C'est bien vrai !Comme quoi les choses ailées ne sont pas toujours des choses zélées.
Il faut toujours se méfier des lépidoptères, fussent-ils lêcheurs-pompeurs !

J.
jacquolarime n'a pas encore ajouté d'ami.
03 mars 2011 - 07:59
C'est bien vrai !Comme quoi les choses ailées ne sont pas toujours des choses zélées.
01 mars 2011 - 01:27
Merci Jacques pour cette lecture critique et attentive.
Glissé se rapporte bien à la steppe, c'est bien elle qui glisse dans cette vision d'un autre temps. Cette steppe, c'est deux touffes de sol rare et c'est bien le sol qui est inconnu (étant rare) de la guêpe. Il faut dire que ça glisse beaucoup dans cette histoire et que les accords doivent suivre.
Quant à la petite bête, ça tombe bien un chat noir aux yeux vairons, ça peut le faire aussi.
01 mars 2011 - 12:52
Dans l’œil de ce chat noir, il est presque minuit ;
Dans son iris d’or jaune a glissé de la steppe,
Deux touffes de sol rare, inconnu de la guêpe,
D’une herbe sans mémoire et qui jamais ne fuit.
01 mars 2011 - 11:50
La chute assure le retour à la plage et la mer. Voilà une histoire bouclée.
Sauf erreur, le 9ème vers me semble trop court.
28 février 2011 - 12:31