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Posté par Ahmed Khettaoui
- 12 février 2018 - 12:28
Posté par Ahmed Khettaoui
- 12 février 2018 - 12:17
Posté par Ahmed Khettaoui
- 12 février 2018 - 12:03
Posté par Ahmed Khettaoui
- 12 novembre 2016 - 10:27
ô ami !!
***
Texte écrit en arabe par :Nabila Yahiaoui
***
Traduit au français par : Ahmed Khettaoui
****
Ce sont les rimes qui me fascinent
Toutefois, je ne cesse de feuilleter ses registres
Dissimulés dans les creux du silence
Tantôt elle m’amène aux bribes, aux lambeaux des souvenirs
Tantôt elle déterre, secoue la sueur de mon front
Et je me dissimule entre ses cris, ses gémissements !!!
Telle l’ombre, je m’exalte, telle l’auréole et lueur
Ainsi lorsque je déguerpis mon lieu comme un refugié
Alors, je ne trouverai guère ma pluie qui plantait mon rameau,
Et mon tronc
Telle une secousse ; un ébranlement cosmique
Telle une torpeur !!
Idem ma citadelle …et il me tue, ce dard de tristesse !!!
Elle criait : lasse, chaque jour ; dans mon for intérieur !!
Me voilà ; ô mélodie, voix éternelle
je sème à mes côtés ce qui reste de ta rosée !!
،
Ma rive ne sera nullement perpétuelle
Hélas , je ne réduis guère mes moments,
Tu ne m’atteins nullement à bord de la dernière gare !!
J’ai déjà recueilli le caillou de mon cheminement
Et je l’ai effondré
Telles les ailes des ténèbres !!
Ô ami !!!
Reviens aux bons moments d’hier, y se souviens de moi
Est-ce le chagrin Règne dans ma Cité ?
Au moment du départ, que se produit –il ?
O ami !!!
Où trouvais-je ces bribes ??
Dans les entrailles du jour ?
Ou à dos de la sècheresse des sentiers ?
Ou dans les allées des nuits sombres ?
O ami !!
Toi , qui frisonne en peine
Tel un chevrotement du crépuscule !!!
Ou dans l’hiver d’un été réprouvé ،
Ou dans les dédales du coucher du soleil
O ami !!
Entrecoupés, enlacés, moi et toi ; par ces maintes, tendres distances
Ereintés par des montagnes qui nichent, enclavent en Echoc : mes cris
Et mes soupirs, mes gémissements
O ami !!
Hormis, mes mains qui tisonnent ma moitié
En fade :
Hormis ; L’autre bout à la portée des ruines
Je vêts un habillement de vigueur, de vertu dans tes paumes
Les archipels, m’amènent à sillonner les blessures et les plaies
O ami !
O ami !!
Je désire les Cites d’amour en toute volupté
Tels que les intrus ; étrangers
Je me réveille des Cités en torpeurs entassées
Pour dormir dans le bruit ; la confusion de tes soirs
Dorlotée par les chants enfantins qui rétorquent
Qui suintent
O ami !!
Dans le désordre de ton chagrin et ton aspect séduisant !!
Qui-suis-je , et qui es-tu , ô ami
Dans le dissolu inappliqué des esprits vides
Et les hauts caprices
O ami
ô ami !!
Lorsqu’on récolte le pinard, ou vin tes des mots
De leurs racines et on s’apprête
A emprunter les pistes de l’univers en quiétude !!
En brisant les geôles de la flamme
En écrouant les chaînes dans leurs détentions!!
D’où vinrent, surgissent les lueurs de son absence
O ami !!
ô ami
Ce délire
Me vêts tel un pan
O ami !! ô ami !!
Et elle désire sans jouissance
Telle la terre, telle une broussaille,
Telle une déesse, pas comme les autres !
Posté par Ahmed Khettaoui
- 13 mars 2014 - 07:28
Auréole d’un regard
Ahmed Khettaoui / Algérie
Auréole d’un regard À toi : ma muse .
