, je ne pense pas la revoir, et je l’ai vue sous les traits de Maria, d’Isabella, d’AĂŻcha, d’Arianna, aux sourcils noirs, aux yeux noirs, au chapeau noir, Ă de ces mĂ©caniques noires qui nous perdent de nouveau pour le RĂŞve. MĂŞme si ce n’est sĂ»rement pas du RĂŞve qu’il nous faut, mais des Saintes Bien-heureuses, des sites MisĂ©ricordieux, il ne m’est pas Ă©tonnant de dĂ©clarer Ă RoBien des Bois (qui partit la dernière fois que nous nous Ă©tions vus, me lançant : « -Et moi, je n’ai pas de clones !! Dis toi bien que je n'ai pas de clones, moi :: ») Je lui ai donc dit la dernière fois : « - Je possède 160000000 ÂŁ, j’ai un invetsissement galactique ! J’investis chez les extratrerrestres !!!",, et tout ce que durant quinze ans, j’ai mĂ©langĂ© autour d’une table oĂą tu fus conviĂ©e de mettre en concordance l’amour en Ă©quation et les photos de Padre Pio, les illustrĂ©s interdits, ma myrrhe et la santĂ© mystique optimiste, la santĂ© joyeuse, le tout rangĂ© dans l’histoire de ma rue.
Toi, Tu t’en retournes Ă ma poĂ«sie urbaine, tressant des appels d’air sous lesquel un autre aurait cĂ©dĂ©, le dos sciĂ© par la Vie retranscrivant point par point le cacatoes de l'Ă©crit ; me rendant, mais moins, malade ; mais lĂ , hĂ©las, Maria et Claudine me disent que la haine est première, alors qu’elle soit, passe encore, au fond de la fatigue, au fond de la pitiĂ©, au fond de l’amour, et, la moitiĂ© de mon nez dans son dĂ©colletĂ©, me font passer en première très doucement. Je cours contre ma solitude, j’ai quittĂ© Maria, j’ai Ă©tranglĂ© Beatrice plusieurs fois, je me dis :
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"Tournes, Tournes dans les mots des dĂ©sirs coupables, tisses les de nobles sentiments, choisis de bon guittariste, cherches et tu trouveras, sois comme un coupable, un bleu, un coup, qui ne s’attend Ă rien, sois comme un bandit et un saint, qui te pardonne et te menace et te menace et te pardonne, Ă©tiologie des pigeons qui, hot, ont tant dansĂ© Ă faire sur toutes les statues, sois comme ce guĂ©rilleros pacifique -Mon Ex, Père, aime, minante- expèrimente ton cœur, -Mes Ex, amante et amants aimant immensement, ProfonD'Amant - je rĂ©flĂ©chis - Sois comme le volcan des veines, l’orage des nerfs, la tendre bise du matin de TaMort, et pour d’autres fleurs d’autres astres, d'autres frĂ©quences, moi, ouragan de Chartres, chien de traineau, j’ai refait le RĂŞve pour deux fĂ©es, cadeau dada , cadeau dodo, de quelques succubes dans un RĂŞve Ă©rotique, lances tes "ces sortilèges du grand soleil d’une bouche malade de miel" et ne convie plus la Mort Ă faire son stabat Mater dolorosa, goĂ»te le manque, la faille, N'oublie pas que (excuses) je ne suis qu'un AnniMâle, c'est chouette, trĂ©s chouette http://lanuitcannibale.over-blog.com, et le.silencieux@live.fr, et cet ancien disparu http//:lesflicsmetaphysiques.blogspot.com, (OĂą es-tu ? Que deviens tu ? que devient "TU" ? sans la flemme des Flancs Beaux, avant de te risquer de nouveau dans la bouteille de telle ou tel, que fais-tu la nuit, que fais-tu de la nuit ?) re-comment c'est, recommençant recommencer, qui ne manquera pas de te FaBriquĂ©, sentant le Fa aprĂ©s la douche, de l’espoir d'une Sur-Vie, de la tristesse aussi d'aussi haut Si ( en PiAnniesSiMots) - de si vives, de si fausses Commune HĂ´tĂ©e.
Lacunes ! fusĂ©es ! : TROMPETTES !!! Gloire soit au TrĂ©s oH du Fisl Amour (T.S. TSSS TSSS TSSS TSSS) ET au Feu (ffffttttt fffffftttt ffffffttttt) du Sain d’Esprit ! Gloire soit aux femmes ! aux Reins gares !Triomphes de mes Ivresses ! Tout est dans cette tristesse que tu chĂ©ries plus que la Vie (EN VOUDRAIT-ELLE A MA PEAU (HummmmmmmmmmmmmAnnitĂ©e ?) - Faut-il que tu ne demandes pas trop Ă cette nouvelle poupĂ©e, elle te renverserait sur le siège arrière bien mal, de la mĂŞme manière mais avec un revolver chargĂ© de Cul-Rare. Oui, elle te renverserait tout court, une balle dans la nuque, sans t'allerter, le cĂ´tĂ© gauche du cerveau paralysĂ©, que le froid soir du Mot Dit Modique, En Porc Tant emportĂ©, emportant avec lui dans la bleuitĂ© qui, tout de suite, t’envahit, vers cette tristesse qui me fait jouer du piano sur mon clavier Ă©trange, tu me crois plus capable qu’un autre de terrasser et le poĂ«te et l’amant. En attendant qu’elle me prenne avec douceur, j’Ă©coute un air vĂ©ritable de vrai piano, comme, en certains, j’ai Ă©crit mes livres, rĂŞvant d’un jeu toujours plus subtil, pour un lecteur encore plus ivre, mais digne de ce nom, triste batard sans fin qui attend la chute, (chut :.................) qu’ils fussent conviĂ©s devant un Ă©vier sale, ensembles au milieu des rats et des taches de cafĂ©, dialoguant sur une table, se perdant, se retrouvant, parlant du DĂ©sir et de la Soif avec mes larmes qui ne coulent plus depuis que j’ai cru la tenir. Femme du feu que j’Ă©tais de la mordre, Monk me le dit assez bien, Faithfull me le disait encore, Maria me le chantait. Il y eĂ»t les envahissements silencieux, puis une voix, celle très belle d’Arianna (pour elle, Deux Voeux Nus : devenir fous, et libres) et enfant, moi OS, travaillant, en secret, ( mes clones saignent-ils durant ce temps ?) que, Roi des WOR(l)DS WORD(l)DS WORD(l)S, j’essaie d’Ă©claircir.
Oh je me dis bien que j’ai toujours aimĂ© la vie, que si je frappais sur ce clavier, en rejoignant l’autre dans quelque chose de mien, me retrouvant en l’autre, dans quelque chose qui fusse tout ce qu’on voudra, encore Ă l’aventure, (IL NE FAUTE PAS ; TAPE TAPE TAPE ET TAPE TAPE TAPE ), une Rose Rouge me revient, un Chapeau s’envole, le glas sonne, c'est fini, si ce n’Ă©tait d’ajouter encore une prĂ©cision qui, malgrĂ© ma solitude sĂ©minale, cette chute je ne la veux pas, Merde, Je ne veux pas que les choses s’arrĂŞtent - Et surtout pas au mot s’arrĂŞter ! Alors Ă bord mon roman fou, dĂ©capotable folle, comme une burne, avec une franche rigolade et panachĂ©s, comme arrivĂ© en vedette sur la Seine, je re-fuse direct entre ses jambes, ce qui chez le poĂ«te est une Metaphore de l’Amour, je dĂ©chire ma feuille de papier, sans explication, veux cette veuve et vœux ce 20e euh, je veux que cette musique ("hIt Alien") italienne t’entĂŞte, composĂ©e d’Ă©tranges emotions passagères Ă sa solde, L’Italie, du XIVe Xve machiavĂ©lique, et cet orgue de Barbarie, ceRUT français, moitiĂ© mercenaire moitiĂ© nationaliste, ce qui redonne le miel des abus, celui des abeilles muettes,et moi muĂ©, meilleur.
J’ai dĂ©cidĂ© de ma mission : j’esPIonne le RĂ©el. Nous continuons, fĂ»t-ce dans ce silence que nous habitons, de tes yeux, tout Ă coup, tristes, ThĂ©rĂ©se aux ciels changeant de ce bel hivers, cet automne comme une joyeuse règle, cette courageuse soirĂ©e d’Ă©tĂ©. Qui sera prĂ©sident ?
Après tout une ligne mĂ©lodique, un autre dit mĂ©lodrame, et c’en ai fait, le Monde produit son Putonimium enrichi, la France une comĂ©die tragique, le paradis ma divine tragĂ©die qui s’Ă©tend, s’Ă©tirant les larmes sur mon imprimante, couleurs de la colère sur le genou des Dieux, de la race des Seigneurs valant mieux qu’histrion qui vocifère et, Et et, pour ce 2Em Hugo se LentSans dans le ridicule, tandis que, devenu DĂ©mon de Merde, puis passant DĂ©mon de Sang, d’avoir mal aimĂ©, je pesais et soupesais primitivement tous les opĂ©ra de bibiothèques pleins de poussières cosmiques, (1990-9-1998-2000), aujourd’hui homme MĂ©ta-angĂ©lique, on me demande de rester encore, cosmonaute sanctifiĂ©.
Ce Putonium, LaMort , s’Ă©loignant Ă ces mots, one’some waves, sons some ones’s been Nonne’s b(ees)’is be bis it’s (SONNE HIT: "ELISA BĂŞte) It’s not my ProBlème, Elles cassĂ©es, IT'S NOT MY PROBLEM THERE'S NO TROUBLE THERE'S NO TROUBLE (CHIEN DE BERGER, BEAU CE ROND BEAUCERON) bĂŞte : best beast on the beat eeeeeeeeeeeeeeeeeyyyyyyyyyyyyyyy okey gay ooooooooooooohhhhhhhhhhh je coudrai tant que tu t’en souviennes comme ce que le RĂ©el RĂ©sonne, pense, et puis, encore, encore tonnĂ© : Qu’on ait pu m’aimer !!...Pour sĂ©duire, Essayer : Dit :Fer Amant, Assez YYYYYYEEEEEEEHHH wwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwoooooooooooouuuuuuuuuuuuuuuuuH!!!)
Un autre, plus semblable s’il avait voulu se maintenir dans ses sentiments, alcoolique artificiel, ne veut plus se rĂ©pĂ©ter, il lui faut avaler la fumĂ©e de blonde, montĂ©e, du coup un briquet tourne dans la basgnole tourne tourne petit furet, tourne, montĂ©, me piquer la pĂ©ronnelle, tout Ă coup Ă©prise, se tord vers lui, se penche pour s’Ă©pancher, me quitte et me tue, me siffle un air coquin, le "Any EnTonne Ni AntiNo Ni Antitilles !! NO NO NO NO : PEAUX !!! BuShe qui la prend, triomphante, petite frog roide, froide, serrĂ©e, c’est un rĂ©, c'est un mi, c'est un si, do rĂ©, MIDI, si ces raies de lumières rances, mais, elle, marrante, genre qu’on y fait pas gaffe, qui s’Ă©parpille pas qui balance, qui balance pas son son, qui balance son son, comme un vieux jazz, son jeu de Je-Vas-Au-vase 20em, qui, blanc faux, vaut le son d'un long ruban de DIE-NA-Mythe(s)littĂ©raire(s) vivant(e(s)), de vieux Dieu(x), apocalyptique(s) (1993-1992-2002-1999-98-2004-1987) ( FA : mines ), dĂ©couvrant la mĂŞche sans la mettre Ă feu, oh ! Rages, Joutes : Ai-je ?) tandis qu’une bouffĂ©e glaciale de jalousie m’explique : - Il aurait mieux fallu que je me soucie de la VĂ©ritĂ©, il n’y avait qu’Ă regarder sans son corsage dĂ©graphĂ©. Dieu sait le nombre de cheveux que j’ai sur la tĂŞte.
