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Djamel Eddine Nasri

Inscrit(e) : 26 juin 2013
Hors-ligne Dernière activité : mars 01 2014 01:48

#248806 L'HIVER

Posté par Djamel Eddine Nasri - 23 décembre 2013 - 06:26



Il y a l'hiver qui arrive dans mes veines 
un froid lugubre pénètre ma cervelle 
le gris monotone colore mes pensées 
la lune dans son blanc a peur de la nuit
Dans le vert de mes yeux l'amer de la vie
l'humide quart de tour abîme ma musique
moiteur dans ma voix étrangle un enfant
le chant du poète frissonnent dans le soir
le noir dans le vent le blanc de la lune
le drame continue sa route vers le nord
le froid assassin persiste dans le crime
le feu mon ami dissipe ma tristesse 
allonge la veillée réchauffe les foyers
les nuits saturnales un conte Constantin
 
 
 
Djamel Nasri
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#247370 Le train de la république

Posté par Djamel Eddine Nasri - 04 décembre 2013 - 12:04

 
Je suis dans l'ennui un pain noir,
saveur sans goût ni visage a voir 
accule mes jours dans la nuit décembre .
j'ai pour ami le rêve et mon double ;
remède apaisant pour ma vie de pierre .

Je suis dans le rêve la liberté ma mère ! 
Ma femme bronze de peau nourrit le monde, 
les senteurs parfumées ses cheveux dans l’âme. 
La terre brune aux yeux noirs étreint mon cœur amer,
elle meurt dans l'oubli et la mort de mes frères !

je suis dans une salle d’attente, ma colère fume ;
le train que je devais prendre est déjà partit 
ou peut être que s'y suis dedans, sinon je meurs .
Septembre république du rien ne change ,
le dieu danse le train change d'habille et d'opinion
le train change de route à chaque arrêt ,
les Dieux s'amusent avec nos vies et mes enfants

je suis dans la colère , depuis que le train est partit
il roule , il roule , mais n'arrive jamais a bon quai
les autres frères dans le train dorment , ou ils sont mort
le train brûle , se disloque ,petit à petit , il disparaît ,
ma mère vagit , la république périt dans les décombres. 
les dormeurs rient de moi dans leurs sommeil, 
dans leurs morts mes frères sourient à ma mère .

Djamel Eddine Nasri   ©

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#247048 MON RÊVE

Posté par Djamel Eddine Nasri - 29 novembre 2013 - 09:48

                

 

C’est beau de penser à toi, mon amour,

cette nuit, je suis dans la douleur infâme.

Ton sublime beau visage est dans mes yeux,

ton regard magnifique exalte mon âme !

 

C’est beau de sentir ton parfum, mon pays, 

c’est vrai, tu es un beau rêve dans ma vie;

rêver de toi est ma plus noble ivresse . 

J’aime mon rêve, j’aime mon ivresse .

 

Je pense sans cesse à toi, dans mon éveil .                  

Toi, remède du mal qui érode mon essence .

Tes yeux, ton sourire, ta bouche vermeille,

inventent mon être subtil chaque la nuit.

 

 

C’est beau de rêver de toi dans la liesse ,

mon âme est dans la plus sublime extase !

C’est vrai que tu es un impossible rêve ;

Rêver, mon amour est ma raison d'être .

 

 

Djamel eddine Nasri




#246716 je m'en vais

Posté par Djamel Eddine Nasri - 25 novembre 2013 - 01:43

je m'en vais ce soir dans sublime rond ,

l'amertume et sinistre est mon âme .
je subis dans ma pierre en vadrouille

la texture d'une torture des ténèbres ; 
une brûlure infernal dans ma chair, 
dans le gris et le blanc le tourment . 

Le soufi dans la vie, aimer est son métier!

en dansant excellent dans l'extase du cercle, 

gravitant dans rythme et sublime est le chant.

 les maux rouges dans le noir est  ma vie,

le sel terne des mots blancs dans le rond...

