miel d'orange
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Publications sur Toute La Poésie
Je sais enfin que Le temps modèle notre ipséité. Fertilise en un rien le caractère De...
27 juillet 2011 - 08:14
Le temps modèle notre ipséité.
Fertilise en un rien le caractère
De nos monoïques avec velléité.
J’ai découvert que
L’être enfermé dans son image
S’en ira comme le néant sans vie!
Désunis d’aveux et d’hommages.
A moi les mots
21 juin 2011 - 08:41
Les cieux et tes yeux
À moi notre intime évasion
Et les ombres sacrées et les sourdes nuits.
Non….non !!
À moi la soie de ta paume
Les ailes de tes caresses
Et les larmes de nos ivresses.
À moi le souffle de nos lettres
À moi les maux du plaisir
Et le sens d’être exact.
À moi les refrains
Et l’encre parfumé de ton âme
À moi la romance des fleurs.
Loin cependant
Si proche de l'impossible
Je suis loin
Tel rien ou l’atmosphère
Ou l'impossible éther
Dans le lointain inconnu
Je suis loin
Devenu inquiet
Ruiné
Par les déboires de tes affres
Devenu seul
Loin de mon temps
Je n'ai plus rien.
A moi les mots
21 juin 2011 - 08:40
Les cieux et tes yeux
À moi notre intime évasion
Et les ombres sacrées et les sourdes nuits.
Non….non !!
À moi la soie de ta paume
Les ailes de tes caresses
Et les larmes de nos ivresses.
À moi le souffle de nos lettres
À moi les maux du plaisir
Et le sens d’être exact.
À moi les refrains
Et l’encre parfumé de ton âme
À moi la romance des fleurs.
Loin cependant
Si proche de l'impossible
Je suis loin
Tel rien ou l’atmosphère
Ou l'impossible éther
Dans le lointain inconnu
Je suis loin
Devenu inquiet
Ruiné
Par les déboires de tes affres
Devenu seul
Loin de mon temps
Je n'ai plus rien.
sans titre
07 juin 2011 - 11:20
Mon hêtre tremble.
Son être est lumière.
Ensuite partit l'envie de souffler
L’espoir !
De souffler juste
La pudeur de ma terre !
Puis vint l'emprise du sens
Inconnu !
Et même de l'éternité
Puis la raison
Du contacte
Mais jamais la nuit
Que l'âme
De cette femme
Ne m'aura jamais léguée
Et je m'en veux.
au sens de l'amour
05 juin 2011 - 09:54
Il me semble que notre foudre
Ne s’en ira plus voler de ses ailes
Ni même être bleue comme les cendres
Avinées de tes affres inutiles.
Ta chair stérile et fragile
Sera juste l’étincelle de mon soliloque
Et sous les muses de l’olympe docile
De mes vœux naitra ton époque.
Viendra vraisemblablement encore une fois
La caresse bleue ! la céleste balsamique
De notre complicité. Aussi quelque fois
Notre plaisir se ressaisira en toute logique.
Notre joie atteinte d’une amnésie !
Navrante, se souviendra du sens facile
De ce que fut une vieille frénésie
Aussi pathétique du sens que fragile.