max24

Un jeune loup se traîne sur la plaine gelée.
Sur son pelage des gouttes écarlates sont éparpillées,
La détresse de cette scène ne peux que nous désoler
Mais dans ces yeux nous voyons la haine et la colère brûler.
 
Chaque épreuve qu'il a réussi à surmonter
D'une flèche il s'est vue transpercé.
Il a compris ce qui composait son monde
Un goût de bile dans sa gueule remonte car il le trouve immonde
 
Dans ce genre de monde personne ne peut rester immaculé.
Les innocents finissent toujours par se faire dévorer.
Un loup est désormais prêt à se déchaîner.
Sa fourrure imbibé de sang et des yeux remplit du feu verront le monde brûler. 
  

Une plaine de neige à perte de vue.

Un loup avance doucement.

Avec pour seul compagnon la solitude.

Qui le mord inlassablement.

Désespérément à la recherche de chaleur.

Qui réchauffera, il l'espère, son cœur.

Il ne veut qu'une rencontre avec le bonheur.

Malheureusement celui ci n'est pas à l'heure.

Il hurle à la lune sa tristesse.

Mais aussi exprime sa haine.

D'être le dernier de son espèce.

Que son but, son existence soit vaine.

Sur une plaine blanche.

Il y a ce petit point noir.

Transpercé par des lames de froid jusqu'au manche.

De ses plaies coulent ses espoirs.

Dans la vie l'objectif importe peu.

Ce qui compte est la route pour obtenir ce qu'on veut.

Mais ça n'a pas vraiment d'importance.

Quand il n'a pas un seul témoin cela perds son sens.

Le froid n'a jamais eu aucune douceur.

Sauf celle de la douce fin.

Il n'a jamais eu aucun honneur.

De la mort il aura toujours faim.

Sur l'aube d'une plaine enneigée.

Un loup ne s'est pas réveillé.

La neige recommence à tomber.

La plaine sans tâche noire est de nouveau immaculée.

Avez-vous déjà regardé un ciel étoilé ?
Le spectacle des étoiles vous a-t-il déjà fait rêver ?
Je crois que je suis en pleine hallucination.
Car je crois discerner une danse parmi les constellations.
 
Un ballet de danseuses étoile.
Les corps célestes drapés d’élégance.
Ondulent avec grâce et en silence.
 
Défuntes de ce monde, elles nous montrent la direction.
Je vous conseille de suivre leurs intuitions.

L'homme est prisonnier de ses chaînes. 
Pas de celles de l'esclavage. 
Mais de l'esclavage de la haine. 
Cette vérité a traversé les âges. 
Elle coule dans nos veines. 
C'est notre héritage.

Viens tu ? Viens tu ?
Au pied du grand chêne.
Là ou ils ont pendu un homme remplit de haine.
Te rappelles tu de cette époque révolue ?
Ou tu as fièrement combattu .
 
A cette époque tu étais si fier.
De montrer ta valeur guerrière .
Tu étais toujours prêt à croiser le fer.
Pour protéger nos terres .
 
Viens tu ? Viens tu ?
Au pied du grand chêne.
La ou nous avons vécu notre toute première fête.
 
La première fois ou tu m'as courtiser.
Devant moi tu t'es agenouillé.
Et lentement ma main tu as embrassé.
Puis tu m'as emmené danser.
 
Viens tu ? Viens tu ?
Au pied du grand chêne.
La ou tu m'as promis qu'à jamais tu m'aimerais !
 
La ou nous nous sommes épouser.
La ou notre amour fut scellé.
La ou ma vie s'est remplie de lumière.
La ou le soldat a épousé la fermière.
 
Viens tu ? Viens tu ?
Au pied du grand chêne.
Qui une nuit d'orage fut détruit par la foudre.
Ce soir j'ai compris qu'était mort mon amour . 

Ce qui m’arrive est sale.

Et empire avec le temps qui passe.

J’ai l’impression que me transpercent des centaines de balles.

