miel d'orange

Le hasard est un simple mot. Point final.
Rien n’arrive pas hasard…tout à un sens.
Si tu ne comprends pas le destin, son sens… tu vas inventer un mot pour expliquer ton handicape à comprendre, et c’est là qui interviennent des mots, tel le hasard.

Si la population mondiale atteint ce chiffre, ca va être la fête entre nous.
Déjà les autres créatures vivantes, ne seraint plus qu’un vieux souvenir.
J’imagine aussi des scènes de barbarie…genre les jeunes qui bouffent les vieux, ou encore des cadavres humains que l’on vend dans les magasins, ect…

Tout d’abord, il faut comprendre que nous ne sommes pas ici par hasard. Notre vie, bien qu’éphémère et insignifiante doit contraster avec le destin de l’univers, et pour comprendre cette notion existentielle, il faut aimer la science, mais pas au point de l’idolâtrer et d’en faire la nouvelle inanité contemporain.
Notre belle planète abrite la vie, qui sans une raison subjective, précise et prédéfinie, ne pas avoir de sens utile. Il y a donc un sens significatif et utile à la vie, qui à son tour doit inspirer nos choix.
Il faut aussi comprendre que nous avons tous une mission commune à côté de notre mission individuelle, et chacun de nous doit prendre ses responsabilités vis-à-vis de son prochain et des siens.
Homme et femme doivent chercher la vérité absolue, et s’en tenir à vie, puis aviser des choix déterminants, libres et responsables au profit de la postérité.
La poésie quant à elle, et même l’art, et plus particulièrement la philosophie, peuvent jouer le rôle d’un passe temps pour les plus chanceux, mais pas au-delà…il ne faut surtout pas nuire aux révérences divines.
La poésie ne doit en aucun cas altérer la pensée, car elle n’a jamais été une révélation connue, mais plutôt adhérer à cette dernière et former une vision monoïque, qui doit avoir pour rôle d’unifier l’inspiration dans son sens le plus spirituel qui soit, et de ce fait observer de manière objective le fruit et de sa spiritualité et de son intellection.

L’histoire fait l’homme, et l’équation véridique de ce que nous sommes suit toujours le même itinéraire.
Il y aura toujours des guerres, comme il y aura toujours la paix en face. Les deux sont nécessaires pour que mal et bien voient le jour.
La pauvreté doit s’esquisser sous toutes ses formes, tout comme l’aisance,… les croyants ainsi que les mécréants existaient et doivent continuer à exister et peuvent perpétuer le mépris qu’ils se sont toujours confessés. L’ordre du monde est ainsi.
La démocratie, le mondialisme, et toutes ces convictions humaines n’y peuvent rien.

Utilise-on toutes nos capacités intellectuelles pour parfaitement réfléchir? À mon sens nous n’utilisons que cinq pour cent de notre cerveau pour conduire nos sociétés et construire la civilisation humaine.
Nos sens organiques sont –ils complètement parfaits, pour voir toutes les réalités à commencer par l’invisible, ou tous ces autres aspects de la pensée humaine qui restent souvent mystérieux….l’homme est-il assez vrai pour voir tous les angles spirituels de son âme, des matières errantes, ect… ? La réponse est non.
Notre intelligence est beaucoup trop limitée pour cela… nous mourrons, nous sommes faibles, ignorants dans la plupart des cas… nous sommes rien dans l’univers, et l’univers est peut être rien, et est quasi inexistant dans les vrais frontières de ce qui existe.
L’homme a donc besoin de dualisme pour progresser, transcender, et continuer à approcher sa propre nature qui le condamne à se corriger, et c’est cela qui le rend juge vis-à-vis de lui-même, puis ensuite vis-à-vis d’autrui.