Ninon

17 février 2010 - 04:15
15 février 2010 - 08:03
Jentends raisonner au loin un refrain redondant
Souffle la musique lisse ma peau
Glissent les chaines coulent les eaux.
Trois couleurs un soupçon, oh rancunes apostrophées
Le temps viole et mon cur désarmé
Bat à lencre noir contre ma peau de chagrin
Lemprunte éternelle des lendemains et des lendemains.
Oh cascades sempiternelles mon amour exilé.
Oh voyageur dans le ciel, ni patrie ni maison, ni baisé familier.
Mon âme de nomade me brise le cur.
Cette vague, une ballade nocturne
File et se détache, lumière brune
Qui ne se pose oh regard décume.
Alors je marche et je marche comme un bohémien
Sans passé sans présent sans destin
Et lamour tout entier sans corp sans dessin
Enveloppe mes pieds, baise ma bouche et caresse mes mains.
Kim
Janvier 2010
01 février 2010 - 09:42
01 février 2010 - 09:31
01 février 2010 - 09:30