Réunion'iz

L'amour n'est pas un jeu.

Je l'ai appris bien rapidement.

Les mauvaises actions ne font aucun heureux,

n'apportent que douleurs effectivement.

Très certainement, je disais l'aimer, serai present pour elle

et ce, à chaque minute de sa vie.

Cependant, la tentation m'a rendu infidèle,

unn homme volatile car vers d'autres bras, je me suis enfui. 

Tout commence par le regard d'une autre, le sourire d'une autre

et me voici au bal des Diables fourbes où les coeurs dansent sur des fausses notes.

Loin des contes de fées, notre relation vole sur un tapis de mensonges.

"Elle ne le saura jamais" je me disais, mais en mon intérieur, la culpabilité me ronge,

me plonge dans une peur noire et installe dans ma tête mille et une incertitudes

qu'aucun génie ne serait faire disparaître puisque ma folie prend de l'amplitude.

Elle demande : "Que fais-tu?", "Où vas-tu?", "Avec qui parles-tu?"

Mes réponses restent vagues. le fait de me justifier me tue.

Je n'ai aucune excuse pour cette erreur de parcours.

Je ne fais que souffrir et vivre péniblement les conséquences de cette trahison d'amour.

P.S : J'ai besoin d'un maximum d'avis sur ce poème svp.  

Au delà de la mer, ma terre crie misère.

Au delà des frontières, il y a toujours les mêmes guerres.

Voyons, je suis né avec l'amour d'une mère

non pas la haine que détient Lucifer.

Je lève les yeux sur ma ville et constate que rien ne va.

Ici bas, la chance vient puis s'en va.

Comme si de rien était, la société dans laquelle je vis se dégrade de plus en plus. 

Lentement mais surement, on arrive vers la fin de processus entamé.

La nature de l'homme se perd, la rue se meurt, la rumeur se répand.

Le temps est mauvais, maussade est le ciel, gris est son cœur

face à l'ignorance qu'on les jeunes pour leurs vies. 

Remplis de haine, vivent les problèmes, niquent le système

et c'est pour que ça cesse que je développe ce thème.

Voit, ma conscience est en crise et grisée par les cris fous de ma jeunesse.

Pris entre la joie et la tristesse, je suis du-per car cette vie de chien froisse  mon cortex.

Assis sur le monde, je pense à cette vie que je n'ai pas.

Le bonheur me refuse et crame mes rêves à chacun de mes pas.

Sur le trottoir des hommes brisés, mon âme suit son odyssée,

trop fragile pour lutter, se laisse glisser dans l'obscurité.

À qui profitent mes pleures quand le malheur sur moi fait sa loi?

Aucun amour ne passe. Seul la rage se réfugie en moi.

J'aimerai tant connaître une vie belle,

sortir de l'ombre, briller comme l'Éternel.

Mais les Démons bloquent mon passage,

m'enfermant comme un lion en cage.

Seul contre l'oubli, j'hurle à la lune pour qu'elle me donne un peu d'espoir,

me sorte de cette nuit noire.

En attendant, je cherche toujours un antidote pour ne plus voir la prison du purgatoire.

Le bonheur fait de mon malheur une histoire.