Hommage à un regard somnolent
**** ***
Au –delà d’une auréole,
Un regard illumine son asile …
demande l’aumône au destin !!
Pour compiler les vœux d’un exil
Au tour de son festin
D’y purifier ses ablutions ..
Au bord de son chagrin .. !!
Pour s’y abriter au-delà de son désir !!
Au –delà de son sourire !!
Peu importe le chemin qui le mène a son plaisir .
quoique parfois contre son gré .
et parfois contre son aube !!
*** **** ****
En guettant le gémissement de tes soupirs
à bord d’un doux vent ,
à bord d’une somnolence ..
à bort d’une indulgence
à bord d’une patience …
à bord d’une endurance ..
Aux ailes de tes vœux,, à bord d’un mirage ..
Qui accable ton soupir :survolant .
à bord d’une accolade pure comme un ange
Qui’ s’épanouit délicieusement ..comme une rose
Comme des chérubins entre tes bras..
Ô notre muse .. Suinte nous en gouttelettes ..
Au long de ton sourire .
Octroie nous le chant d’un rossignol .
Qui fit l’ombre de ta colombe
Offre-nous la tresse d’une fillette
On t’offre notre amour dans un bol ..
Ô notre muse ..ô notre muse ..notre chère .
Offre- nous -ta tendresse dans une tasse .
On t’offre nos retrouvailles ..dans une braise ..
Donne nous ta promesse
Étouffée dans ton (( stress).
On te rend ta détresse
Qui dort dans tes rêves .
. Ô .notre muse .. ô notre muse exilée ...
. ô notre chère adorable déesse.
Exilée entre outrages et entraves.
On t’attend au berge d’une patience ..
Au lit d’une endurance ..
Au pied d’une sentence épilée .
Gratifiée par notre trêve
Qui dénoue cette sentence en vigueur
.ô déesse ,n’aie –pas peur .
..
Tu es bien assistée, côtoyée .
On t’invite à une valse
Au bord d’un p’tit fleuve .
Couronné d’un bosquet ..
..on t’invite à une messe .
On t’invite a honorer notre mosquée .
On t’invite à enchanter un « saint sacrifice »
A écouter une musique religieuse..
Sous la voûte d’une église .
Sous la voûte d’une clémence
Et maintenant que tu es libre ..
Répands ta candeur , ta gloire triomphé
Répands tes eaux Purifiées
Entre Frères :Musulmans et Chrétiens..
Sous la Voute de cette terre..
Qui est notre sphère ,et notre mère
Qui est, hélas , entassée de haines et rancunes
Posté par Ahmed Khettaoui
- 23 février 2014 - 06:06
Les ailleurs d’un délire
Ahmed Khettaoui
Pourquoi lorsque je déterre mes droits
Mon sort épluche la peau de ma voie !!
Pourquoi lorsque mes soupirs chantent à haute voix !!
ma détresse chipe ma foi ?
Lorsque je manque mon convoi
Ma caravane tient sa promesse
Et tourne autour de mes voies !!
Est-ce que c’est le désastre qui allaite ma sagesse ?
Ou c’est la déité qui caresse mes émois…
Et devient ma déesse ?
Quand je soupire dans le gouffre de mes malaises
Ma sphère aboie comme un chien !!!
Le destin transpire ses remords entre montagnes et falaises !!!
Et ma joie, danse à rebours des siens
Quand je fais mes reproches à mes maux
les cieux s’inclinent devant moi
mon ode taquine ses dictions et ses mots
mes rimes enlacent mes émois
Pourquoi lorsque j’entends le murmure de l’enfer
Ma quiétude agite le son du tonnerre
Quand Sisyphe se détache de sa pierre
Mon élégie injure mes prières
Est-ce que j’ai bridé le roucoulement des tourterelles ?
Ou bien j’ai enterré le contenu de mon recueil !!
Crucifié à bord de mon cercueil !!
Ou, en outrance, j’ai insulté mon rival et son orgueil ?!