Y a-t-il une manière de faire dans ce rĂ©seau de tĂ©lĂ©pathes, les amours Ă©ternelles, il faut faire plusieurs fois la route de la terre Ă la lune, plusieurs fois, concourir aux rapprochements des Mondes. J’ai passĂ© ma vie Ă resserrer les coĂŻncidences dans l’Ă©tranglement de mon entonnoir que d’autres voudraient vissĂ© sur ma tĂŞte. Etre fou m’a bien servi. Mais cessons cette mythographie pour des formes plus rĂ©elles - Ici, les spectres de certains, les Cames-A-Rades prisonnières, bien intentionnĂ©s au moins, mes contemporains, (les Morts ? Pour vous les Morts entreront dans leurs Enfers, je me Tiens ainsi qu’un insoumis au seuil de la Mort, bousculant cent mille milliard d'Ă©toiles - me glissent (Encore ????) un discours de l’Esprit.Ă ) Reste ce vain 20e – et ces cris ainsi qu’un CHIFFRE- et voilĂ tous ensembles danses dans un miroir, Mâle-HAAAAA-Biles, SI IN -NOOOOOOOOOHHH-DIT-BLEU, si inaudibles, tant, ah ah ahan han han hahahan, inaudibles, par-dessus le Chœur ainsi si pauvre, remarquez, j’ai les moyens, je ne sais si ce qui m’Ă©chappe, tel gaz stimulĂ© par des possibilitĂ©s que j’ai voulues, moi, immam cachĂ©, Messie d’Operette, VidalaĂŻ LAMA, anticipĂ©, comanditĂ©, par des cerveaux gĂ©ants, se fourre des BLANK BLANK BLACK AND BANCK BANK BANK BAND ............. Aux Prothèses ! Tatouages surprise sur lequel on peut lire Maria. Desquels j’articulais mes images, je ne sais si « RĂ©el » est pour toi une abstraction, en tout cas, j’ai toujours, parcourant les immenses distances, dont certains rient, voulu me les rapprocher, et tant, j’ai du affabuler,,, en tout cas, j’ai voulu dire que cheval, cendrier, calendrier, opposĂ©s en cela aux idĂ©es des lieds selon lesquels on prouve que les effets sont tirĂ©s des causes qui les produisent, opposĂ©s au Monde de l’abstraction donc, mais de chair Par-RĂ´le drĂ´le comme la croĂ»te d’un bateau peint en vert, mauve, et rouge, d’un dĂ©ment de mes connaissances, un Dit-Allo-GUEUX, ce dialogue droit dans la tourmente, la douleur de mon estomac contractant une inquiĂ©tude, (Et tous mes romans sont psychologiques).
Si j’ai besoin de revenir Ă l’entrecuisse tĂ©nĂ©breuse de ma poupĂ©e dans la voiture, silhouette frĂ©missant vivante, surtout que ce ne se voit pas. Sauf que RoBien des Bois, sauvĂ©, mort de rire, tĂŞtant de la transaction, m’a dit juste « NON !_», mĂ©tonymie de mes espoirs, que mes moteurs reviennent. J’ai surtout renversĂ© la vapeur.J'ai dit "OUI ! .".
Je m’explique plus ou moins bien ce mouvement qui me fait concevoir aux choses inanimĂ©s un mouvement vers MaRia radiĂ©e radieuse ; je ne veux pas monter encore plus haut, baissant mĂŞme le volume Ă cause de ma voisine, avec une tĂ©mĂ©ritĂ© qui aurait du me convaincre de ne plus Ă©crire, Jean Kribler tremble, tandis que des rats d’opĂ©ra sont transformĂ©s en robots Ă l’aide de petites dĂ©charges Ă©lectriques explosives, d’un petit sac Ă dos bourrĂ© d’explosifs, la tortue ne va pas bien haut avec le lion, je le faisais exprĂ©s au contraire avec de l’EauD’AS, encore de l’OhD’Ass, toujours de l’EauD’Ace ; je n’ai que le ciel bleu avec soleil et lune, ciel d’un hivers magnifique, pourvu que Jean le Pou arrivât pour me convaincre, qu’il arrivât Ă me Con-Vain-Creux, me convaincre, moi, l'ânĂ© splendide, que la menace passe comme passent soleils et lunes qui passent comme passent les saisons depuis les Siècles des Siècles dans l’Univers SSSSSSSSSSIIIIIIIIIIII UUUUUH-Nie-Forme - poupĂ©e verte de rĂ©seau VER, Alors OOOHHHHHOOOOkey,ouvre, chez moi, le grand cahier des Etres vivants.
Aujourd’hui le Monde des barbares, pareil Ă celui d’hier, tout aussi fou, oĂą je n’ai pensĂ© que le hasard, et l’immense bordel que j’allais foutre dans la compagnie des Bises/ARTS. Les intempĂ©ries se concentrent, se dĂ©signent plus que se dĂ©finissent, Sœurs de l’Avare.
Je file aussi vers elle dans le sourire que me tend ma Sainte douloureuse, enfant vive, menaçante, mĂ©chante, qui peut, petit bolide, un petit peu, aller très, très, vite, enfant insouciante aussi, sans le sou et s’en foutant, et prĂ©destinĂ©e par le Destin, que je pose, lĂ , parallèle Ă ma copain. Elle se glisse comme glisse ma voiture nuitĂ©e dans le col de mon poteau Ă©lectrique, elle ne m’a jamais repprochĂ© mon manque d’imagination, mais mes mĂ©mĂ© silencieuse, mes si lents cieux, car j’Ă©tais dĂ©ficient mentale, handicapĂ© dĂ©jĂ , de lĂ , pelle-mèle, le rock Ă l’opĂ©ra si triste de n’avoir pas d’autres rĂ©ponses que celle de mon MUZIK-HALL, et alors de penser (mon cœur me recogne, ce doit ĂŞtre du au trĂ©pidement de pieds). J’ai hĂ©rĂ©ditĂ© puis inversĂ© l’ordre des choses, je n’ai pas inversĂ© l’ordre de la pensĂ©e chez moi est une chose terrrrrrible, (Rit, Gide !), de ces choses que vous vous devez toutes de PrA(ss)Tiquer, et ces choses me pensent, cadeaux, auge de froments et de potages, et franchises de mots francs dans l’ensemble de mon Oeuvre,,, tandis que la vie qu’on balayaaaaaa d’un seul coup d’œil !.... Je n’en aperçois le nœud, la concrĂ©tion qu’Ă la poĂ«sie intermĂ©diaire que je ronronne dans ton oreille Ă l’Ă©coute d’ombres passagères, de murmures des sphères, mais pour quoi faire ?) et c’est ainsi cette sorte de ruĂ©e chantĂ©e : « Mon rognon, que la vie est belle ! Que la vie est belle, mon tendre petit rognon !...».
La vie est belle. Je travail en alĂ©atoire sur l’alĂ©atoire. J’en suis Ă ne me satisfaire que d’elle, telle qu’elle est,,, Amis, "K’Est-Ce Ă dire quand affirme la Nez-CessitĂ©...etc", en tout cas Ă partir de maintenant chez moi, d’une Ă©criture psychologique, astronomique Ă la Richard Lenoir. Ils interprètent les signes, c’est leur erreur, et j’ai surtout peur qu’ils ne deviennent aussi fous qu’une pythie aux scrofules sulfurĂ©es.
Ce que je trouve agrĂ©able, moi, c’est de sentir ce cendrier, ma TĂŞte, ce Miroir s’emplir des mĂ©gots de ma pensĂ©e, le temps qui passe, un peu morbide. J’(2002-2004)ai entendu les calendriers de ta mĂ©moire, les Cratères noirs des catholiques Ă©vacuĂ©s, s’opposer Ă la guerre avec de grands larmoiements misĂ©ricordieux, que l’homme a voulu faire, Combien sont-ils ? Moi, de la force trop grande d’une PensĂ©e magique, français, croyant en la LibertĂ©, la Justice, l’Amour, je veux par ta puretĂ©, ce petit cadeau Ă©riger, tant qu’elle peut ton Ă©nergie Ă©vacuĂ©e face aux fracas des armes,,, j’oppose encore Ă ce théâtre de bruits et de fureurs, une cheville nue dans un des corps de théâtre calĂ© dans les pages d’un livre. Cela me prend aujourd’hui du rĂ©seau VER, enfin trouvĂ©, mais avec beaucoup de professionnalisme ; ĂŞtre pris de peur comme ma pomme fiancĂ© Ă la vie jusqu’Ă ce que mort s’en suive. Chacun sa merde. Cette cheville, prend tout l’aspect d’un morceau de viande. Un exemple que j’aime citer, c’est un Ordinateur du Roi traduisant « le verbe s’est fait chair » par « la parole s’est faite viande » TZEU ZE TZUN TSE TSE MERCI
MERCI MERCI
MERCI .. J’apprends encore, ,,, ,,, ,,, tout est si nouveau .. Et d’Ă©puiser, cernĂ© car sage, car nous disons la mĂŞme choses depuis des siècles, car de multiples Signes, car les soupirs, les notes, les possibilitĂ©s, il me semble, je fatigue de trouver un jour Ă ces corps quelque chose vivant comme deux vivants, tel l’ordinateur, elle aurait du mal, tournant en rond ses algorythmes, Ă atteindre le sens du vivant, la Revolution se fait Ă deux, mais baiser est un tract, et me collant Ă ton tabernacle, frisant le scandale, les amours sont plus grandes que les galaxies.
Las de ces prĂ©tĂ©ritions. Mon carnaval te poste Ă une fatigue et Ă une santĂ©. Que faut-il que je fasse, que j’y aille comme je suis programmĂ© ? Je dĂ©croche mon tĂ©lĂ©phone. Elle aussi dĂ©croche tout de suite :
« - J’ai... J’ai peur de la Mort .... (elle glousse)
- T’en fait pas... L’Eglise... L’alcool...(dubitatif) Il trouvera ,,,,
-Ces mots nus mentent étranges (elle glousse)... prends du repos... Bouffe... (colérique) Je sais pas...
- la Morale, c’est un problème en ce moment...(sentencieux) J’ai pondu ma Mort, ma vie, la SousFrance et l’EfFleurs. (tout Ă coup badin) Je crois en Dieu le Père Tout-Puissant...etc.
-(nerveuse sans raison) C’est une obsession
-maintenant une peur a laquelle je pense, la vie qui m’Ă©chappe.
- Je dois prendre des risques toujours frais.... ou il prend la porte. C’est plus fort que moi. Arriver Ă ne plus pouvoir . A la fin... Ă‚ force de libertĂ©s… Ne plus en avoir...de LibertĂ©
-(triomphant) Deux libertés !
-Avoir posé tant de verrous et que tu ne sois que serrurier.
-Eloigne de moi la coupe de la souffrance....
-Repose-toi. C’est ça, repose toi. »
LentNuits, l’ennui c’est ce qu’il y a de pire. Loin d’ĂŞtre un luxe, il y faut un glaive (980000000000000) repoussoir de fainĂ©antise ; Pourquoi faut-il que je m’expose Ă tant d’excès... SaoulĂ©e de chimie, s’ecriant sous neuroleptiques, s’Ă©crivant telle une esclave nue, « veut-on que je m’englue de rĂ©sines handicapantes ». C’est que c’est toute la vie le pari de Pascal, les Nerfs. Alors je fonce Ă deux cents Ă l’heure, et je me rĂ©fugie en Dieu, le vieux Pas-Rat/Tonne : AIR ! mon paratonNerfs, qu’il me comprenne et dise : « Tu as le droit, le droit de penser, de t’exprimer, je t’aime, n’aie pour devoir qu’amour espèrance et foi, la Puissance 4em eeeeeeeeeeeeeeyyyyyyyyyyyyyyyEy du Sexe, Ivresse, et Douleurs ». Ils m’ont quand mĂŞme pro- vie - danses-si-elle-MENT : renvoyĂ© .
Attendant, ma ballerine a des lumières Ă elle. ON l’a fait, ON l’a refait, ON accomplissement du spectacle, ON ON ON HON HON, Ă©vitant jusqu’au bout la rambarde, qui rime avec vieux barde, vieil Bi-Hardeux, vivant enfin...
Oui, et j’ai le shoot exemplaire ! De ranimĂ© toutes ces colombes, la vie c’est Tu. Hier, rĂ©ceptive Ă l’amour, Eve, demain, lèvres rĂ©ceptacles d’Anamour - De Souffrance aussi c'est-Ă -dire de ces combles d’Ennui et de Misère, les yeux sans les Ă©toiles, quand les fleuves Ă sec sont durs et tranchant comme des cailloux..