 

Djamel Nasri




#246399 les enfants du diable

Posté par Djamel Eddine Nasri - 20 novembre 2013 - 01:02

 

le jour mystère de la vie qui s"écoute ,
la nuit mon amie , en silence le temps danse
comme le sable comme le feu dans le vent

nos cellules s"alourdissent de rougeurs
et de honte un sang coule dans le soir 
le massacre qui s'exhibe sur les murs

l'histoire officiel des méchants vers de terre 
hommes de dieu , hommes du diable associers 
la peur dans les yeux  des poètes égorgés

la mémoire qui s'altère de mensonges
et le rire des adultes des brigands arrogants ;

notre mère ravissante rit et pleure sa folie ,
ses enfants mènent le diable par le nez et la queue ! 

Djamel eddine Nasri
 

 




#246394 le temps qui passe

Posté par Djamel Eddine Nasri - 20 novembre 2013 - 12:46



Shéhérazade , parle moi, de la mystique désolation ,
apprend moi, les secrets du fantasme interdit 
trace moi, les limites de la folie ordinaire ,
j'écoute le temps qui passe dans le gris des nuages . 

Shéhérazade , narre moi, l'histoire du royaume de Haïfa ,
comment vivaient les anges Houris du mont sacré
énumère moi ,l'ordre des saints bénis,
viendra la nuit avec ses démons obscures .

Shéhérazade , dessine moi la parfaite compréhension ,
montre moi, le chemin de la vie humble: 
un sang rouge carmin gigote dans le jade,
franchir certains barrière devient impossible .

Djamel eddine Nasri
 

 




#246198 là-bas

Posté par Djamel Eddine Nasri - 16 novembre 2013 - 11:07

 

Regarde , regarde bien le bleu de la mer.
Il y a là-bas un navire rouge qui dérive,
il y a là-bas un frère dans le désastre noir, 
il y a là-bas une âme seule qui se meurt .

écoute  , écoute bien le son qui crie au loin. 
Il y a là-bas, une peur qui transpire sa fin , 
il y a là-bas , un tombeau en silence qui avance , 
il y a là-bas, la mort escaladant le mur de la vie.

Djamel eddine Nasri




#246197 la faiblesse

Posté par Djamel Eddine Nasri - 16 novembre 2013 - 10:55


Dés le début , sentant la faiblesse basculer, 
les ailes frêle et sans vigueur, j'ai subi ,
bien sûr,  la cendre découle du feu ardent ,
mourir disait , Jacques le bon , la belle affaire ,
poète flamand au verbes acide et nourrissant ,
mais vieillir , dans l'amertume et la misère !
vieillir , un vieux sur un banc ajuste son dentier,
parlant à sa mort future , c'est dur la vie  !

Djamel Nasri




#246195 fears in my soul

Posté par Djamel Eddine Nasri - 16 novembre 2013 - 10:49

FEAR IN MY SOUL 

Again  , i feel the death in the road , 
like it seems to happened in an other life , 
before hell become real in my head .
i am a child , came the end of the game ;
again , i think the world is nearly to up ,
all the colored lights left my green sight ;
only the  blue sea stands in my heart ,
my breath feeds the beating red bird 
i feel the blanc , a kiss of fear in my soul
tomorrow will be just an old story ,
some words written on the stone !

Djamel eddine Nasri




#246194 THE WAY

Posté par Djamel Eddine Nasri - 16 novembre 2013 - 10:34

THE WAY 

i was in the dark night
with fear in my soul , 
i saw light coming there 
then fear left my heart

that light was my hope
bright was on your face 
my life found the way
the way of my dream

Djamel eddine Nasri




#246193 les limites

Posté par Djamel Eddine Nasri - 16 novembre 2013 - 10:30

LES LIMITES 

Avec le chant du soir, je viens en mendiant ,
tes sourires résonnent au fond de ma vie ;
plus profonde encore ton absence me ressent !
mon oiseaux rouge sans plumes qui glapit .

Dans le soir du soir, je mange ma désolation ,
les fragment de ma vie rêvée en vers noirs .
Je regarde les barrières la peur en mon cœur; 
je contemple les limites du fantasme en folie.

Avec les mots le blasphème me poursuit,
toute les nuits en quête d'un nouveau matin.  
Je reviendrai avant , mourir dans les nuages
dieu déesse , ou est ta clémente miséricorde ? 

