Chouette poème, d'une élégante sobriété et indiscutable efficacité. Et à la rencontre de v/texte,, Julien je ne résiste pas à poster mon "Les Vrais Rapaces" dont le thème est pareil quoique dans un style moins sobre...
Yeos
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la poésie l'art de renaître de ses cendres...entre autres!
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Dans la publication : Paranoïaque
18 mai 2013 - 08:25
Dans la publication : L'Instant Rompu !
15 mai 2013 - 03:56
Très intéressant. Ce texte s'insère à mille merveilles dans certains courants de la poésie actuelle.
Mais permettez-moi de vous suggérer - avec les meilleures intentions - une autre "mise-en-forme"/structuration, celle ci-dessous:
À l’intersection de nos vies
entrechoquées par les éléments
il est là, sous-jascent, omniscient.
Trop de lignes interrompues
de choses entrecoupées...
de regards en vacuité
se profile un naufrage
celui du devenir
alors que la vie essouffle
encore de nos mots…haletant
le souffle-court il nous porte
dans le temps
jusqu’à cette douleur...
alors, l’instant qui se rompt se décharne
de nos maux !
Dans la publication : L'arbre de la connaissance du bien et du mal 3
14 mai 2013 - 08:03
Merci d'avoir apprécié mon poème.
Quant au vôtre, grosso modo j'aime bien mais je crois que vous n'avez rien à perdre si vous vous débarrassez de la rime. Ou en tout cas ne vous y arrêtez pas, sur la rime.
Dans la publication : Les conquérants
13 mai 2013 - 09:12
Très intéressant ..et ce qui est plus j'en profite pour enrichir un peu mon vocabulaire - Et je dis bien un peu - jusqu'à présent je ne suis pas convaincu de la pertinence d'un vocabulaire vaste en poésie (mais vu que j'écris toujours ma 1ère version d'abord dans ma langue maternelle, saurai-je en profiter...?).
Equarrir la parole, moi je dis la gageure,
Eponger tout le mou, dépecer un biceps...
De la farce et des tripes, au hachoir la fressure,
Ces crépines d'argent que boudine un forceps,Sont trop roses bouquets posés sur un billot,
Et la fleur ou le fer marquent le non-dit
Des abats, des dentelles comme informe caillot
Sous la langue et le coeur. Cochon qui s'en dédit.
Dans la publication : Apocalypto
09 mai 2013 - 07:42
Adorable sonnet comme dans les bons vieux temps de la poésie...!
N'empêche qu'il y a quelques morceaux dont la signification m'échappe:
- La dialectique Kukulkan / Dieu.Car, de quel Dieu s'agit-il? Du Dieu Judéo-Chrétien ou d'un Principe Cosmique inhérent à la religion Maya?
- Kukulkan = Quetzalcoatl le serpent emplumé ?