Je me prĂ©sente : Institut de recherche DuRĂ©Elles. CommuniquĂ© : ce qui tombe d’obscur c’est qu’elles sont si difficiles ces lumières sur deux histoires Ă©crites en arc en ciel, un oubli possible, j’arrĂŞte ce RĂ©dyyyyyyyyyyyyyyy-Ma((i)d(e)n), au bord de la route, pour pisser et reprendre des forces. La tĂŞte, la terre, MariAnna, BoudhAmour que j’ai quittĂ©e au Ciel, que Sa VolontĂ© soit FĂŞte Du Temps du verbe, FĂŞte de MARIANNA, FĂŞte du Verbe, du FILS et du Sain d’Esprit, FĂŞte de la Vie... Ita pissa est . ; ………….. .
J’aurai dans ces paroles que je n’Ă©coute pas, oĂą je m’arrĂŞte pour penser, trouvĂ© ma part Ă©rotique. La peur de couper avant la terreur d’aller au trou, se puĂ®t-il qu’il en soit autrement, qu’ayant tout refusĂ© de la peur rien n’arrive de la terreur, j’ai eu ma part de gâteau. Ainsi, par exemple, qu’il me soit laissĂ© un ArtBre paradisiaque dĂ©tachĂ© de tout que je ne puisse renier, sans Ton Mou, matonnĂ©, comme il fĂ»t pour Henri Michaux arrivĂ© au seuil de sa vie – Une fois. Je dĂ©raille.
Or donc, ces cents des croisades pour lesquels Emmanuel m’a dit que certains risquent leur peau, je voudrai une fille dans l’air, pour, ensuite, que s’arrĂŞte avec moi le jugement d’autrui, les commĂ©rages sur les Putains bien-aimĂ©es, l’Ignorance et la perte de Conscience morale, la part de Ces 1996 1994 19992 1987, cauchemar. Misère, aussi, donc. Je m’arrĂŞte au bord du fossĂ©, attendant la Mort sous l’orage, l’Esprit tant dĂ©criĂ© si on m’a mal lu. Je sais. Il Manque une Ă©tincelle. KsingKsinKsing Ksing Ksing Ksing entre les orages . Laisse. Sans L. Les Rires s’Ă©chappent, depuis cinq mois, tous, ils rient. Moi au bord de ma bagnole, j’attends la Mort, rĂ©pĂ©tant mes magies auxquels je ne crois plus. Je suis Le mĂŞme, mon semblable, la rĂ©plique, creusĂ©e jusqu'Ă l’OS.
N’Essayez de le faire, N’essayez pas si vous n’avez pas l’amour. Faites-le ! Mon Dieu, encore Toi ????????,,, Nous, nus.
RE : « GARE ! DEUX RONDS se regarderont ! ».
Main, sire, sur ma pine de lapin, la mainsur mon pain, ma main dans ta main : nos coeurs sont des voleurs…. AU VOLEUR AU VOLEUR, ON A VOLĂ© MON CŒUR !!!!!!!!!! Nous sommes les Messie de Ces Ames Sœurs tapant, tapant, tapant (16000000000000000 $) Ă la porte de ton meurtre des Saigeurs de GUERRES,
Dieu, si tu
n’es pas plus
fort, que ne
m’as-tu
donné tant de
Science et si peu de
SAGESSE.
Moi, si pauvre aux sets si banaux, aveugle, mon cœur roule pour toi comme un naviguateur, roule comme un tambour - Tu peux prendre une roulĂ©e .. Je remonte dans la bagnole. Elle est toujours penchĂ© sur mon poteau, aux derniers outrages, « Tu me saccages ! Tu me saccages !!! ». Nous comme dans les bandes.
Et, ce matin, le Monde nous ira ; Il ne
tenait que par la prière se fondre en
l’Un... Tandis que je n’ai, peut-ĂŞtre, cherchĂ© qu’une chose : la multitude. Sex DruG & rock’n roll, vivre vite, et mais, si possible, mourir vieux. Pourriez-vous simplement faire des cris encore plus fort, des cris encore plus fort, chantent Ă l’avant les tuners dĂ©foncĂ©es d’une voiture devenue kitch Ă force d’ĂŞtre refilĂ©e, tout cabossĂ©e… (pardon ???) Mais recréée..
Pendant le temps que la vie dure, Emmanuel et Maria se sont appropriés toute la place, ils ont mis le feu, BANG BANG BANG GARANDANBANK, ils ont vidés la bouteille de whisky, toujours à la recherche de ce que pouvait bien être la Liberté de Vies. aaHHHHHHHHHHHHHHHHHHAHHHAAAAAA(à )LLLLLLLLLLLLLLLLEEEEEELLLLLLOOOUUUUIIIIIIIIIIII
IIIIAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAIIIIIIIIIIIIAAAAAAAAAAAAAAIIIIIIIIIIIIAAAAAAAAAAAA
A
AAIIIIIIIIIIIIIIIAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAIµAAAAAAAAAAAAIIIIIIIIIIIIIIIAIIIIIIIIIII
I
IIIIAAAAAAAAAAAAAAIIIIIIIIIIIIIAIIIIIIIIIIIIIIIIIAAAAAIIIIIIIIIIIIIIIAAAAAAAAIII
I
IIIIIIIIIIIIIIAIIIIIIIIIIIIIIIIIIIAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
ALLLEELUUUOOOOOOOOOOOOOOOOOOUOOOIIIIIIAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
Alors passant du cĂ´tĂ© d’un bar oĂą brĂ»ler quelques Ă©conomies, j’ai pu constater qu’il s’y passait de nombreuses magies dans la forĂŞt des signes dont parle AndrĂ© Breton. Il suffit que l’on ne soit pas sujet Ă la peur, mal prĂ©parĂ©, dit-il. Or , j’ai dĂ©jĂ parlĂ© de ce que la peur en s’enfonçant en moi avait Ă©tĂ© en de-ça de la terreur et que celle-ci, Dieu me prĂ©serve, fĂ»t-ce en de-ça de quelque supplice encore plus atroce et TTTTSINTTTTSIIIING TTTTTTSSSSSSING TSETSE je ne me lassais pas de demeurer avec mon livre, tandis que mon pote roucoulait des fadaises Ă sa belle, qui Ă©tait, deux heures avant, la Mi-Haine. J’y trouvais comme le Manuel de mes Vies Magiques dont j’avais pensĂ© quelques jours auparavant qu’elle m’avait fait dĂ©ment aux yeux des clients de ce jour buvant leur bière et lançant Ă la cantonade les interjections qui rĂ©pondaient Ă mes question avec l’impossible ironie de la Providence, je me demandai « Comment est-ce disposĂ©, ces explosifs, EVE VIE D’AMANT -les flashs des appareils photo disSiMĂ»lĂ©. Aussi tendu, et quelque peu abattu, je m’accrochai Ă mon livre, l’Amour fou, AAAAAAAAAAALMELLLLOOOOOOOOOOOUUUUUIAAAAAAAAAAAAAAAA au titre tellement batailleur, sous mes cheveux crĂ©pus, mais rasĂ©.Je ne me rĂ©solvais pas Ă faire du feu sous mon cigare, VRAIE bĂ©nĂ©diction de mon cœur sec Dans le PUTONIUM : IL Y A UNE PIèCE7 D’AMOUR QUI A DISPARU ET HEUREUSEMENTcar ils s’y accumulent sans fin dans une poche qui est L’Etre.
Ainsi J’aurai aimĂ© aimer aimer tandis que
l’Univers Ă©trangement se rĂ©trĂ©cissait Ă
seulement deux
points, et moi et ma perception mienne.
J’aurai ainsi aimĂ© quoiqu’il en fĂ»t de cette lutine au minois qui saupoudrait maintenant de bĂ©cots le cou de mon acolyte Ă©namourĂ©. J’aurai aimĂ© et avant que de disparaĂ®tre tout Ă fait, au pire, dans un naufrage qui ne me laisse plus le Souffle de poursuivre, je me bats pour la planète, en prenant un stylo pour sĂ©curitĂ©, de l’enCreux pour Ă©pĂ©e. Enfin, ce bar me rendait phosphorescent !! S’y enflammaient les derviches tourneurs de mon enfance dans les Ă©clats magnĂ©tiques de sous mon crâne, crĂ©pitaient plus rapides que ce que je n’aurai pu dĂ©cider ce qui eut pu faire preuve.
[color="#00b050"]J’ai sans doute Ă©tĂ© tĂ©mĂ©raire dans mon entreprise de rĂ©sumer pour moi seul les longues minutes du merveilleux de la Vie. Et la musique tout Ă coup s’interrompt. Les nouvelles sont mauvaises. Pour moi du moins qui n’aime pas ce qu’on nomme du doux euphĂ©misme de conflit. 150 000 hommes se massent au frontière de ma frontière pacifique dans le golf. Putain, que l’on vous fasse un silence de toute ma folie, hommes, militaires,,, Car j’ai pensĂ© jusque dans la souffrance, Ă mettre le feu Ă mes draps, ce Monde incomprĂ©hensible et que ma rĂ©ponse est la mĂŞme qu’hier. Notre pauvre Christ a donnĂ© tout son sang pour que vous arrĂŞtiez, il vous faut des missiles pour l’avènement d’un jour de Paix sur le globe. J’Ă©crivais : je suis mort trop tĂ´t, c’est aujourd’hui le quatrième jour d’une paix gĂ©nĂ©ralisĂ©e... Ah si l’on avait pu rendre fou ces grands dĂ©lirants. Si l’on avait pu entamer le siècle par des chants de poĂ«tes... Et je suis bien placĂ© de vous le redire maintenant que j’ai revu, si peu de temps, le Roi des Rois,,, Il s’en est fallu d’une fraction de secondes que j’aie choisi pire que le pire des dictateurs et je me suis rendu coupable comme vous, militaires, en pensĂ©e, de la souffrance d’un cœur sec, mais que revenant Ă mes hurlements, brisant l’angoisse, je me souvienne de ces annĂ©es oĂą, dans la douleur, j’ai voulu, VidalaĂŻlama, d’une volontaire pensĂ©e vous crier aux oreilles, murs de JĂ©rico, qu’en toute conscience, il fallait la Paix... Oui, je vous l’ai chantĂ©, je vous l’ai Ă©crit, je vous en ai parlĂ©, j’ai sondĂ©, interrogĂ©, interpellĂ©, nous voulons, serviteurs d’une engeance maligne, la vie est bien trop courte pour pleurer,,, Mon silence sur vous, militaires, dans mes atroces douleurs et ces lignes que le sang n’effacera pas. La lurette a entamĂ© une fellation Ă quatre pattes sous la table. Le margoulin lui boit sa bière avec des yeux ronds. Plus de cynisme, j’en ai trop vu, fixĂ© des vertiges, que durant tout ce temps les moindres pensĂ©es arc-boutĂ©es pour qu’il vous soit donnĂ© une harmonie entre ma cafetière, l’amour, et vous, et qu’ayant chaque jour Ă©tĂ© dĂ©trompĂ© de mon espĂ©rance par vos dits conflits, vos cynismes, vos haines, vos mĂ©pris, votre petitesse, vos hypocrisies, je vous le dit ce soir, j’irai en enfer en vous maudissant, faisant des moulinets avec mon Ă©pĂ©e, Cyrano de divine foire, après avoir Ă©tĂ© ce Quichotte qui vous a fait, ne mentez pas, tellement rire. Oui s’il le faut, avec plus de gueule que de ventre, j’irai aux derniers supplices vous botter le train, m’Ă©tant rendu moi-mĂŞme solidaire, un jour funeste, du sort qui nous Ă©choit dans le pire des cas, mais ayant refusĂ© jusqu’au bout de juger, mais ayant jusqu’au bout rĂ©sistĂ©, et la musique des sphères m’entraĂ®ne et mon clavier tempère.
