J’idolâtre la Femme-Reine
Et c'est femelle que tu flattes !?
J'ai tant hâte que tu sois mienne,
Que tu deviennes cette chatte,
Qu'à mes désirs fous s'en viennent
Plaisirs flous et disparates,
Que s'écarte lors sans peine
De tes cuisses pleines, l'âtre
Qui me brûle sang et veines !
Ne sois vilaine ni chaste,
Miaule, minaude, peste même !
Sois amène en chaude chatte
De la cambrure que je veux mienne !
Faut-il aussi que je te batte ?
Il se pourrait, oui, que tu aimes
Te mettre basse à quatre pattes,
Te soumettre quoi qu'il advienne
A mes fantasmes psychopathes...
J'ai tant hâte ô belle Reine
Que tout survienne et puis te flatte...
Petit jeu entre adultes consentants...