Hélas, mes épopées suintent que des vers et des larmes
Substituent ma confusion, sa voûte satinée et ses buts
Tourmentent le sort mon âme
Hélas, me voilà : graduer, en vain, Goethe et sa lutte
ô, poète, hélas, ici-bas, la vertu a perdu ses redoutes !!!
Dans un monde plein de raillerie et de drames
Ô, poète, jette tes fleurs
ô, consœurs et confrères
Les murs ont des oreilles
ô consœurs, ô confrères
soyons vigilants
agités et parfois turbulents
L’ironie grimpe nos murailles
Tourmente ici-bas ici-nos valeurs
L’ironie rigide brûle tes lumières
Dévore ta sentence, dévaste ton talent.
Posté par Ahmed Khettaoui
- 19 février 2014 - 05:16
Le désir du noir
Dédiée à tous les vieux photographes.
Du( noir et blanc) ( nostalgie)
****** *****
Suffoqué !!!
Dans un blouson
Ce maigre photographe
Emmanché
Dans des frusques
et un large pantalon
Abrité par un caleçon
Ce vieux photographe
Ce fameux photographe
Vêtu d’une redingote
Dans sa grotte (1)
En sa main un chiffon
Embué de sueur
Et des fois éméché !!!
dessine, ses clients
A l’aide d’un crayon
Ce Mec, attrayant
Ce petit photographe
Étouffé , dans le noir
Retissant, mais déguste
Son devoir
Son savoir
Là dedans
Dans sa grotte
Remue ses colorants
Dans le noir
Sa toile émouvante
Cache son cou
Ce vieux photographe
Ravissant , fredonnant
Quelques vers
Il murmure Aznavour
Et « ses vingt ans »( 2
Aux échos de sa p’tite
Chambre
Adore son métier
Parfois il s’énerve
Jusqu’au bout ..
Lorsqu’il s’agit
D’une erreur
Il lance des regards.
Assez fastidieux
Médisant,
Des fois devint fou
Lorsque ses clients
Lui firent des remarques
Très méchant, très clément.
Notre Cher photographe
Parfois gronde les gens !!
Favorise quelques -uns
déteste les enfants .
surtout , les fanfarons
qui farfouillent
ses cartons
*** ****
Quant au soir
il devint
notre père
au premier rang
de l’unique cinéma
on lui paye les anchois
à son choix
et une coupe de gruyère
pour fêter sa cuisine
chez monsieur Gabriel
l’épicier
de notre coin
le voilà notre père
Premier photographe
Du village ..
Hommage à cet artisan
A ce Savant
Qui a parsemé nos mariages
Par ses taches ..
Qui ont effleuré nos partages
Par son sourire .assez large
Salut ,maitre photographe !!
Je salue ton chapeau ..
Je salue ta vielle pipe .
Je salue ta passion
Et le désir de ton (noir)
Toujours en veston
Notre Agrégé du savoir .
Ahmed Khettaoui
1) Sa chambre noire
Note (2) chanson de Charles Aznavour
Posté par Ahmed Khettaoui
- 16 février 2014 - 02:55
Aveu d’une enfance
Ahmed Khettaoui / Algerie
Ces trois boules de neige
Ont du mal à nourrir
trois bouches affamées
de-ci de-là, ces trois boules de neige
sans éveiller les poules du fermier
sans faire du mal à oncle jardinier
nous jouâmes aux rosiers
là-haut, dans la forêt
dans des trous bien troués
près du puits, et de la fontaine
on faisait les rats et les fourmis
on faisait le chat et la souris
les filles à la corde
et nous à la ronde
autour de l’oncle jardinier
aux alentours de la fontaine
on formait deux douzaines
de soldats et de guerriers
Comment se fait-il, que les poules
Du jardinier sont-elles bien aisées
On disait..
On disait
Comment se fait-il que les rondes
Des guerriers, effrayent notre fontaine
Et que les poules du voisin se régalent
Et les nôtres mâchent les mouches
Et la paille ?
c’est comme ça, qu’on jouait
qu’on disait
qu’on disait
Que peu importe..
Soit un couffin de paix
Ou un sac de semoule
Soit un sac de farine.