Toi, Tu t’en retournes Ă ma poĂ«sie urbaine, tressant des appels d’air sous lesquel un autre aurait cĂ©dĂ©, le dos sciĂ© par la Vie retranscrivant point par point le cacatoes de l'Ă©crit ; me rendant, mais moins, malade ; mais lĂ , hĂ©las, Maria et Claudine me disent que la haine est première, alors qu’elle soit, passe encore, au fond de la fatigue, au fond de la pitiĂ©, au fond de l’amour, et, la moitiĂ© de mon nez dans son dĂ©colletĂ©, me font passer en première très doucement. Je cours contre ma solitude, j’ai quittĂ© Maria, j’ai Ă©tranglĂ© Beatrice plusieurs fois, je me dis :
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"Tournes, Tournes dans les mots des dĂ©sirs coupables, tisses les de nobles sentiments, choisis de bon guittariste, cherches et tu trouveras, sois comme un coupable, un bleu, un coup, qui ne s’attend Ă rien, sois comme un bandit et un saint, qui te pardonne et te menace et te menace et te pardonne, Ă©tiologie des pigeons qui, hot, ont tant dansĂ© Ă faire sur toutes les statues, sois comme ce guĂ©rilleros pacifique -Mon Ex, Père, aime, minante- expèrimente ton cœur, -Mes Ex, amante et amants aimant immensement, ProfonD'Amant - je rĂ©flĂ©chis - Sois comme le volcan des veines, l’orage des nerfs, la tendre bise du matin de TaMort, et pour d’autres fleurs d’autres astres, d'autres frĂ©quences, moi, ouragan de Chartres, chien de traineau, j’ai refait le RĂŞve pour deux fĂ©es, cadeau dada , cadeau dodo, de quelques succubes dans un RĂŞve Ă©rotique, lances tes "ces sortilèges du grand soleil d’une bouche malade de miel" et ne convie plus la Mort Ă faire son stabat Mater dolorosa, goĂ»te le manque, la faille, N'oublie pas que (excuses) je ne suis qu'un AnniMâle, c'est chouette, trĂ©s chouette http://lanuitcannibale.over-blog.com, et le.silencieux@live.fr, et cet ancien disparu http//:lesflicsmetaphysiques.blogspot.com, (OĂą es-tu ? Que deviens tu ? que devient "TU" ? sans la flemme des Flancs Beaux, avant de te risquer de nouveau dans la bouteille de telle ou tel, que fais-tu la nuit, que fais-tu de la nuit ?) re-comment c'est, recommençant recommencer, qui ne manquera pas de te FaBriquĂ©, sentant le Fa aprĂ©s la douche, de l’espoir d'une Sur-Vie, de la tristesse aussi d'aussi haut Si ( en PiAnniesSiMots) - de si vives, de si fausses Commune HĂ´tĂ©e.
Lacunes ! fusĂ©es ! : TROMPETTES !!! Gloire soit au TrĂ©s oH du Fisl Amour (T.S. TSSS TSSS TSSS TSSS) ET au Feu (ffffttttt fffffftttt ffffffttttt) du Sain d’Esprit ! Gloire soit aux femmes ! aux Reins gares !Triomphes de mes Ivresses ! Tout est dans cette tristesse que tu chĂ©ries plus que la Vie (EN VOUDRAIT-ELLE A MA PEAU (HummmmmmmmmmmmmAnnitĂ©e ?) - Faut-il que tu ne demandes pas trop Ă cette nouvelle poupĂ©e, elle te renverserait sur le siège arrière bien mal, de la mĂŞme manière mais avec un revolver chargĂ© de Cul-Rare. Oui, elle te renverserait tout court, une balle dans la nuque, sans t'allerter, le cĂ´tĂ© gauche du cerveau paralysĂ©, que le froid soir du Mot Dit Modique, En Porc Tant emportĂ©, emportant avec lui dans la bleuitĂ© qui, tout de suite, t’envahit, vers cette tristesse qui me fait jouer du piano sur mon clavier Ă©trange, tu me crois plus capable qu’un autre de terrasser et le poĂ«te et l’amant. En attendant qu’elle me prenne avec douceur, j’Ă©coute un air vĂ©ritable de vrai piano, comme, en certains, j’ai Ă©crit mes livres, rĂŞvant d’un jeu toujours plus subtil, pour un lecteur encore plus ivre, mais digne de ce nom, triste batard sans fin qui attend la chute, (chut :.................) qu’ils fussent conviĂ©s devant un Ă©vier sale, ensembles au milieu des rats et des taches de cafĂ©, dialoguant sur une table, se perdant, se retrouvant, parlant du DĂ©sir et de la Soif avec mes larmes qui ne coulent plus depuis que j’ai cru la tenir. Femme du feu que j’Ă©tais de la mordre, Monk me le dit assez bien, Faithfull me le disait encore, Maria me le chantait. Il y eĂ»t les envahissements silencieux, puis une voix, celle très belle d’Arianna (pour elle, Deux Voeux Nus : devenir fous, et libres) et enfant, moi OS, travaillant, en secret, ( mes clones saignent-ils durant ce temps ?) que, Roi des WOR(l)DS WORD(l)DS WORD(l)S, j’essaie d’Ă©claircir.
Oh je me dis bien que j’ai toujours aimĂ© la vie, que si je frappais sur ce clavier, en rejoignant l’autre dans quelque chose de mien, me retrouvant en l’autre, dans quelque chose qui fusse tout ce qu’on voudra, encore Ă l’aventure, (IL NE FAUTE PAS ; TAPE TAPE TAPE ET TAPE TAPE TAPE ), une Rose Rouge me revient, un Chapeau s’envole, le glas sonne, c'est fini, si ce n’Ă©tait d’ajouter encore une prĂ©cision qui, malgrĂ© ma solitude sĂ©minale, cette chute je ne la veux pas, Merde, Je ne veux pas que les choses s’arrĂŞtent - Et surtout pas au mot s’arrĂŞter ! Alors Ă bord mon roman fou, dĂ©capotable folle, comme une burne, avec une franche rigolade et panachĂ©s, comme arrivĂ© en vedette sur la Seine, je re-fuse direct entre ses jambes, ce qui chez le poĂ«te est une Metaphore de l’Amour, je dĂ©chire ma feuille de papier, sans explication, veux cette veuve et vœux ce 20e euh, je veux que cette musique ("hIt Alien") italienne t’entĂŞte, composĂ©e d’Ă©tranges emotions passagères Ă sa solde, L’Italie, du XIVe Xve machiavĂ©lique, et cet orgue de Barbarie, ceRUT français, moitiĂ© mercenaire moitiĂ© nationaliste, ce qui redonne le miel des abus, celui des abeilles muettes,et moi muĂ©, meilleur.
J’ai dĂ©cidĂ© de ma mission : j’esPIonne le RĂ©el. Nous continuons, fĂ»t-ce dans ce silence que nous habitons, de tes yeux, tout Ă coup, tristes, ThĂ©rĂ©se aux ciels changeant de ce bel hivers, cet automne comme une joyeuse règle, cette courageuse soirĂ©e d’Ă©tĂ©. Qui sera prĂ©sident ?
Après tout une ligne mĂ©lodique, un autre dit mĂ©lodrame, et c’en ai fait, le Monde produit son Putonimium enrichi, la France une comĂ©die tragique, le paradis ma divine tragĂ©die qui s’Ă©tend, s’Ă©tirant les larmes sur mon imprimante, couleurs de la colère sur le genou des Dieux, de la race des Seigneurs valant mieux qu’histrion qui vocifère et, Et et, pour ce 2Em Hugo se LentSans dans le ridicule, tandis que, devenu DĂ©mon de Merde, puis passant DĂ©mon de Sang, d’avoir mal aimĂ©, je pesais et soupesais primitivement tous les opĂ©ra de bibiothèques pleins de poussières cosmiques, (1990-9-1998-2000), aujourd’hui homme MĂ©ta-angĂ©lique, on me demande de rester encore, cosmonaute sanctifiĂ©.
Ce Putonium, LaMort , s’Ă©loignant Ă ces mots, one’some waves, sons some ones’s been Nonne’s b(ees)’is be bis it’s (SONNE HIT: "ELISA BĂŞte) It’s not my ProBlème, Elles cassĂ©es, IT'S NOT MY PROBLEM THERE'S NO TROUBLE THERE'S NO TROUBLE (CHIEN DE BERGER, BEAU CE ROND BEAUCERON) bĂŞte : best beast on the beat eeeeeeeeeeeeeeeeeyyyyyyyyyyyyyyy okey gay ooooooooooooohhhhhhhhhhh je coudrai tant que tu t’en souviennes comme ce que le RĂ©el RĂ©sonne, pense, et puis, encore, encore tonnĂ© : Qu’on ait pu m’aimer !!...Pour sĂ©duire, Essayer : Dit :Fer Amant, Assez YYYYYYEEEEEEEHHH wwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwoooooooooooouuuuuuuuuuuuuuuuuH!!!)
Un autre, plus semblable s’il avait voulu se maintenir dans ses sentiments, alcoolique artificiel, ne veut plus se rĂ©pĂ©ter, il lui faut avaler la fumĂ©e de blonde, montĂ©e, du coup un briquet tourne dans la basgnole tourne tourne petit furet, tourne, montĂ©, me piquer la pĂ©ronnelle, tout Ă coup Ă©prise, se tord vers lui, se penche pour s’Ă©pancher, me quitte et me tue, me siffle un air coquin, le "Any EnTonne Ni AntiNo Ni Antitilles !! NO NO NO NO : PEAUX !!! BuShe qui la prend, triomphante, petite frog roide, froide, serrĂ©e, c’est un rĂ©, c'est un mi, c'est un si, do rĂ©, MIDI, si ces raies de lumières rances, mais, elle, marrante, genre qu’on y fait pas gaffe, qui s’Ă©parpille pas qui balance, qui balance pas son son, qui balance son son, comme un vieux jazz, son jeu de Je-Vas-Au-vase 20em, qui, blanc faux, vaut le son d'un long ruban de DIE-NA-Mythe(s)littĂ©raire(s) vivant(e(s)), de vieux Dieu(x), apocalyptique(s) (1993-1992-2002-1999-98-2004-1987) ( FA : mines ), dĂ©couvrant la mĂŞche sans la mettre Ă feu, oh ! Rages, Joutes : Ai-je ?) tandis qu’une bouffĂ©e glaciale de jalousie m’explique : - Il aurait mieux fallu que je me soucie de la VĂ©ritĂ©, il n’y avait qu’Ă regarder sans son corsage dĂ©graphĂ©. Dieu sait le nombre de cheveux que j’ai sur la tĂŞte.
Y a-t-il une manière de faire dans ce rĂ©seau de tĂ©lĂ©pathes, les amours Ă©ternelles, il faut faire plusieurs fois la route de la terre Ă la lune, plusieurs fois, concourir aux rapprochements des Mondes. J’ai passĂ© ma vie Ă resserrer les coĂŻncidences dans l’Ă©tranglement de mon entonnoir que d’autres voudraient vissĂ© sur ma tĂŞte. Etre fou m’a bien servi. Mais cessons cette mythographie pour des formes plus rĂ©elles - Ici, les spectres de certains, les Cames-A-Rades prisonnières, bien intentionnĂ©s au moins, mes contemporains, (les Morts ? Pour vous les Morts entreront dans leurs Enfers, je me Tiens ainsi qu’un insoumis au seuil de la Mort, bousculant cent mille milliard d'Ă©toiles - me glissent (Encore ????) un discours de l’Esprit.Ă ) Reste ce vain 20e – et ces cris ainsi qu’un CHIFFRE- et voilĂ tous ensembles danses dans un miroir, Mâle-HAAAAA-Biles, SI IN -NOOOOOOOOOHHH-DIT-BLEU, si inaudibles, tant, ah ah ahan han han hahahan, inaudibles, par-dessus le Chœur ainsi si pauvre, remarquez, j’ai les moyens, je ne sais si ce qui m’Ă©chappe, tel gaz stimulĂ© par des possibilitĂ©s que j’ai voulues, moi, immam cachĂ©, Messie d’Operette, VidalaĂŻ LAMA, anticipĂ©, comanditĂ©, par des cerveaux gĂ©ants, se fourre des BLANK BLANK BLACK AND BANCK BANK BANK BAND ............. Aux Prothèses ! Tatouages surprise sur lequel on peut lire Maria. Desquels j’articulais mes images, je ne sais si « RĂ©el » est pour toi une abstraction, en tout cas, j’ai toujours, parcourant les immenses distances, dont certains rient, voulu me les rapprocher, et tant, j’ai du affabuler,,, en tout cas, j’ai voulu dire que cheval, cendrier, calendrier, opposĂ©s en cela aux idĂ©es des lieds selon lesquels on prouve que les effets sont tirĂ©s des causes qui les produisent, opposĂ©s au Monde de l’abstraction donc, mais de chair Par-RĂ´le drĂ´le comme la croĂ»te d’un bateau peint en vert, mauve, et rouge, d’un dĂ©ment de mes connaissances, un Dit-Allo-GUEUX, ce dialogue droit dans la tourmente, la douleur de mon estomac contractant une inquiĂ©tude, (Et tous mes romans sont psychologiques).
