Ce poème est plein de rêveries et de nostalgie, magnifique.
- bibi aime ceci
Posté par Guillaume08
- 26 juillet 2014 - 10:00
Posté par Guillaume08
- 26 juillet 2014 - 06:40
I
Que vais-je dire:
Trésor, trésor, voilà ce que tu es, Homme fait de poussière et d'or.
Ô qu'ils sont pénibles les journées à passées sur terre,
meme en faisant le tour on en reviens toujours au calvaire;
à rechercher dans du courage des mots pour dire;
à toutes les personnes les maux qui les font souffrir.
Que vais-je dire, à la veuve sans oublier l'orphelin;
Que vais-je dire aux enfants qui sonnent le tocsin,
préser par la crosse de leurs mitraillettes , une haine sanguine,
de l'homme contre l'homme ?
Que Dirais-je à mes fils pour que ma fille soit heureuse;
Car quand on parle on doit partir, loin de tout désir qui porte une haine affreuse.
Que vais-je dire droit dans les yeux des Hommes qui m'attendent,
que je leurs disent mon testament pour bien qu'il 'entendent,
que toute ma vie j'ai cherché des mots pour dire, des je t'aime, des quoi qu'il arrive;
Afin que sur la terre l'or des paroles divines puisse s'étendent.
Noé.
Posté par Guillaume08
- 12 mai 2014 - 05:56
Posté par Guillaume08
- 11 mai 2014 - 07:35
Mais pourquoi ne pouvons nous pas être prophète ? cordialement .
Posté par Guillaume08
- 11 mai 2014 - 01:29
Un prophète,
Une oeuvre sans nom,
A la liberté envieuse,
Le sage du roi,
Loin des vois curieuse.
Les anges recherche, les démons pourchassent.
Prends un amour,
Non pas en des amoureuses,
Un amour de toujours,
Loin de l'ombre tapageuse.
Un philtre d'amour avant que la vie ne viennent succéder ;
Aux larmes sanguinolente qui enfin se réjouissent,
L'alarme de la vue des trompées,
Des trompettes qui sonnent au pas des détournés.
L'amoureux ne se fit quand deux choses, résister et contempler,
La lumière bénite des étoiles qui viendra nous sauver.
Guillaume.
Posté par Guillaume08
- 11 mai 2014 - 01:13
A l'histoire du monde, puisqu'il n'y a pas de grand fleuve sans une source.
Un prophète,
une oeuvre sans nom,
à la liberté envieuse,
le sage du roi,
loin des vois curieuse.
Les anges recherche, les démons pourchassent.
Prends un amour,
non pas en des amoureuses,
un amour de toujours,
loin des ombres tapageuses.
Ce philtre d'amour dont succédera la vie,
aux larmes sanguinolentes qui enfin se réjouit,
l'alarme de la vue des trompés;
Des trompettes qui sonnent au pas des détournés.
L'amoureux ne se fit quand deux choses, résister et contempler.
La lumière bénite des étoiles qui sera nous sauver.
Guillaume.
Posté par Guillaume08
- 29 août 2013 - 05:58
Posté par Guillaume08
- 29 août 2013 - 04:29
Posté par Guillaume08
- 28 août 2013 - 11:17
Au moins je vois des hommes sensés qui ont compris la situation, il faut arrêter de s'imaginer quoique se soit est que c'est simplement vous qui dénigrez la poésie. Franchement vous avez que sa à faire, il ne serait pas plus logique de discuter de l'action du criminel d'une manière intelligente comme il est mentionné dans le poème. Comme des intéressés et des protecteur de la culture.
Posté par Guillaume08
- 28 août 2013 - 09:20
Moi, je ne vois qu'un homme qui espère et qui ne fait que transmettre son amour de la poésie, ou aller vous chercher cette colère.
Posté par Guillaume08
- 28 août 2013 - 08:48
La foi qui nous mènent aux querelles
Et l'oubli et qui se mêlent
Que chaque Homme doit être le symbole ,
Non à l'usage des doctrines, mais la personne.
D'un usage simple mais sincère.
Posté par Guillaume08
- 18 août 2013 - 04:07
-Mais oui, pauvre fous , parler sans vous arrêter.Faite -le seulement quand votre langue trop pompeuse aura refait toute l'Histoire.
Du monde, de celui des mortels a celui des autres Dieux. Mais obéissez qu'a un seul code d'esprits en votre langage, toujours votre sagesse hantera la pureté, la probité que vous devez avoir en votre cœur. Alors, vous aurez accompli mon vieil ami une quête d’allégeance spirituel que vous soyez athée ou non.
Posté par Guillaume08
- 16 août 2013 - 06:38
O poésie, c'est bien toi,
Qui guide nos souffles mortels.
A la réunion d'amour en conflit .
O saisons de ceux qui rêvent à leurs prières,
Aux autres seulement qui eux espèrent.
Chacun, à chaque jour,
O poésie, c'est toi la vie éprouvante de paix,
Même en temps de guerre .
Posté par Guillaume08
- 04 août 2013 - 12:53
Tant à ce que peut nous apporter;
Nos corps réfugiés
Et mêler à nos visions fantasques;
Nos souvenirs des jours passés.
Mon rêve, faut-il en établir un ?
De ses pensées sous-jacentes;
Sont-ils encor trop malins.
Qui se chante de jour en d'autres ;
Aux heures dédiées, tant à nos heures charmées.
Pinchon Guillaume
Posté par Guillaume08
- 03 août 2013 - 04:17
Élégie
Je me dis qu’on pourrait fraichir les sillons des terrains immondes.
Je me dis que la chaleur de ces jours anciens nous inonde,
Vous qui nette plus qu’aux bras des frontières glaciales d’une vie.
Perdre votre Amour, Je pense qu’il fuie.
Éternel, fleurs qu’il me semble vous voir porter en nos cœurs.
Puisqu’il me semble ta main dans la mienne
Précipiter notre séjour à Vienne;
Tels sont nos âmes promeneurs.
Que sonne éperdument,
Les souvenirs des ballades rêveurs
Sans cris alerteurs, sous le soleil levant.
Il est vrai que vous me sembliez belle;
Mais ma soif est un divin courroux;
À l'ombre de votre ombrelle. Dès lors, Je ne peux que continuer ma route.
Route, rêve d’enfant, de ceux qui prient et qui pleure,
Qui ne possède qu’extravagance
Les songes de ceux qui rient, et de leurs malheurs.
Cela, si chère qui ne souffre que d’ennivrance.
Qui n’as d’affligeant, que nos caresses libertaires aux grés des vents.
Pinchon Guillaume