Ou la tresse de Jacqueline.
Quand on voyait un soldat bien armé
On ne cessait de pleurnicher
On guettait le facteur
Qui nous amène des bons de tombola
On guettait le soldat en civil
Qui nous offre du chocolat
On applaudissait Charles De Gaulle
Et sa cinquième République
On jouait du hippique.
Jusqu’au point cardinal
Murmurant : Père Cardinal.
Sans se rendre compte de l’historique
Des Empires dépecés ou des Évêques
C’était notre innocence..
C’était notre enfance.
On jouait au jalon
Entre Chrétiens et musulmans
Dans un univers angélique
C’était notre planète enfantine
Sans haine ou rancunes.
On l’appelait : Général.. Général.
c’est comme ça qu’on jouait
on complémente : l’ange blanc
Charles De Gaulle, l’ange blanc
C’était la réalité enfantine
C’est comme ça qu’on raisonnait
aux alentours du bosquet.
C’est l’innocence enfantine
C’est l’aveu enfantin
Notre aisance faisait notre naissance
Faisait notre plaisance
Au fil du temps
On lisait les bouquins
On apprit que Jeanne d’Arc
La Pucelle d’Orléans
A été béatifiée à Rouen
A été jugée et brûlée
Au détriment de notre enfance
Telle quelle était imaginée
Dans nos p’tits cœurs
Qui reflétaient sur notre mémoire
Dans notre monde enfantin.
On jouait à la recherche de ses cendres !!!
On chantait Saint-Crépin et ses monts
Pour réchauffer notre repas
Au fil du temps nous découvrîmes
Que Marc Antoine (1) a supplié
notre reine Cléopâtre
On jouait « Roméo et Juliette »
comme ils étaient imaginés
Dans notre petite cervelle
Enveloppés de passe-montagnes
Juliette, coquette, couronnée d’un bonnet
Et Roméo en jaquette
Vêtus d’un « amour » éternel.
Dans un petit « janvier » grelottant.
leurs joues bien gelées
On trottait de-ci de-là
Garçons et fillettes
Entre rives, champs, et bosquets..
Sur notre large petit pont !!!
On réveilla oncle fermier
Et ses quelques « poulettes »
on s’y croyait au paradis.
On s’étendait près du lac.
on répétait que Jeanne d’Arc
était, lâchement, brûlée
au fil du temps on pleurait..
on pleurait
le monde accablé d’orphelins
de guerres et de miracles..
Sur la pente de neige, on jouait,
couronnés de passe-montagnes,
confession et absolution
sur nos p’tites joues
enjouées, bien rougies.
Dans nos pensées,
les boules de neige.
Voilà je vous livre mes secrets.
Bien sucrés :
L’aveu de mon enfance
tel qu’il est.
Et maintenant, il faut que je m’en aille
Il me reste qu’un souci :
Eteindre les larmes de Jeanne d’Arc..
Consoler Hugo, et ses misérables
Consoler son héros, Jean Valjean (2)
Et son parcours redoutable.
Rebrousser mon enfance
Et sa joie..
Qui en faisait, l’abri et le toit
Du monde amassé de tromperies
Il faut que je m’en aille.. purifier notre voie
Pleine de larmes et de failles
Il faut que je m’en aille.
Car le vent souffle à mes oreilles.
Il faut que je m’en aille..
Dorloter ma « Juliette ».
Qui m’attend à côté de la fontaine..
Il faut que je m’en aille.. il faut que je m’en aille.
Désolé, sans dire au revoir.
Car le vent souffle à mes oreilles.
Car le monde ruisselle son sang..
Et ses drames.
1) Marc Antoine (Voir Cléopâtre)
2) Jean Valjean/héros/ (les misérables) Victor Hugo
Posté par Ahmed Khettaoui
- 15 février 2014 - 11:36
AU LENDEMAIN DE TES LARMES !!!
Ahmed Khettaoui/ Algerie
Je me porte acquéreur de tes larmes.