Si j’ai besoin de revenir Ă l’entrecuisse tĂ©nĂ©breuse de ma poupĂ©e dans la voiture, silhouette frĂ©missant vivante, surtout que ce ne se voit pas. Sauf que RoBien des Bois, sauvĂ©, mort de rire, tĂŞtant de la transaction, m’a dit juste « NON !_», mĂ©tonymie de mes espoirs, que mes moteurs reviennent. J’ai surtout renversĂ© la vapeur.J'ai dit "OUI ! .".
Je m’explique plus ou moins bien ce mouvement qui me fait concevoir aux choses inanimĂ©s un mouvement vers MaRia radiĂ©e radieuse ; je ne veux pas monter encore plus haut, baissant mĂŞme le volume Ă cause de ma voisine, avec une tĂ©mĂ©ritĂ© qui aurait du me convaincre de ne plus Ă©crire, Jean Kribler tremble, tandis que des rats d’opĂ©ra sont transformĂ©s en robots Ă l’aide de petites dĂ©charges Ă©lectriques explosives, d’un petit sac Ă dos bourrĂ© d’explosifs, la tortue ne va pas bien haut avec le lion, je le faisais exprĂ©s au contraire avec de l’EauD’AS, encore de l’OhD’Ass, toujours de l’EauD’Ace ; je n’ai que le ciel bleu avec soleil et lune, ciel d’un hivers magnifique, pourvu que Jean le Pou arrivât pour me convaincre, qu’il arrivât Ă me Con-Vain-Creux, me convaincre, moi, l'ânĂ© splendide, que la menace passe comme passent soleils et lunes qui passent comme passent les saisons depuis les Siècles des Siècles dans l’Univers SSSSSSSSSSIIIIIIIIIIII UUUUUH-Nie-Forme - poupĂ©e verte de rĂ©seau VER, Alors OOOHHHHHOOOOkey,ouvre, chez moi, le grand cahier des Etres vivants.
Aujourd’hui le Monde des barbares, pareil Ă celui d’hier, tout aussi fou, oĂą je n’ai pensĂ© que le hasard, et l’immense bordel que j’allais foutre dans la compagnie des Bises/ARTS. Les intempĂ©ries se concentrent, se dĂ©signent plus que se dĂ©finissent, Sœurs de l’Avare.
Je file aussi vers elle dans le sourire que me tend ma Sainte douloureuse, enfant vive, menaçante, mĂ©chante, qui peut, petit bolide, un petit peu, aller très, très, vite, enfant insouciante aussi, sans le sou et s’en foutant, et prĂ©destinĂ©e par le Destin, que je pose, lĂ , parallèle Ă ma copain. Elle se glisse comme glisse ma voiture nuitĂ©e dans le col de mon poteau Ă©lectrique, elle ne m’a jamais repprochĂ© mon manque d’imagination, mais mes mĂ©mĂ© silencieuse, mes si lents cieux, car j’Ă©tais dĂ©ficient mentale, handicapĂ© dĂ©jĂ , de lĂ , pelle-mèle, le rock Ă l’opĂ©ra si triste de n’avoir pas d’autres rĂ©ponses que celle de mon MUZIK-HALL, et alors de penser (mon cœur me recogne, ce doit ĂŞtre du au trĂ©pidement de pieds). J’ai hĂ©rĂ©ditĂ© puis inversĂ© l’ordre des choses, je n’ai pas inversĂ© l’ordre de la pensĂ©e chez moi est une chose terrrrrrible, (Rit, Gide !), de ces choses que vous vous devez toutes de PrA(ss)Tiquer, et ces choses me pensent, cadeaux, auge de froments et de potages, et franchises de mots francs dans l’ensemble de mon Oeuvre,,, tandis que la vie qu’on balayaaaaaa d’un seul coup d’œil !.... Je n’en aperçois le nœud, la concrĂ©tion qu’Ă la poĂ«sie intermĂ©diaire que je ronronne dans ton oreille Ă l’Ă©coute d’ombres passagères, de murmures des sphères, mais pour quoi faire ?) et c’est ainsi cette sorte de ruĂ©e chantĂ©e : « Mon rognon, que la vie est belle ! Que la vie est belle, mon tendre petit rognon !...».
La vie est belle. Je travail en alĂ©atoire sur l’alĂ©atoire. J’en suis Ă ne me satisfaire que d’elle, telle qu’elle est,,, Amis, "K’Est-Ce Ă dire quand affirme la Nez-CessitĂ©...etc", en tout cas Ă partir de maintenant chez moi, d’une Ă©criture psychologique, astronomique Ă la Richard Lenoir. Ils interprètent les signes, c’est leur erreur, et j’ai surtout peur qu’ils ne deviennent aussi fous qu’une pythie aux scrofules sulfurĂ©es.
Ce que je trouve agrĂ©able, moi, c’est de sentir ce cendrier, ma TĂŞte, ce Miroir s’emplir des mĂ©gots de ma pensĂ©e, le temps qui passe, un peu morbide. J’(2002-2004)ai entendu les calendriers de ta mĂ©moire, les Cratères noirs des catholiques Ă©vacuĂ©s, s’opposer Ă la guerre avec de grands larmoiements misĂ©ricordieux, que l’homme a voulu faire, Combien sont-ils ? Moi, de la force trop grande d’une PensĂ©e magique, français, croyant en la LibertĂ©, la Justice, l’Amour, je veux par ta puretĂ©, ce petit cadeau Ă©riger, tant qu’elle peut ton Ă©nergie Ă©vacuĂ©e face aux fracas des armes,,, j’oppose encore Ă ce théâtre de bruits et de fureurs, une cheville nue dans un des corps de théâtre calĂ© dans les pages d’un livre. Cela me prend aujourd’hui du rĂ©seau VER, enfin trouvĂ©, mais avec beaucoup de professionnalisme ; ĂŞtre pris de peur comme ma pomme fiancĂ© Ă la vie jusqu’Ă ce que mort s’en suive. Chacun sa merde. Cette cheville, prend tout l’aspect d’un morceau de viande. Un exemple que j’aime citer, c’est un Ordinateur du Roi traduisant « le verbe s’est fait chair » par « la parole s’est faite viande » TZEU ZE TZUN TSE TSE MERCI
MERCI MERCI
MERCI .. J’apprends encore, ,,, ,,, ,,, tout est si nouveau .. Et d’Ă©puiser, cernĂ© car sage, car nous disons la mĂŞme choses depuis des siècles, car de multiples Signes, car les soupirs, les notes, les possibilitĂ©s, il me semble, je fatigue de trouver un jour Ă ces corps quelque chose vivant comme deux vivants, tel l’ordinateur, elle aurait du mal, tournant en rond ses algorythmes, Ă atteindre le sens du vivant, la Revolution se fait Ă deux, mais baiser est un tract, et me collant Ă ton tabernacle, frisant le scandale, les amours sont plus grandes que les galaxies.
Las de ces prĂ©tĂ©ritions. Mon carnaval te poste Ă une fatigue et Ă une santĂ©. Que faut-il que je fasse, que j’y aille comme je suis programmĂ© ? Je dĂ©croche mon tĂ©lĂ©phone. Elle aussi dĂ©croche tout de suite :
« - J’ai... J’ai peur de la Mort .... (elle glousse)
- T’en fait pas... L’Eglise... L’alcool...(dubitatif) Il trouvera ,,,,
-Ces mots nus mentent étranges (elle glousse)... prends du repos... Bouffe... (colérique) Je sais pas...
- la Morale, c’est un problème en ce moment...(sentencieux) J’ai pondu ma Mort, ma vie, la SousFrance et l’EfFleurs. (tout Ă coup badin) Je crois en Dieu le Père Tout-Puissant...etc.
-(nerveuse sans raison) C’est une obsession
-maintenant une peur a laquelle je pense, la vie qui m’Ă©chappe.
- Je dois prendre des risques toujours frais.... ou il prend la porte. C’est plus fort que moi. Arriver Ă ne plus pouvoir . A la fin... Ă‚ force de libertĂ©s… Ne plus en avoir...de LibertĂ©
-(triomphant) Deux libertés !
-Avoir posé tant de verrous et que tu ne sois que serrurier.
-Eloigne de moi la coupe de la souffrance....
-Repose-toi. C’est ça, repose toi. »
LentNuits, l’ennui c’est ce qu’il y a de pire. Loin d’ĂŞtre un luxe, il y faut un glaive (980000000000000) repoussoir de fainĂ©antise ; Pourquoi faut-il que je m’expose Ă tant d’excès... SaoulĂ©e de chimie, s’ecriant sous neuroleptiques, s’Ă©crivant telle une esclave nue, « veut-on que je m’englue de rĂ©sines handicapantes ». C’est que c’est toute la vie le pari de Pascal, les Nerfs. Alors je fonce Ă deux cents Ă l’heure, et je me rĂ©fugie en Dieu, le vieux Pas-Rat/Tonne : AIR ! mon paratonNerfs, qu’il me comprenne et dise : « Tu as le droit, le droit de penser, de t’exprimer, je t’aime, n’aie pour devoir qu’amour espèrance et foi, la Puissance 4em eeeeeeeeeeeeeeyyyyyyyyyyyyyyyEy du Sexe, Ivresse, et Douleurs ». Ils m’ont quand mĂŞme pro- vie - danses-si-elle-MENT : renvoyĂ© .
Attendant, ma ballerine a des lumières Ă elle. ON l’a fait, ON l’a refait, ON accomplissement du spectacle, ON ON ON HON HON, Ă©vitant jusqu’au bout la rambarde, qui rime avec vieux barde, vieil Bi-Hardeux, vivant enfin...
Oui, et j’ai le shoot exemplaire ! De ranimĂ© toutes ces colombes, la vie c’est Tu. Hier, rĂ©ceptive Ă l’amour, Eve, demain, lèvres rĂ©ceptacles d’Anamour - De Souffrance aussi c'est-Ă -dire de ces combles d’Ennui et de Misère, les yeux sans les Ă©toiles, quand les fleuves Ă sec sont durs et tranchant comme des cailloux..
Je me prĂ©sente : Institut de recherche DuRĂ©Elles. CommuniquĂ© : ce qui tombe d’obscur c’est qu’elles sont si difficiles ces lumières sur deux histoires Ă©crites en arc en ciel, un oubli possible, j’arrĂŞte ce RĂ©dyyyyyyyyyyyyyyy-Ma((i)d(e)n), au bord de la route, pour pisser et reprendre des forces. La tĂŞte, la terre, MariAnna, BoudhAmour que j’ai quittĂ©e au Ciel, que Sa VolontĂ© soit FĂŞte Du Temps du verbe, FĂŞte de MARIANNA, FĂŞte du Verbe, du FILS et du Sain d’Esprit, FĂŞte de la Vie... Ita pissa est . ; ………….. .
J’aurai dans ces paroles que je n’Ă©coute pas, oĂą je m’arrĂŞte pour penser, trouvĂ© ma part Ă©rotique. La peur de couper avant la terreur d’aller au trou, se puĂ®t-il qu’il en soit autrement, qu’ayant tout refusĂ© de la peur rien n’arrive de la terreur, j’ai eu ma part de gâteau. Ainsi, par exemple, qu’il me soit laissĂ© un ArtBre paradisiaque dĂ©tachĂ© de tout que je ne puisse renier, sans Ton Mou, matonnĂ©, comme il fĂ»t pour Henri Michaux arrivĂ© au seuil de sa vie – Une fois. Je dĂ©raille.