Avec mon adoration, pour toi, le culte de ma vie ! 
Je bredouille des mots , une prière, un pardon !
Je rentre seul le soir dans le noir de ma coquille ,
le vide comme la mort qui embrasse mon front !

Djamel eddine Nasri 

 




#232402 Dans le noir

Posté par Djamel Eddine Nasri - 29 juin 2013 - 12:23

Dans le noir

Je pars dans tous les sens comme la lumière 
de plusieurs âme sensibles qui gravitent et tournent 
dans le néant du monde de la poussière et le fer
je danse , ou alors nous deux dans l'extase du chant 

sans fin sans retenu , je tourne dans le grand cercle 
j'aime sans fin jusqu’à  à la mort de la poussière en moi 
l'autre vie, l'autre moi , ignore mes tourments et ma faim 
entends tu mes cris dans la nuit , mes chants dans le rond 

je suis une attente infinie , une passion qui espère 
je t'aime , toi , ma vie , avant de partir avant de finir
quelques part sous la terre ,où là haut dans le ciel 
toi qui ignore , toi qui oublie , que je suis ton enfant
je suis ta poussière , ta chair argile , le sang du martyr .

je vis et meurs chaque fois sur les cils noirs de ton regard 
je t'aime mais tu ne le sais pas ,ou alors tu tourne dans le rond 
je meurs , mais tu ne le sais pas , j'ai peur seul dans le noir 

Djamel Eddine Nasri
 
 

 




#232230 la melopée

Posté par Djamel Eddine Nasri - 27 juin 2013 - 09:53

La mélopée

mon amie est un poème écrit avec mon sang
je vais au devant de ses envies et elle me rit
j'accorde mon gumbri et chante la mélopée 
elle dandine de la tête,sans même me regarder
qu'importe pourvu qu'elle reste dans le cercle 
et j'explose avec mes nerfs et mon sang chaud 
mon amie n'existe vraiment que dans mon chant 
dans ma tête c'est un rêve que d'avoir une femme 
dans ma virtualité , c'est le meilleur des mondes 
moi, je n'ai que des images et des mots a offrir 
une femme coûte les yeux de la vie dans mon pays 
le mâle est dominant dans le pays des brigands
mon pays est une belle déesse qui dort sous le soleil
moi , je suis libre , c'est tout , mais c'est si important 

 Djamel Eddine Nasri
 
 

 




#232229 la melopée

Posté par Djamel Eddine Nasri - 27 juin 2013 - 09:53

La mélopée

mon amie est un poème écrit avec mon sang
je vais au devant de ses envies et elle me rit
j'accorde mon gumbri et chante la mélopée 
elle dandine de la tête,sans même me regarder
qu'importe pourvu qu'elle reste dans le cercle 
et j'explose avec mes nerfs et mon sang chaud 
mon amie n'existe vraiment que dans mon chant 
dans ma tête c'est un rêve que d'avoir une femme 
dans ma virtualité , c'est le meilleur des mondes 
moi, je n'ai que des images et des mots a offrir 
une femme coûte les yeux de la vie dans mon pays 
le mâle est dominant dans le pays des brigands
mon pays est une belle déesse qui dort sous le soleil
moi , je suis libre , c'est tout , mais c'est si important 

 Djamel Eddine Nasri
 
 

 




#232160 solitude et moi

Posté par Djamel Eddine Nasri - 26 juin 2013 - 08:18

LA SOLITUDE ET MOI

la solitude et moi, marchions côte à côte
dans un silence lugubre une peur vocifère
dans la rue des illusions la voie du silence
nous attendions une fée aux mains d'argent
prunelle de miel dorées et blanche de peau
des mots reviennent de loin cueillir des fruits
une cigarette blonde s occupe de mon ennui
son goudron brun rempli de sombre images
la fée dans la nuit chantait aux étoiles du soir
et la solitude me parlait de voyage et de rêves
et me voyant si triste elle me faisait le clown 
pour éloigner ma peur quand la fée disparu

Djamel Eddine Nasri






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