Je flotte comme un ange aux alentours de ton âme
Comme une brise.. comme un sourire
Entre allées de tes soupirs..
et parfum de ton charme ….
O , ma muse angélique,
Que l’émoi ait pitié de nos cœurs
Capturés par les cavaliers de tes yeux.
Au fil et au raid de mes larmes assez rares
dorlotées par tes labours ambitieux
Semés dans les vallées de nos rêves
Je me porte acquéreur à l'égard
De mon cœur, serviteur
Qui se porte volontaire
Pour chasser les mollusques et les gerbes
Et limaces qui menacent la senteur
Et les étangs de tes herbes..
**** *****
O, ma muse, lègue moi ta candeur .
je te confie ma douceur
crucifiée au fil de tes jours .
sous l’abri de tes ombres .
octroie moi ta splendeur assez sombre !!!!
je te cède les romances de tes rondes
Cernés aux long des falaises ..
oubliées aux fonds de tes malaises !!!
Frissonnants tous les soirs
Sollicitant la chaleur du manoir
Tapissé entre les forets de ton âme .
**** *****
Aux alentours de nos cieux étoilés
je méditais ces azurs ondulés...
Où voltigeaient nos moineaux consolés !!!
Au fil des semailles
Semées au lendemain de tes larmes
au long de mes larmes et mes peurs .
Abritées par ton désir
Posté par Ahmed Khettaoui
- 14 février 2014 - 06:49
Sourire hors d'usage
Ahmed Khettaoui / Algerie
bavarder comme un sourire ..
hors champs ..
hors d'usage .
c'est comme un cambriolage ..
c'est un hors feuilllage .
entre l'âme et son passage ..
entre l'être et son voyage ..
entre l'abri et son patinage ..
donc , tout a revoir :
le bavard du sourire
et son patronage ..
en ce monde afferent
en son voisinage :
médiocrité et bricolage ..
le sourire n'est guère un sillage
entre eau purifiée et son souage ..
en mer...et en terre
le sourire est un ange
dans un ouvrage ..
dans un Verger en pèlerinage
dans un monde Saint et Sage ..
Posté par Ahmed Khettaoui
- 13 février 2014 - 04:22
Je vends mon vent !!...
Ahmed Khettaoui / Algérie.
Je vends mon vent à mes sorcières ..
Je le vends à mes cils et leurs frontières ..
A mes yeux et leurs lumières ..
Je dédie mes délires et leurs poussières
A mes soupirs et leurs devoirs …
A mon âme et ses falaises côtières .
A mon voyage et ses courtes chaumières …
Et je m’assois aux berges de ses barrières .
Contemplant mes rives et leurs rivières ..
Amenant à ma dernière demeure ..
Répandant mes encens à ma manière ..
Conduisant ma voile et sa galère..
Vers mon vent et sa ferveur .
Vers mon destin et ses valeurs ...
Las ,abattu, par mes rêves légendaires
Je retourne , insensé, sous mes décombres
En secouant mon âme et ses cendres ..
Au-delà de mes défis stationnaires .
Car tout est lié aux encens de mes sorcières..
Pourquoi , donc proclamer , un enjeu supérieur
Aux gouvernances de mes sorcières ..
Affiliées à cette vie éphémère..
Bourrée d’ironie, pleine de guerres
C’est pour cela que je vends mon vent légionnaire.
Hors de son camp et son gouverneur ..
A mes délires, à mes sorcières ..
Car tout est rattaché à la loi des vipères ..
Implantées sous ailes de ces dernières.
Honnêtement, il faut mieux céder nos territoires .
Au vilains ; passants de cette terre..
Et se soumettre ..au lignage saumâtre.
Au déterminant de Mozart , Adonis(1) et Voltaire .. ..
Au déterminant de leur loyauté et leurs Œuvres entières ..
Hélas , hélas , ce monde est à l’envers ..
A quoi bon, restaurer les galeries du Louvre ..
Ou agiter les âmes des innocents en poudre ?!!....
Note /
1)Adonis : Grand poète , critique ;penseur Syrien ..