Or donc, ces cents des croisades pour lesquels Emmanuel m’a dit que certains risquent leur peau, je voudrai une fille dans l’air, pour, ensuite, que s’arrĂŞte avec moi le jugement d’autrui, les commĂ©rages sur les Putains bien-aimĂ©es, l’Ignorance et la perte de Conscience morale, la part de Ces 1996 1994 19992 1987, cauchemar. Misère, aussi, donc. Je m’arrĂŞte au bord du fossĂ©, attendant la Mort sous l’orage, l’Esprit tant dĂ©criĂ© si on m’a mal lu. Je sais. Il Manque une Ă©tincelle. KsingKsinKsing Ksing Ksing Ksing entre les orages . Laisse. Sans L. Les Rires s’Ă©chappent, depuis cinq mois, tous, ils rient. Moi au bord de ma bagnole, j’attends la Mort, rĂ©pĂ©tant mes magies auxquels je ne crois plus. Je suis Le mĂŞme, mon semblable, la rĂ©plique, creusĂ©e jusqu'Ă l’OS.
N’Essayez de le faire, N’essayez pas si vous n’avez pas l’amour. Faites-le ! Mon Dieu, encore Toi ????????,,, Nous, nus.
RE : « GARE ! DEUX RONDS se regarderont ! ».
Main, sire, sur ma pine de lapin, la mainsur mon pain, ma main dans ta main : nos coeurs sont des voleurs…. AU VOLEUR AU VOLEUR, ON A VOLĂ© MON CŒUR !!!!!!!!!! Nous sommes les Messie de Ces Ames Sœurs tapant, tapant, tapant (16000000000000000 $) Ă la porte de ton meurtre des Saigeurs de GUERRES,
Dieu, si tu
n’es pas plus
fort, que ne
m’as-tu
donné tant de
Science et si peu de
SAGESSE.
Moi, si pauvre aux sets si banaux, aveugle, mon cœur roule pour toi comme un naviguateur, roule comme un tambour - Tu peux prendre une roulĂ©e .. Je remonte dans la bagnole. Elle est toujours penchĂ© sur mon poteau, aux derniers outrages, « Tu me saccages ! Tu me saccages !!! ». Nous comme dans les bandes.
Et, ce matin, le Monde nous ira ; Il ne
tenait que par la prière se fondre en
l’Un... Tandis que je n’ai, peut-ĂŞtre, cherchĂ© qu’une chose : la multitude. Sex DruG & rock’n roll, vivre vite, et mais, si possible, mourir vieux. Pourriez-vous simplement faire des cris encore plus fort, des cris encore plus fort, chantent Ă l’avant les tuners dĂ©foncĂ©es d’une voiture devenue kitch Ă force d’ĂŞtre refilĂ©e, tout cabossĂ©e… (pardon ???) Mais recréée..
Pendant le temps que la vie dure, Emmanuel et Maria se sont appropriés toute la place, ils ont mis le feu, BANG BANG BANG GARANDANBANK, ils ont vidés la bouteille de whisky, toujours à la recherche de ce que pouvait bien être la Liberté de Vies. aaHHHHHHHHHHHHHHHHHHAHHHAAAAAA(à )LLLLLLLLLLLLLLLLEEEEEELLLLLLOOOUUUUIIIIIIIIIIII
IIIIAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAIIIIIIIIIIIIAAAAAAAAAAAAAAIIIIIIIIIIIIAAAAAAAAAAAA
A
AAIIIIIIIIIIIIIIIAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAIµAAAAAAAAAAAAIIIIIIIIIIIIIIIAIIIIIIIIIII
I
IIIIAAAAAAAAAAAAAAIIIIIIIIIIIIIAIIIIIIIIIIIIIIIIIAAAAAIIIIIIIIIIIIIIIAAAAAAAAIII
I
IIIIIIIIIIIIIIAIIIIIIIIIIIIIIIIIIIAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
ALLLEELUUUOOOOOOOOOOOOOOOOOOUOOOIIIIIIAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
Alors passant du cĂ´tĂ© d’un bar oĂą brĂ»ler quelques Ă©conomies, j’ai pu constater qu’il s’y passait de nombreuses magies dans la forĂŞt des signes dont parle AndrĂ© Breton. Il suffit que l’on ne soit pas sujet Ă la peur, mal prĂ©parĂ©, dit-il. Or , j’ai dĂ©jĂ parlĂ© de ce que la peur en s’enfonçant en moi avait Ă©tĂ© en de-ça de la terreur et que celle-ci, Dieu me prĂ©serve, fĂ»t-ce en de-ça de quelque supplice encore plus atroce et TTTTSINTTTTSIIIING TTTTTTSSSSSSING TSETSE je ne me lassais pas de demeurer avec mon livre, tandis que mon pote roucoulait des fadaises Ă sa belle, qui Ă©tait, deux heures avant, la Mi-Haine. J’y trouvais comme le Manuel de mes Vies Magiques dont j’avais pensĂ© quelques jours auparavant qu’elle m’avait fait dĂ©ment aux yeux des clients de ce jour buvant leur bière et lançant Ă la cantonade les interjections qui rĂ©pondaient Ă mes question avec l’impossible ironie de la Providence, je me demandai « Comment est-ce disposĂ©, ces explosifs, EVE VIE D’AMANT -les flashs des appareils photo disSiMĂ»lĂ©. Aussi tendu, et quelque peu abattu, je m’accrochai Ă mon livre, l’Amour fou, AAAAAAAAAAALMELLLLOOOOOOOOOOOUUUUUIAAAAAAAAAAAAAAAA au titre tellement batailleur, sous mes cheveux crĂ©pus, mais rasĂ©.Je ne me rĂ©solvais pas Ă faire du feu sous mon cigare, VRAIE bĂ©nĂ©diction de mon cœur sec Dans le PUTONIUM : IL Y A UNE PIèCE7 D’AMOUR QUI A DISPARU ET HEUREUSEMENTcar ils s’y accumulent sans fin dans une poche qui est L’Etre.
Ainsi J’aurai aimĂ© aimer aimer tandis que
l’Univers Ă©trangement se rĂ©trĂ©cissait Ă
seulement deux
points, et moi et ma perception mienne.
J’aurai ainsi aimĂ© quoiqu’il en fĂ»t de cette lutine au minois qui saupoudrait maintenant de bĂ©cots le cou de mon acolyte Ă©namourĂ©. J’aurai aimĂ© et avant que de disparaĂ®tre tout Ă fait, au pire, dans un naufrage qui ne me laisse plus le Souffle de poursuivre, je me bats pour la planète, en prenant un stylo pour sĂ©curitĂ©, de l’enCreux pour Ă©pĂ©e. Enfin, ce bar me rendait phosphorescent !! S’y enflammaient les derviches tourneurs de mon enfance dans les Ă©clats magnĂ©tiques de sous mon crâne, crĂ©pitaient plus rapides que ce que je n’aurai pu dĂ©cider ce qui eut pu faire preuve.
[color="#00b050"]J’ai sans doute Ă©tĂ© tĂ©mĂ©raire dans mon entreprise de rĂ©sumer pour moi seul les longues minutes du merveilleux de la Vie. Et la musique tout Ă coup s’interrompt. Les nouvelles sont mauvaises. Pour moi du moins qui n’aime pas ce qu’on nomme du doux euphĂ©misme de conflit. 150 000 hommes se massent au frontière de ma frontière pacifique dans le golf. Putain, que l’on vous fasse un silence de toute ma folie, hommes, militaires,,, Car j’ai pensĂ© jusque dans la souffrance, Ă mettre le feu Ă mes draps, ce Monde incomprĂ©hensible et que ma rĂ©ponse est la mĂŞme qu’hier. Notre pauvre Christ a donnĂ© tout son sang pour que vous arrĂŞtiez, il vous faut des missiles pour l’avènement d’un jour de Paix sur le globe. J’Ă©crivais : je suis mort trop tĂ´t, c’est aujourd’hui le quatrième jour d’une paix gĂ©nĂ©ralisĂ©e... Ah si l’on avait pu rendre fou ces grands dĂ©lirants. Si l’on avait pu entamer le siècle par des chants de poĂ«tes... Et je suis bien placĂ© de vous le redire maintenant que j’ai revu, si peu de temps, le Roi des Rois,,, Il s’en est fallu d’une fraction de secondes que j’aie choisi pire que le pire des dictateurs et je me suis rendu coupable comme vous, militaires, en pensĂ©e, de la souffrance d’un cœur sec, mais que revenant Ă mes hurlements, brisant l’angoisse, je me souvienne de ces annĂ©es oĂą, dans la douleur, j’ai voulu, VidalaĂŻlama, d’une volontaire pensĂ©e vous crier aux oreilles, murs de JĂ©rico, qu’en toute conscience, il fallait la Paix... Oui, je vous l’ai chantĂ©, je vous l’ai Ă©crit, je vous en ai parlĂ©, j’ai sondĂ©, interrogĂ©, interpellĂ©, nous voulons, serviteurs d’une engeance maligne, la vie est bien trop courte pour pleurer,,, Mon silence sur vous, militaires, dans mes atroces douleurs et ces lignes que le sang n’effacera pas. La lurette a entamĂ© une fellation Ă quatre pattes sous la table. Le margoulin lui boit sa bière avec des yeux ronds. Plus de cynisme, j’en ai trop vu, fixĂ© des vertiges, que durant tout ce temps les moindres pensĂ©es arc-boutĂ©es pour qu’il vous soit donnĂ© une harmonie entre ma cafetière, l’amour, et vous, et qu’ayant chaque jour Ă©tĂ© dĂ©trompĂ© de mon espĂ©rance par vos dits conflits, vos cynismes, vos haines, vos mĂ©pris, votre petitesse, vos hypocrisies, je vous le dit ce soir, j’irai en enfer en vous maudissant, faisant des moulinets avec mon Ă©pĂ©e, Cyrano de divine foire, après avoir Ă©tĂ© ce Quichotte qui vous a fait, ne mentez pas, tellement rire. Oui s’il le faut, avec plus de gueule que de ventre, j’irai aux derniers supplices vous botter le train, m’Ă©tant rendu moi-mĂŞme solidaire, un jour funeste, du sort qui nous Ă©choit dans le pire des cas, mais ayant refusĂ© jusqu’au bout de juger, mais ayant jusqu’au bout rĂ©sistĂ©, et la musique des sphères m’entraĂ®ne et mon clavier tempère.
Frederic échoué sur les bancs socialisant
28 aoűt 2008 - 12:21
,,,,Frédéric, une dizaine de possibilités, à ce propos, dans un cadre dégradant, lorsque la pointe grasse de son crayon à papier finement taillée ne vînt à dessiner ce qui résume sans doute une vie,,,
Frédéric était certes un élève médiocre mais aux prédispositions rêveuses qui en faisait un cancre passablement doué pour les cours de législation. Il n’avait jamais entendu de sa vie parlé de philosophie slalomant entre les mots et les nuages passés par la fenêtre pour échapper à cette notion.
Le professeur prit une courte respiration, un instant avant que la pointe ne fasse sa funeste opération. En une sorte d’apogée de son éloquence professorale, il fit tinter dans le cerveau médiocre en tant normal de Frédéric, la phrase qui résumera la vie de son élève.
J’ai rencontré Frédéric dans un patio où il m’a raconté cette anecdote. Je la relate sans talent particulier usant seulement de mon droit de narrateur, avec, il faudra m’en excuser, les maladresses de l’ordre de la pensée.
L’absence de qualité littéraire de ce contre rendu sera pardonnée par les lapalissades de ces vies aux demeurant hors du commun.
Mais revenons en à notre Frédéric et son crayon finement taillé. Il n’écoute que bon gré mal gré le professeur, d’ailleurs de géographie. Il va dans un instant être saisi par une prise de conscience que son manque de vocabulaire ainsi qu’une propension aux élucubrations, littéralement « pensées élaborée la nuit », vont pousser, jusqu’à son dernier cri, dans les retranchements de la pensée.