Elles éteignent peu à peu ma flamme et je deviens de glace.

Je ne savais pas à quel point ça fait mal.

Quand tu sens ton cœur qui lentement se fracasse.

Je suis perdu dans le noir.

La punition pour avoir cru en la vie avec espoir.

Maintenant j’erre simplement dans le désespoir.

Les reflets de mes échecs me hantent se reflètent dans un miroir.

A la fontaine de la vie je ne peux plus boire.

Le Loup hurle pour saluer l’arrivée du soir.

L'être !

Une personne ne saurait être éternelle
Être immortelle n'est pas de nos privilèges
Une seule chance ne la prenez pas à la légère
C'est une merveille autant qu'une interminable guerre

Une solitude !

Ne vous fier pas à votre esprit vous êtes seul
Qu'importe si vous regardez la vie d'un bon ou mauvais œil
Qu'elle soit remplie de tristesse, de haine, de joie ou d'amour
Quel que soit votre fin vous serez seul pour toujours

La vie !

La vie est une explosion de couleurs et de sentiments
Qui vous plonge dans divers envoûtements
Pour essayer de profiter de chaque instant
De cette histoire pleine de rebondissements

Rébellion !

Mais qu'importe toute cette tristesse
Qu'importe cette allégresse
Qu'importe cette solitude
Et au diable cette conclusion morbide

Vivre !

Mais je sais en cet instant
En cet instant je la regarde
Quand je la regarde je sais qu’elle est belle
Et c'est tout !
Et cela qu'importe le lieu où l'heure qu'il est...

Dans les premières heures du matin la nuit tombe
Symbole du chagrin de ce monde
Qui se souvient d'une blanche tombe
Du jour ou mon univers a explosé comme une bombe
 

Un innocent coup de téléphone

La voix triste d'une personne
M'annonce qu'elle est morte
Mon innocence en partant claque la porte
 

Est venu le jour du sinistre anniversaire

De ce moment qui en moi a déclencher une guerre
Le monde est devenu triste et austère
Car il est privé de sa lumière

Si pour toi j'écris tous ces textes

Que j'accomplis ce simple geste
C'est pour que tous puissent te connaitre 
Et que dans leurs pensées tu puisses renaître

Toi qui a pu appréhender mon être

Gardienne de tous mes secrets
Que le monde pleure ta perte
Pour toi c'est le moins qu'il puisse faire

La lune disparaît 
Le soleil apparaît 
Il fait briller les gouttes laissé par la rosée
Voila que commence l'été

Te voilà tu y es !
Voici le grand moment.
Celui que tu attends.
Celui dont tu rêves .

Le temps du baiser.
Début d'une grande épopée.
Celui du grand saut.
Celui où tu peux tomber de haut !

Une chute vertigineuse.
Dont l'issue pourrait être heureuse
Et pendant ces quelques secondes succomber à l'ivresse.
Et prier pour qu'elles ne deviennent détresse 

Voilà à ce que tu t'engages dans un premier baiser !
Voilà à quoi tu dois te risquer !

je suis d'accord ^^

Elle déclenche mes cinq sens

L'odorat !
Sentir son parfum délicieux
Est quelque chose de fabuleux


L'ouïe !
Entendre son rire m’enivre
Entendre sa voix m'émeut

 

Chaque esprit a son univers

Ses zones sombres et ses lumières

Brillent de joie ou disparaissent dans les ténèbres

De pensée glorieuse ou funèbres

Remplis de souvenir ou de mystérieux secret

Mon esprit est un gardien fidèle et discret

Les étoiles un écho de mes sentiments

Elles me guident à chaque moment

Je me dirige vers l'une d'elles

Sûrement une des plus belles

Je la prends dans mes mains doucement

Et l'étouffe lentement

Elle se débat futilement

En me montrant des images d'un ancien temps

Mais cela n’atténue pas ma colère ni ma haine

Dans mon cœur la vengeance règne

La lumière dans un cris disparaît