Je t'aime et tu me séduis
Faut il que je le répète pour la énième
Te dire je t'aime je t'aime, je t'aime
Pour que ton cœur retienne son souffle et déduit
Le mal qui te range en pensant à moi
Je suis ton homme celui qui jour et nuit te suit
J'occupe ton esprit ,tes rêves et tes nuits
Veux tu que je viennes ,chanter sous ton toit
Et chaque jour te faire les yeux doux
Je t'aime et tu le sais très bien
Qu'il neige ,qu'il pleuve ou qu'il vente
Et dans mes vers je me noie et j'invente
Des mots sulfureux et je ne sais combien
Pour toi ma douce ,ma belle ,ma bohème
Mon cœur te susurre des je t'aime ,je t'aime
adelkart
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hommage a ma femme
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fruits interdits
28 mai 2013 - 11:11
Les fruits interdits
J’adore voir fleurir
Les arbres au printemps
Attendre les fruits murir lentement
Ma préférence va à l’orange
La Thomson est la mieux indiquée
De son suc qui coule dans ma bouche
Elle guérit mon cœur alanguit
Je n’aime pas l’été
Elle prend congé
Mais il y a la pomme
De la Rénette (reinette) à la Golden
Elles sont toutes bien faites
Je m’extasie, en la tenant dans mes mains
Aquilon qui l’a fait danser
Tel un cheval au galop
Dans ma bouche
Dommage après m’être gavé
Elle disparait
Tant pis
Il y a la poire
Le Beurré Hardy
La doyenne de Comice
Sans oublier Conférence
Ce qui me fait plaisir en elles
C’est leur forme oblongue
Elles sciaient à ma bouche
Ce qui me gène en elles
C’est leur coté pervers
Ah si seulement elles étaient accrochées par la queue
Elles partent en congé
Je ne suis nullement dérangé
Il y a la pêche
A la peau rose et veloutée
Qui fonds au fin fonds de ma bouche
EROS aurait péché
Pour une pêche en ses lèvres
Le zéphyr me caressa le visage
Et me fait revenir à la raison
O Toi rêveur
Ce n’est que le fruit de la passion
Ah si tous les fruits seins
Gardent leur jeunesse
Et les plus rabougris disparaissent
Je souffre le martyr
De ne pouvoir cueillir tous ces fruits interdits
Source
27 mai 2013 - 10:32
Je suis né à la mer
J’ai grandi au ruisseau
Je suis la pluie
Je pénètre au cœur de la terre
Je ravive la gorge assoiffée
Je ranime la fleur fanée
Et je reviens à ma mer
Je suis balloté à tort et à travers
Je me cogne la tète
Je m’émousse
Je cours à perdre haleine
Et je retrouve mes nerfs
Mais je reviens à ma mère