Cette pensée qui va le prendre, dans notre patio un jour d’hivers, il me la conte comme un acte héroïque mais en bredouillant, en cherchant sous sa tignasse comment il a pu en arriver là – Et y être resté.
Le professeurs fit le tour de la classe de ses yeux devenus petits et brillants, et se décide enfin à dire : «… Alors, vous apprendrez à philosopher… » tandis que la pointe du crayon de Frédéric achève d’un trait son dessin.
Une plus ample histoire de notre dessinateur nous montrerait, d’ailleurs, à ce niveau du parcours de Frédéric que ce dessin était comme parfaitement anodin et sans intérêt.
Le fait est que Frédéric, alors sut, avec précision, qu’il avait littéralement, en dessinant, ce dernier trait, « Philosophé », sans savoir rien de ce que signifiait ce mot. Le fait est que le ciel aurait pu trembler, cela n’aurait pas fait d’autre effet sur Frédéric, qui n’avait jamais entendu d’autre signification du mot philosopher.
Permettez maintenant que je prenne un exemple en tant que malheureux entreprenant de divers fragments poëtiques qui tous sont demeurés vains. Bon nombre ceux qui conviendront avec moi que l’on passe toujours par le chemin par lequel on est passé. De même j’ai écrit en passant par les mots qui passaient à ma gauche vers un point que je ne devinais jamais sans y aller plus ou moins.
Mais ce qui m’apparaît singulier dans le cheminement de Frédéric ce n’est pas sa difficulté à bien s’exprimer mais malgré cela à quel point sa pensée avec le recul me paraît claire. A quel point, il était à cet endroit où aurait du se clore la pensée, là où elle se faisait.
Il aura donc voulu non passer par où il est passé mais se tenir là où il était faisant ce qu’il faisait. De ce pauvre mot qui a surnagé de son désarroi, il appelait « philosopher » le même acte de dessiner et de penser. Il avait saisit ne serait ce qu’une fois qu’il pouvait se créer comme être pensant en train de se faire.
Faut-il dire jusqu’à quel point son omnibulalion l’a mené aux confins de la déchéance ? Faut–il rajouter à ce qui est évident pour tous qu’on ne tient pas une telle vérité comme seul flambeau d’une vie ? Qu’il aurait mieux valut qu’il s’occupât de lui et des urgences matérielles que de le mener là , dans ce patio, avec moi-même aux aguets de quelques signes venus pour nous dire vous êtes dans le droit chemin contre tous, vous avez raison, nous venons vous relever de votre garde c’est à nous de porter la lumière dans le Monde ?
Frédéric lorsque je le vis faisait des erreurs en algèbre qu’un enfant aurait pu résoudre et en tirait des conclusions sur la perfection du monde dans des balbutiements qu’il me faut taire.
Certains, mettent tout une vie à comprendre ce que la vie attend d’eux et le trouve dans un trou fait pour eux dans la terre en suppliant les cieux. D’autres le cherchent dans les continents lointains ou les explorations dangereuses. D’autres mettent un point d’honneur à prendre des risques contre d’autres gens qui prennent les mêmes risques et finissent militaires. D’autres montent et descendent des hosties comme si c’était le signe de leurs propre élévation ou de la descente des grâces. Frédéric sut précisément mais sans avoir les mots pour jamais se l’expliquer que sa vie se passerait à philosopher.
Mais de même, moi qui ai couru la lande de l’imaginaire, qui me suis secoué la tignasse en vain, qui ai vaincu les dragons et les monstres marins, moi dont les bardes chantent les exploits, ne suis-je pas plus pitoyable d’une vie plus commune d’avoir voulu sauvé du désastre un amour misérable ?
Un long panégyrique des héros véritables de notre temps qui achètent les tubes des succés suaves contant leurs déroutes montrerait mieux que ce que je me propose : raconter combien sont pauvres en imaginations ceux que l’amour a laissé seul avec leur petit état d’âme dans un meublé à ruminer le temps passé. Ah on n’est pas original s’exclamait un assoiffé au terme d’une confession pour une âme sœur plus encline à refaire sa vie qu’à regretter le solitaire délaissé.
Mon amour chevaleresque aurait de quoi tirer des larmes si ce n’était comme Frédéric d’échouer lamentablement sa vie sur les rives socialisante des décrypteurs d’énigmes insolubles.
Je tiens pour évident que l’aventure de Frédéric est par certains égards plus fantastique, rejoignant mieux la philosophie de la vie des origines, que mon conte ébouriffant. Aussi avant de ne le quitter pour un temps terminons cette première partie par les bredouillements incultes de Frédéric avec son professeur.
Une longue période de temps se passa à tergiverser avec lui qui argua tout d’abord du fait que les professeurs de philosophies ne sont pas des philosophes. Frédéric hésitait de son faible dessin d’un abord si nul qu’il ne lui paraissait pas possible d’en faire mention et sans avoir les moyens langagiers d’argumenter du seul fait possible qu’il avait, bel et bien : philosophé - Il était prêt à en jurer devant une cours qu’il imaginait déjà contre lui.
Quant à moi je suis né en 1967, le jour de Pâques, au moment des cloches, à 12 heure 30. Je suis né, en cette vie, pour devenir fou et marquer de mon insignifiance le nombre considérable des êtres humains.
Ce jour de fête peut à bien des égards paraître une de ces coïncidences qui leurre le vulgaire. J’eus pour ma part l’absence de révélation pour signe de bien venue sur cette terre.
Tout commence après le baccalauréat que j’obtins comme j’aimais à le dire « Tout juste » avec pile 10 / 20.
J’avais depuis un an été déniaisé. J’usai de psychotropes légers pour penser et surtout parler plus vite que de normal. Je voulais changer de niveau de conscience pour, est-on naïf, devenir écrivain.
Abandonné par cette femme plus triste que méchante je noyais mes yeux de larmes rougies cherchant à satisfaire mes passions le plus rapidement possible. Et pour cela je me cuisis aux feux du Désir violent et de l’insatisfaction mêlée de jalousie.
Nick était un mutant des années 1989. Il avait une guitare des pastilles pour la toux codéiné, un vêtement turquoise en plein été et un psychiatre.
3 semaines plus tard j’entendais des voix . Cela commence par le sentiment que l’on parle de vous. Puis Nick sur une musique de Peter Hamill lance « LA VOIE ! » tambourine un rythme sur ses hanches et rageait un accord avec un majeur ironiquement dressé pour me signifier mes insuccès en matière amoureuses. Mais Nick, il me faudra 4 ans pour en être totalement sûr, n’y est pour rien. Ma personne seul, est, je le revendique, responsable de la chute qui allait s’augurer.
Cela dure 15 jours. 15 jours durant le temps duquel je ne dors pas, je fume, je chante en hurlant dans ma tête. La ville devient bleue. Je deviens alors réceptacle de Voix dont la première commence par une petite mélodie rythmique un balancement « écoutes comme ça balance, on dirait un petit jouet. » J’écoute poussant au maximum ma capacité d’acuité. Je « vois » Patricia la locataire du logement où nous faisons de la musique du matin au soir et où je m’initie. Puis j’entends la musique répéter « je t’aime je t’aime ».
Innocent de ce jeu nouveau voulant devenir hors pair dans l’art d’entendre en vue d’écrire je réponds « encore » .
La petite voix me répond « écoute écoute ». Il fait beau. Je suis capable de répondre à une terrasse entière d’un simple petit mouvement de l’index. Le monde entier m’aime.
Je sais que cet amour peut permettre de changer le Monde. Je lance intérieurement « je m’appelle Jean marie Vidal ! ». Une voix comme un coup de revolver répond « ça commence bien ».
L’année suivante, je reprends les études en philosophie à la faculté de Tours. Au bout d’une semaine, je reste à récupérer dans ma chambre à fumer et à dormir. Les quatre heures par jour où je veille se passe complètement dépressif à dormir ou bien à prendre des douches. J’essaie d’écrire mais tout est trop difficile . Aucun résultat n’est visible.
Une anecdote pourtant me revient : je suis avec mon ex, Nina, et son copain Patrice. Je me lance dans une analyse de la situation névrotique dans laquelle je suis et dans laquelle l’humanité est. « Elle serait… » j’hésite Nina m’encourage de la tête, visiblement tout le monde est fou. Mais nous n’avons pas pris de drogue. Je conclue en bredouillant que le monde est en contact. Patrice semble dire de la même manière que l’amour est la communauté des hommes et des femmes. Je regarde Nina et Patrice qui sourient bêtement. Je revois la douleur psychiatrique qui m’a cloué un an auparavant. Je m’écrie alors contre tout bon sens : « VOUS ÊTES DES… CRAPAUDS INFORMES !! »
Cela fait rire tout le monde et me soulage d’avoir été prêt de m’engager sans en avoir la force de nouveau dans une contagion de l’esprit tant l’inattendu de cette réponse à autant d’acuité mentale dans pareille situation semble prendre en défaut le bon sens qui aurait été de me jeter dans un monde fusionnel, la Grande Vérité de l’Amour.
Encore une fois J. M. aura été assez génial pour échapper à ses propres conclusions. Ce ne sera pas la dernière.
le ciel est bleu la mer est verte laisse la fenetreouverte
27 aoűt 2008 - 01:15
<H4 style="MARGIN: 0cm 57.6pt 0pt 54pt; TEXT-INDENT: 36pt; tab-stops: 396.0pt">Le ciel est bleu et Marie est bleu</H4>
Il s’agissait de gagner sa Vie comme du pain sur la planche Or que j’en avais mieux dit à donner le mien à tous ces oiseaux j’en vins à Notre Vile la Fausse Commune Moi Roi des Fous je convenais qu’il me fallait aimer encore la parole des ours à qui Christ avait parlé . Eux plus enclin par ces faire à me tirer des larmes d’émotion que la Sainte Croix pouvait encore mieux redistribuer moins que vendre plus encore donner en partage à la multiplication des talents je dis : « 3,1415926…. Je serai Magicien » L’enfant eut un silence et respira . LE BARDE D’EN BAS EGALITé
Le ciel est beau la mer est verte laisse un peu la fen$ĂŞtre ouverte
Magie n’aime pas l’amour de donner la mort . Magie aime l’amour de donner la mort.
Le ciel est beau la mer est verte laisse un peu la fenĂŞtre ouverte
Rosée sur tout Rosée surtout que le soleil se lève sur le pré Rosée osée posée
Sur les fleurs en fleurs le ciel est beau la mer est verte je revenais
Personnage de Légende tendre mes cheveux noués aux marins qui passaient
Sur les fleurs en fleurs le ciel est beau la mer est verte la Rosée osée déposée
N’était plus rien que la mort de Magie N’était plus rien que la vie
Qui passait au bras de Marie José Je reviens revenant revenait
Tu n’as jamais aimĂ© Sais tu Magie RosĂ© que les revenant s’en vont Ă
L’aube au suaire se confesser d’avoir voulu entre tes bras
Aimer celle qui n’avait jamais aimé Le ciel est beau la mer verte
J’ai laissé ma fenêtre ouverte puis l’ai refermé l’ai rouverte
Tu revenais Laisses un peu ta beauté te délaisser Magie Rosée
Osée déposée entre les livres où tu passais tes yeux plissés
Osé ! Non ! La vieille poésie te souhaite le Bon jour !… Bon Dieu
Que ces yeux ont plissés comme un cœur sous les Cieux
Vides d’après Marie José avide d’emplir un soir le vide de Vidal
Tranquille était Marie José vide de n’avoir jamais quedal
Empli d’amour Vidalaï Le ciel est beau la mer est verte j’ai laissé ma fenêtre ouverte
Ou bien fermée Putain de sortilège Magie rosée t’es revenue verte
Bleu coloriée couverte découverte en train d’aimer .
