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Yeos

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Hors-ligne Dernière activité : mai 23 2013 06:16

Messages que j'ai posté

Dans la publication : Paranoïaque

18 mai 2013 - 08:25

Chouette poème, d'une élégante sobriété et indiscutable efficacité. Et à la rencontre de v/texte,, Julien  je ne résiste pas à poster mon "Les Vrais Rapaces" dont le thème est pareil quoique dans un style moins sobre...

Dans la publication : L'Instant Rompu !

15 mai 2013 - 03:56

Très intéressant. Ce texte s'insère à mille merveilles dans certains courants de la poésie actuelle.

Mais permettez-moi de vous suggérer - avec les meilleures intentions - une autre  "mise-en-forme"/structuration, celle ci-dessous:

 

 

 

À l’intersection de nos vies 

entrechoquées par les éléments

il est là, sous-jascent, omniscient.

Trop de lignes interrompues

de choses entrecoupées... 

de regards en vacuité

       se profile un naufrage

celui du devenir 

            alors que la vie essouffle

encore de nos mots…haletant 

le souffle-court il nous porte

                         dans le temps 

jusqu’à cette douleur...

alors, l’instant qui se rompt se décharne

              de nos maux !

Dans la publication : L'arbre de la connaissance du bien et du mal 3

14 mai 2013 - 08:03

Merci d'avoir apprécié mon poème.

 

Quant au vôtre, grosso modo j'aime bien mais je crois que vous n'avez rien à perdre si vous vous débarrassez de la rime. Ou en tout cas ne vous y arrêtez pas, sur la rime.

Dans la publication : Les conquérants

13 mai 2013 - 09:12

 

Très intéressant ..et ce qui est plus j'en profite pour enrichir un peu mon vocabulaire - Et je dis bien un peu - jusqu'à présent  je ne suis pas convaincu de la pertinence d'un vocabulaire vaste en poésie (mais  vu que j'écris toujours ma 1ère version d'abord dans ma langue maternelle, saurai-je en profiter...?).  

 

    

 

Equarrir la parole, moi je dis la gageure,
Eponger tout le mou, dépecer un biceps...
De la farce et des tripes, au hachoir la fressure,
Ces crépines d'argent que boudine un forceps,

Sont trop roses bouquets posés sur un billot,

Et la fleur ou le fer marquent le non-dit

Des abats, des dentelles comme informe caillot

Sous la langue et le coeur. Cochon qui s'en dédit.      

 

Dans la publication : Apocalypto

09 mai 2013 - 07:42

Adorable sonnet comme dans les bons vieux temps de la poésie...!

N'empêche qu'il y a quelques morceaux dont la signification m'échappe:

 

- La dialectique Kukulkan / Dieu.Car, de quel Dieu s'agit-il? Du Dieu Judéo-Chrétien ou d'un Principe Cosmique inhérent à la religion Maya?

 

- Kukulkan = Quetzalcoatl le serpent emplumé ?