Le dipsomane

Thank's to your com! It was my first English poem! 

When an old strange tree has lost all its leaves
The wind of shame acclaims its life which leaves.
A girl sits in a horror show and of distress
She want to sleep on him to feel the world in less.
She's like a frail flower shattered in the disgrace
Who will never find again the sunny grace.
Her hand unfearly slowly caressing
The strong skin of her host. She's guessing
All its dark problems without any answers
'cause she has lived them also as all flowers.
If we can't see the light in the sky
It fall a cold rain and birds can't fly.
So she's blending her greatest feeling
With her fellow for stop their bleeding.
Together they can detect the definition
Of their futur where love is in action.

REDEMPTION.

 

Fin de A.R

Dyonisos qui couché

Caresse la vigne.

Rivière sibylline

Abreuve l'évêché!

 

Son savoir ancestral

Traverse les âges,

Comme heureux présages

De ce grand vin austral.

 

Ils partagent et rient sourds,

Les ventres qui bien lourds

Baignent de libations,

 

Se raprochent dans les champs

A ceuillir dans des chants

Les grappes d'Oraison.

 

Bordelaise floraison.

Moi! L'esprit juvénile,

Taraude la limite

D'abimes, au vil

Létale et noir granite.

 

Danse, danse Chinouck

S'exclament les Anges.

Israfel bat le souk

De sa lyre à franges.

 

Mon âme flanche quand

Réchauffe toute haine

D'un balai de Cancan.

 

Nourricier d'Atrium,

Je m'absouts de ta chaine

Et t'expulse au Caecum.

 

Conscience d'Homme

Quand l'écriture accidentée

Vient traduire l'immensitée

Comme un besoin méthaphysique

De rendre vie à l'identique.

 

Plus d'interdits! Vole bannière

De liberté! Bat la barrière

De ta plume de contre sens.

Plus d'enclise à ta naissance

 

Car devant toi, l'aube du Jour

Est immense! Bouge, va vite!

Rompt l'essence que prend "Toujours"!

 

Dogme sécure, institution.

Soit Pagane et crée un mythe,

Qui restera l'Enfant de Sion...

 

Beat Génération.

D'une larme aux beaux yeux

Va, avance, Ô Driade.

Sur un fleuve au court vieux

Qui s'étend de myriade.

 

Danse et chant béliqueux

Recouvrent la tyrade,

Qui se meurt au doux creux

Dans un balet de cascade.

 

Jamais plus fabuleux

Que la belle accolade,

Sous l'étoile et les cieux

Où la mer se balade.

 

En mon coeur si heureux

Qui retrouve Escapade

Qu'en baignant de soyeux

Son offrande à Thyade.

 

Douce Noyade

Bonsoir, merci de votre interprétation, celancontribu a faire vivre la poesie. Votre remarque m a fait ajustée mon écrit mais il me semble que pour la deuxième asile étant masculin le e muet s applique et je compte 12. Mais étant autodidacte jeeux me trompé. En tout cas n hesitez jamais a commenter cela fait progresser , merci.

A demi assoupi et ivre d'éphémère,
Je succombe où se perd la belle nuit dernière.
Du volet entre ouvert dansent lune et soleil,
Faisant naitre un vaste monde, clair et sans nul pareil.

Renversée en son corps, coule de sa chemise
La liqueur de passion qui se fait gourmandise.
Je lappe la lueur glissante du nombril
Si fertil jusqu'au cou. Je navigue un grand Nil.

Et je suis le passeur, ma pirogue est légère.
Je pourrai m envoler vers la terre ou poser
Mon âme frêle, au sein de ton champs de prière.

Pourvu qu'au lointain large existe telle brise.
Que ma main hésitante d' asile, va oser
Sa caresse, au matin, sur ma môme et promise.

Virevoltante devise.

Inaugurons là, notre toile

Qui choit d'un poids léger d'union.

Le chevalet droit vers l'étoile

Et le regard perdu de Sion.

 

Vagabondes sont les caresses 

Sur ce pinceau qui vint blottir

Le mouvement né de tes tresses.

Et quand tu vas te dévêtir,

 

Quelle vision de couleurs vives.

Giclant, coulant, rampant, saignant.

Ô adjonctions si successives!

 

Impressionnistes! L'âme vaillante

Dans ce tableau d'amour gagnant,

S'en voit figée et bienveillante.

 

Passion saillante.

C'est très vrai, le sacrifice sur l'autel de la sainteté n'octroiera jamais la liberté de respirer pour les impies et décideurs de ce monde. Revenir à la trivialité des pensées propres fait de nous des parias! Un cri étouffé dans l’acouphène des sociétés actuelles.

Mirez bien tous le jour sur le sol inviolé,

Quand la nuit vient se perdre où la lune chagrine.

Ce routard s'est perdu en chemin endiablé,

Marchant seul, un matin, la route très maligne.

 

Là où l'air, sur les pas d'un désert affectif,

S’élève au grand jamais dans la fraîche rosée.

Un aigle fait le tour du soleil attractif,

Pour fondre sur la bête esseulée, exposée.

 

L'invisible empoignée aux serres de l'oiseau,

Vient planer. L'infinie ou les voies empourprées,

Dessinent l'horizon du libre damoiseau.

 

Trop immense est le dieu qui cueille le grand mal

De cette âme oubliée. Au moment des vêprèes

Naît l'homme qui se meurt, placide comme animal.

 

L'anormal.

Mon âme est affamée
du festin bien trop loin.
De ta peau embaumée
au lilas et benjoin

 

C'était le temps où ce couplet

S'en effleurait de douces courbes.

Quand tes jarrets, bien frêles et fourbes,

Bougeaient du chant sans le souffler.

 

Le vent qui prend, tôt le matin

Le droit chemin, des belles boucles

Devant l'éclat aux escarboucles.

Et dans tes yeux, un air mutin...

 

Belle amie, Toi! Il conviendra

De faire à nous une pastelle,

Quand l'avenir accomplira

 

Notre bonheur de chaque instant.

Ma larme à toi, va et chancelle

De l'émotion.. A toi longtemps.

 

Le chant d'amant