Revenant drapée fantôme poésie amour amitié
Le ciel est beau la mer est verte laisse la fenêtre ouverte ou bien fermée
Je saurai frapper Je saurai frapper ton nom Marie José
Que tu reviennes revenant revenue me hanter plissant tes yeux plissés
Que t’as jamais aimé A moins que par eux tu ne pleures
Encore d’avoir été aimé Magie osée Marie José recule
Vers moins de vie moins d’amitié avance et puis pendule
Magie osée tentée Marie José tu gesticules et quoi tu ris
Audace Audacieuse audacieuse mais quoi tu vis
Que ce n’était pas cela voir se voir dans un miroir
Triste mouroir rire est ce politesse de désespoir
Savoir plaire déplaire savoir savoir et puis savoir surtout tout oublier
A moins que ce ne soit encore soutenu par Marie José oublier
Tous tout le papier le chant la couleur tout lancer
Tout balancer dans l’abîme Tout donner pour ne rien prendre
Qu’apprendre prendre est un joli scaphandre quand on n’a rien donné
A part l’amour et l’amitié de revenir tel le scolopendre
Gesticuler de gauche à droite de droite à gauche vers la mer en allée
L’éternité Quoi Marie José Abandonner la mer en allée
Abandonner le ciel bleu les fleurs minuscules offertes Ă perte
En collier revenir fallait oser jusqu’au bout abandonner
Tout tous à qui qui qui à ceux qui t’ont donné
Qui n’ont donc rien appris qu’on ne prenait jamais que la mer revenue
Le ciel bleu et l’éternité pour obtenir ce sourire ce rire ce mourir ce vivre
Dieu que la mer semble démontée allons marine audace encore livre
Reviens oser le ciel est beau€ la mer est verte la fenêtre ouverte vivre
Suivre dépasser revenir revenue le revenant s’amuse O Muses
Que vous m’avez fait pleurer rire et puis la ruse m’use
Aimer n’est pas suffisant pour aimer il faut savoir s’abandonner fuses
O Magie Rosée s’il suffisait de rimer Charmante buse
Tu n’as jamais su ce qu’était aimer Moi pauvre de moi
Je n’ai jamais su que l’amitié ne cause pas d’émoi crois moi
Aimer un ami un coéquipier c’est mieux qu’un Roi
On n’en rit pas on n’en pleure pas on n’en joue pas
On ne discute pas allez pas Ă pas laisse toi ami dans le miroir
Allez pas Ă pas laisse toi aller Ă jouer avec qui mais Ă papa
Une maman un enfant qui dans le pré vert le ciel orange
La fen$être ouverte ou bien fermée laisse aller se dire
VoilĂ donc qui je suis et en sourit ! et en sourit ! et en sourit !
Que les amis soit aimés ou bien chanté ou bien rit
On ne peut désormais plus en douter Marie
Qu’ils n’aient rien à donner aussi
Qu’ils fasse mal la poésie aussi
Qu’ils repassent le drap du lit qu’ils défassent mal les plis qu’ils
Passent et repassent par dessus les pissenlits pis qu’ils
Se passent du ricil sur les sourcils qu’ils
S’égarent au loin se garent prés vers la fenêtre ouverte ils
N’en sont pas moins revenus nus ou couverts ces presqu’îles subtils
Mon vœux cher anamitié si je n’ai su moi aussi bien donner
C’est d’avoir pris qu’il ne fasse pas le moindre plis que je suis
Ton ami Ah rit rit donc j’ai eu tout ce que je voulais
Tu as pris ce que tu voulus jeté ton dévolu par la fen$etre ouverte
Le ciel bleu la mer verte et retrouvé devant tes yeux cernés certes
Ma blague en Miroir oblique te faire de nouveau rire
A moins que ce ne soit mourir de vivre vivre vivre faut bien vivre de mourir
Ce bon père Démocrite n’était pas hypocrite n’était-ce pas Héraclite
N’était ce pas Démosthène cet amas hétéroclite est il encore hiératique
Ah si seulement tu étais là Magie Rosée osant me posséder
Me désosser je retournerai et retournerai poëter chere Marie José
Me construire le murmure mûr et très certainement chuchoté
Lequel tu préféras écoutes bien aimer et moins aimer aimer
Très chère anamitié mon amour ma beauté tourne la page
Et lit vas te faire fouailler va te faire mouiller sous l’orage
Qu’une rage raz la page te prenne car je suis le fou le plus sage
Celui que je sais avoir hanté marge à droite à gauche marge
Et plus rien plus rien ne me fait douter je suis un écrit vain
Un bout de pain un verre de vin je suis du café au lait
Olé Maria José il faut savoir oser et oser jusqu’au bout en avant
La route est dure mais elle est Belle est la mer est verte est le pré est bleu est le soleil savant
Le cresson violet les roses roses et les belles en allée me font moi aussi revenant
Vous déclamer foutre Dieu qu’on ne joue pas à l’amitié
Aimez aimez j’aime bien chanter si vous avez joué allez Café
Trempez croissant de lune au reflet la mer ondulée
Le cresson bleu la fenêtre ouverte ou bien fermée
Deux trous de c$ôté zou repassez mariée Marie Maria José
Me dire Je vous souhaite le bon jour de Magie Rosée
Je suis une vieille légende un amour du passé une amie
Un rire un ordre un jeu un lacet un pleur un demi
L’ennemie de vos cœur l’amie de votre vie l’amour qui n’a jamais
Su autrement aimer aimer et puis quoi c’est déjà assez
J’en veux un dernier vous passez j’en suis aise
Je ne veux qu’une belle ne doive qu’à son aise
Ce qu’elle doit de prendre et surtout qu’à l’aise
Elle puisse toujours au bord des falaises
Tout abandonner Tout Tous fadaises
Qu’on lui donne à son tour prothèse sur mortaises
Le baiser osé posé rosé d’aimer l’amitié bébé
Aimant toujours aimer ami ami à moitié
Disons revenue posséder un corps encore
Moins désossé qu’à moitié dévoré de ses sorts
Puis que la mort lasse elle fît ce que font les délaissés
Le mort pour mieux expliquer – c’est du papier - que la paix c’est
De vivre en riant en souriant de vivre de mourir
Et de mourir d’aimer même à moitié pardonnée
D’avoir vécue de vivre et crue un jour devoir un jour
Abandonner Magie rosée ! le ciel est bleu la mer verte ma fenêtre
Est ouverte comme un tombeau aimant filer Ă deux cent vingt au compteur
PrĂŞte pour toi Ă me damner ? ah pardon pardon pardon
Je ne voudrais moi pas exagérer moite moite moitié retournée
Ma main s’en est en allée allez allez alléluia Maria
Gloria in excessis deo revient moi Bella osée
Ma main s’en est allée t’ai je rescussitée ? le ciel bleu la mer verte
Ma fenêtre ouverte ou bien fermée je n’ouis de toi rien que couverte
Que le beau titre de découverte et le sol se dérobe
Et je chancelle et je balance c’est extraordinaire le papier job
Me manque de quoi une dernière clope clopin clopant
Qui brille un peu ah dernier jeu au fond de tes deux yeux
Mouillés d’étoiles la mer $$$bleu le ciel beau que n’ai-je
De quoi parfumer un peu
tes doux cheveux …
A cette géométrie mon compère la bête aux longues dents et grandes oreilles vendait ses femmes fontaines piégée de larmes d’Eros et de sueurs délicieuses le sang de ces pucelles désirant TOUT que je leurs fisse plaisir se vendait entre deux Rois Mages le Prix de la paix et le magicien dit encore : « Je VIS ! Tu VIS ! NOUS VIVONS ! VOIS »
Mais le petit poucet riait en paix
Alors je pris un de ses cailloux le soulevant un ver orange circula lentement d’en dessous et le Magicien redis « Manges le ver et comprends que rien n’explique le ver ici et maintenant » le marchand aux longues oreilles s’approcha et goûta la bête. Son goût fade et sucré le fit sourire puis songer . « peux tu m’apprendre O magicien ? » Le magicien dit « soulève le cailloux et le voleur ne vit rien le Magicien dit « Vois et Entends . Tu voudras jeter cette pierre car elle ne couve pas c’est pourquoi la bête ne te nourrit pas et que tu vends des cailloux Or il arrive qu’on achète tes cailloux lorsque tu ne les jettes pas Et que l’on trouve à fabriquer des maison avec Pourtant rien n’explique au fond les maisons Ainsi du ver » L’homme partit en pleurant le premier.
l'écriture des morts (suite)
26 aoűt 2008 - 11:37
fendille dans mon cœur au creux de la poitrine comme au premier jour quand j'ai serré mon sexe en pensant que nous ne ferions ferions jamais l'amour. Mais jouissance était alors ton absence comme un arbre aux minuscules ramures noires qui se fendillèrent dans ma poitrine. Je sais aujourd'hui que c'était ce fendillement à l'endroit de ma jouissance qui me faisait aimer l'amour.
Tout cela tu l'oublieras car ton lourd sceau marqué contre mes tempes c'est ton amnésie que tu m'offres tandis que je suis seulement riche d'une immense tristesse d'être habité de froid. Ce qui pour toi est le signe que rien n'est possible pour moi est le signe que tu es redevenu libre.
Ces phrases se sont enroulées elles ont dessinées une danse qui flottait, à présent elles flottent devant mes yeux, phrases que j'ai voulues simples dans la forêt des signes que tu m'as donnés pour me deviner et qui disaient dans le silence de ton regard combien tu m'avais aimé.
Toutes les femmes sont devant les hommes sans secret avec leurs poings et leurs silences est comme un poing et leurs paroles est comme un poing et l'on ne sait si ce sont les hommes qui sont sans secret ou les femmes mais les hommes sont sans secret sans quoi les femmes n'ouvrirait pas leurs poings pour caresser et qu'elles n'auraient pas la beauté du silence elles n'auraient pas de beauté du tout elles se taperaient le ventre avec les poings et il n'y aurait que des cris. l
-a
Aujourd'hui sans doute je suis mort et cette go" est morte aussi et il n'y a personne pour me sortir du tombeau. L'enfant que je fais naître est un enfant qui porte mes rides. Il n'est ni beau ni laid. Il existe sans me connaître trop occupé à vivre pour un petit temps sur la planète. Il ne sait même pas que je n'avais aucun secret et que les hommes ont si peu de secrets. Qu'importe son sexe à présent que j'ai rejoins les ombres.
La Mort doit être une femme, une femme à qui on ne résiste pas, une de ces femmes poétiques pour qui se tait et contre laquelle on reste
La compassion ne l'habite pas. On prête de la compassion à la Mort quand on est atteint d'une maladie qui fait souffrir. Sûrement on est idiot de dire cela. Sûrement je suis idiot.
Tout cela tu l'oublieras car ton lourd sceau marqué contre mes tempes c'est ton amnésie que tu m'offres tandis que je suis seulement riche d'une immense tristesse d'être habité de froid. Ce qui pour toi est le signe que rien n'est possible pour moi est le signe que tu es redevenu libre.
Ces phrases se sont enroulées elles ont dessinées une danse qui flottait, à présent elles flottent devant mes yeux, phrases que j'ai voulues simples dans la forêt des signes que tu m'as donnés pour me deviner et qui disaient dans le silence de ton regard combien tu m'avais aimé.
Toutes les femmes sont devant les hommes sans secret avec leurs poings et leurs silences est comme un poing et leurs paroles est comme un poing et l'on ne sait si ce sont les hommes qui sont sans secret ou les femmes mais les hommes sont sans secret sans quoi les femmes n'ouvrirait pas leurs poings pour caresser et qu'elles n'auraient pas la beauté du silence elles n'auraient pas de beauté du tout elles se taperaient le ventre avec les poings et il n'y aurait que des cris. l
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Aujourd'hui sans doute je suis mort et cette go" est morte aussi et il n'y a personne pour me sortir du tombeau. L'enfant que je fais naître est un enfant qui porte mes rides. Il n'est ni beau ni laid. Il existe sans me connaître trop occupé à vivre pour un petit temps sur la planète. Il ne sait même pas que je n'avais aucun secret et que les hommes ont si peu de secrets. Qu'importe son sexe à présent que j'ai rejoins les ombres.
La Mort doit être une femme, une femme à qui on ne résiste pas, une de ces femmes poétiques pour qui se tait et contre laquelle on reste
La compassion ne l'habite pas. On prête de la compassion à la Mort quand on est atteint d'une maladie qui fait souffrir. Sûrement on est idiot de dire cela. Sûrement je suis idiot.