"A gribouiller mes mots de gorge sèche"...gribouilles-les, gribouilles-les. pour notre grand plaisir.
Grosse bises.
PL
Et oui Patricia, de la gribouilles. Mais la poésie doit bien se cacher là .
Bises
Richard
richard TR n'a pas encore ajouté d'ami.
07 septembre 2009 - 12:06
"A gribouiller mes mots de gorge sèche"...gribouilles-les, gribouilles-les. pour notre grand plaisir.
Grosse bises.
PL
07 septembre 2009 - 10:52
L'inconscient de mon rêve
Au tard Je suis parti sur ma barque
Remontant quiet le fleuve de la nuit
Il fut temps osé que je vous décris
Quand j'ai traversé avec peine le maudit
De ses heures rivées sur le grand arc
Ma barcasse filait sur les flots sages
De la pointe des bonheurs authentiques
Quand le bleu de l'azur emblématique
Forme la voute d'un monde lunatique
Et que votre âme curieuse là s'engage
Au loin de ce monde d'un au delà pernicieux
L'eau de ma rivière m'emportant au loin
S'est asséchée, alors comment prendre bien
Les monstres les plus fous ne sont rien
Comparés à ces êtres aux râles vénéneux
Ils voulaient me piquer comme serpent
Dont la langue vous offre son fiel
Mes amis lui ont jeté sort du plus bel
Cet effet qui transperce la nuit éternelle
Mais voilà que le désordre se fit dément
J'ai vu dans le fond noir d'un au-delÃ
Mon cadavre qui avançait vers moi
Me disait là n'est encore ton toit
Sur le chemin du monde étoilé au loin
Tu retrouveras ton soleil se lever là -bas
A la proue de ma barque un cadavre ouvrait les portes
De cette eau qui manquait attachante a ma navigation
J'ai redescendu l'arc de la nuit pour retrouver ma positon
Petit à petit les anges terriens me souriaient d'attention
Ah te revoilà , pourquoi chercher le graal des illusions
Moi le graal je ne le voulais pas je n'étais Dieu
Mais un humain qui aux clartés inspirés de la lune
S'était endormi dans les bras des belles dunes
Celles d'une Morphée attentive à me bercer comme plume
Dans les mondes où jamais je n'atteindrai les bons lieux
Votre beau rêve se promène sage sur la voute céleste
Celui de votre inconscient qui reprend la folle conduite
De votre existence de troubadour pour être son exigence
Voir le beau, l'interdit, la féérie, la déité, la puissance
Que ce monde réel ne sait vous offrir d'existence
☼₣€
07 septembre 2009 - 10:46
La fixité du ciel bleu
dardée sur moi
telle un regard,
les ruissellements de soleil
verticaux qui collent aux murs
l'épaisseur de leur sirop roux.
C'est septembre,
le pur,
le mûr.
Un mystère
qui me traverse.
07 septembre 2009 - 08:30
Il s'approcha de ma silhouette enfouie dans le lit et sepencha à mon oreille. Il prononça distinctement, d'une voix forte qui mesurprit (et dans ma langue), je m'en rappelle, ce haïku :
Coucou de passage
Il y a bien longtemps
Je te salue
06 septembre 2009 - 11:11