Aller au contenu

Igor Rodrigues Ramos

Inscrit(e) : 15 févr. 2013
Hors-ligne Dernière activité : févr. 23 2019 04:27

Publications sur Toute La Poésie

Je pensais à ces étoiles

03 septembre 2014 - 02:33

Je pensais à ces étoiles qui guident la lune,

Tu sais bien, ces étoiles qui s’allument une à une.

Elles étaient plus riches que la femme d’un roi,

Et ce doux rêve m’a mené à pensé à toi.

Sizain idéel

03 septembre 2014 - 02:33

Sous le soleil ou le lampadaire, les nations

Humaines aux enseignes lumineuses, réfléchissent.

Le flambeau s’allume à chaque génération ;

Les récents éclats éclairent ceux qui s’assombrissent

Comme si pour maintenir la flamme, les idées

Inédites voyaient le jour grâce aux plus âgées.

 

Mais parmi ceux qui ont des idées, vous qui en avez,

Dites-moi, combien d’entre vous les ont appliqué ?

Après cette nuit

03 septembre 2014 - 02:32

Chut ! Marche discrètement,

Tes pas sont beaucoup trop lourds,

Crois-tu que l’on est sourd

Parce que l’on dort fermement ?

Déplace-toi dans la lumière

Comme dans l’ombre un ninja,

Et écrit au poison amère

Ton départ d’ici-bas.

Embrasse-la tendrement,

Contemple sa figure, comme elle est belle,

Et puis dis-lui gentiment

Que cette nuit était atemporelle.

Surtout ne la trouble point,

Elle rêve si profondément,

Mais dépose avec soin

La fleur qu’offrent les amants.

Souvenir cubain

03 septembre 2014 - 02:31

Il s’en faut bien peu

Pour que nos cœurs crochent

A celles et ceux

Qui près de nous s’approchent.

 

Quelques regards,

Une discussion,

Et à l’unisson

L’on est hagard.

 

Et puis je me rappelle

Comment elle dansait ;

Telle une hirondelle

Pure qui s’envolait.

 

J’aime tant voyager

De contrée en contrée,

Mais son âme blanche d’hiver

Reste une terre de mystère

 

Tente encore de me distancer,

Je ne te laisserais plus fuir,

Car quand tout a enfin commencé

C’est quand je t’ai laissé partir.

 

Quatrain

16 octobre 2013 - 02:55

Je parais être un  scélérat

Mais certains à qui je parlais,

Qui, n'étant pas ce que l'on voit,

Sont, en vrai, ce que je parais.