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jacquolarime

Inscrit(e) : 26 févr. 2011
Hors-ligne Dernière activité : mars 03 2011 07:59

Messages que j'ai posté

Dans la publication : Le papillon lubrique

03 mars 2011 - 07:59

Comme quoi les choses ailées ne sont pas toujours des choses zélées.

C'est bien vrai !
Il faut toujours se méfier des lépidoptères, fussent-ils lêcheurs-pompeurs ! :P

J.

Dans la publication : Dans les yeux du chat noir

01 mars 2011 - 01:27

Merci Jacques pour cette lecture critique et attentive.
Glissé se rapporte bien à la steppe, c'est bien elle qui glisse dans cette vision d'un autre temps. Cette steppe, c'est deux touffes de sol rare et c'est bien le sol qui est inconnu (étant rare) de la guêpe. Il faut dire que ça glisse beaucoup dans cette histoire et que les accords doivent suivre.
Quant à la petite bête, ça tombe bien un chat noir aux yeux vairons, ça peut le faire aussi.


OK ! Je n'avais pas saisi que la locution "de la" était partitive du sujet "la steppe". D'ailleurs, j'aurais dû remarquer la virgule après "steppe", qui eût été inutile (sinon fautive) si "touffes", mis en apposition à "steppes", avait été sujet de glisser.
Toutes mes excuses pour cette remarque inappropriée.

J.

Dans la publication : Dans les yeux du chat noir

01 mars 2011 - 12:52

J'aime le souffle épique de ce (long) poème.

Toutefois, et à moins que je n'aie rien compris (ce qui n'est pas à exclure !), dans la strophe :

Dans l’œil de ce chat noir, il est presque minuit ;
Dans son iris d’or jaune a glissé de la steppe,
Deux touffes de sol rare, inconnu de la guêpe,
D’une herbe sans mémoire et qui jamais ne fuit.


n'aurait-il pas fallu écrire : "Dans son iris d'or jaune ONT glissé de la steppe,
Deux touffes de sol rare, INCONNUES de la guêpe(...)"

Toutefois, si l'épithète INCONNU se rapporte au syntagme SOL RARE, il serait peut-être préférable de dire : "Deux touffes DU (ou D'UN) sol rare.

Mais je cherche peut-être la petite bête ?...

J.

Dans la publication : L'épave

01 mars 2011 - 11:50

La chute assure le retour à la plage et la mer. Voilà une histoire bouclée.
Sauf erreur, le 9ème vers me semble trop court.


Le "h" de "hurlement" étant aspiré, le compte me semble bon :
J’en/tends/ l’in/su/ppor/ta//ble /hur/le/ment /des /scies

Je concède, toutefois, que le "ble/hu" ainsi créé n'est pas des plus heureux... J'essaierai de trouver mieux :(

J.

Dans la publication : Jour de pluie à Venise

28 février 2011 - 12:31

Quel bonheur de te retrouver ici.

Superbe poème, bien sûr !

Jacques